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Ven 26 Mai - 12:24


L'amitié est d'or
Eithne × Sehris

Dragons in the sky, the fighting has begun. Shadow versus light, and who will stand when it is done? Magisters and fright, his destiny it calls, Inquisitor your hand will reprimand before he falls! Now are the days of wine and gilded arms. Now are the days when magic is reborn. Seal up the breach, the evil is no more. Once and for all, we close the darkened door. Peril in their eyes, the battle has begun. Death becomes the ashes of the evils yet to come. Inquisitor's delight, a destiny it shines, magister your ancient hand is broken in the light.

Quelques notes d'un luth s’égrainait paresseusement, diffusant dans l'auberge une atmosphère rêveuse. L'on était au début de l'après-midi et seul quelques incorruptible soiffards étaient présent. Ferelden s'enfonçait dans une après-midi grise et molle comme seul les jours d'ennuis sont capable d'en apporter. Firis traversait la route, elfe mercenaire vendant sa protection au plus offrant, un rôle qui plaisait bien à Sehris. Firis était une personne facile à interpréter, joyeuse, un peu bourru, elle n'avait pas une grande subtilité. L'inconvénient majeur reposait sur le fait que Firis était archère. Certes, Sehris savait tirer à l'arc... suffisamment, mais elle était nettement plus à l'aise avec les deux dagues qui était pour l'instant camoufler sous sa cape. Qu'importe, Firis était connu et appréciée aux environs de Dénérim, même pour une elfe. Certains aurait penser qu'une telle absence de discrétion était préjudiciable à un assassinat, Sehris leur riait au nez. Rien ne valait une identité solide et respecté pour camoufler ses actes. Firis était même venu en aide au garde de la ville pour aider à retrouver le coupable d'un de ses assassinat... un crime irrésolu mais l'on avait quand  même remercié l'elfe pour son dévouement. C'était la clef pour se faire apprécier de certains shem, ne pas essayer de les dépasser et toujours se montrer serviable. La serviabilité... Les plus imbuvable de shemlen considérait alors leur supériorité respecté et vous gratifiait même du qualificatif de ''bon elfe''. Les autres humain, eux, ne se prenait pas la tête sur la longueur de vos oreille et vous estimait qu'importe que vous soyez née humain ou non. Ceux là, elle peinait un peu plus à leur mentir...

La rouquine passa le pas de l'auberge, l'odeur du bois et de la cire lui arracha un sourire. De tout Dénérim il n'y avait pas de lieu qu'elle aimait plus. La raison en était simple, en ces lieu vivait une amie. Une véritable amie. Une amie connaissant son véritable nom et sa véritable activité. Elle balaya du regard la pièce, cherchant la chevelure dorée d'Eithne. La jeune humaine était un véritable soleil, douce et aimable. Elle tenait presque d'avantage d'une figure de conte que d'une personne. De fait Sehris s'était rapidement prit d'une véritable tendresse à son égard. Enfin la silhouette gracile de la jeune femme apparut dans son champs de vision. Un bref instant Sehris réprima l'envie d'avancer comme une ombre dans son dos et de la surprendre. Ce n'était pas ainsi qu'agirait Firis et elle devait a tout prit maintenir sa couverture. Prenant appuie avec aplomb sur le sol elle s’exclama alors d'une voix enjouée : « - Bigre ! On s'absente une année et c'est toujours pas suffisant pour voir le soleil se lever sur Ferelden! » Avant de partir d'un rire chaud et joyeux. Quelques têtes se relevèrent, certaine, connue de l'elfe, lui adressèrent un petit salut, les autres regardait étrangement cette elfe si bruyante. Qu'importe, Sehris devenu Firis s'avança vers son amie le sourire au lèvre, écartant ses bras. « - Comment vas-tu Eithne ? Je suis de retour dans la région, tu n'aurais pas une chambre pour moi? » A force de venir au Swan elle avait finit par y avoir ses habitudes. Un socle stable et solide sont toujours une aide non-négligeable pour un assassin. On soupçonne toujours l'étranger qui disparaît mystérieusement et il n'y a rien de pire que de ne plus pouvoir revenir dans un lieu car on y est fiché comme meurtrier, l'assassin qui n'avait pas comprit ce détail n'avait rien à faire dans la profession. Un bref instant Sehris se demanda si elle avait bien fait de partager son secret avec la si douce humaine... Peut être avait-elle un peu ternis de sa pureté malgré elle ?

Code par Azuriel
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Ven 26 Mai - 13:50


#sehne

golden friendship


La matinée s’écoule lentement, mais surement. Dans ce sentiment rassurant des habitudes et des rituels qui ne sortent pas de l’ordinaire. La routine a quelque chose de sécurisant, au final, et c’est toujours avec le sourire que tu t’acquittes de tes tâches matinales à l’auberge Swan. Ta mère est déjà au potager, ton père s’occupe du petit déjeuner des clients de la veille, et tu en profites pour faire un tour dans les chambres. Aérer les pièces,  secouer les draps pour refaire les lits -les changer si besoin, dissimuler de la lavande sous les oreillers, et pleins d’autres petites choses qui font de l’auberge un endroit très apprécié sur la route principale de Denerim.

Et d’un côté, il y a toujours ces petits imprévus, les surprises du quotidien : qui va franchir le pas de la porte aujourd’hui ? Un groupe d’hommes au sourire charmeur, un templier égaré, un noble épuisé, un couple en lune de miel ? Les clients sont aussi nombreux que divers et variés, c’est ce qui fait beaucoup du charme du métier.  

Vers midi, c’est à ton tour de rejoindre Rian dans la cuisine déjà étouffante. Vous échangez un sourire, il pose un baiser aimant sur ton front, et te demandes d’éplucher les légumes que Noora vient de ramener pendant qu’il s’occupe des viandes. Le maître mot de l’auberge est qu’il faut dormir aussi bien que l’on mange, et inversement. C’est cela qui vous offre malgré le temps qui passe, une clientèle fidèle et de nouveaux clients régulièrement. Les lieux sont chaleureux, propres surtout, comparé à tout ce que l’on peut trouver sur les routes, et l’ambiance toujours au beau fixe. Le soir, la musique retentit au coin de la cheminée, et il n’est pas rare de te voir danser avec les convives, inconnues ou familières. Les repas se passent toujours dans la plus grande entente, comme celui de midi, et il rare d’assister à des conflits, même quand l’alcool entre en jeu.

L’après-midi s’assombrit légèrement, mais rien ne pourrait ôter ton sourire, Eithne. Tu ne sais pas vraiment pourquoi mais aujourd’hui, tu as un bon pressentiment. Tu jettes régulièrement des regards à la porte, comme si elle allait s’ouvrir d’une minute à l’autre sur un visage aimé, et ta mère te charries à propos de ce templier brun qui vient souvent passer quelques nuits. Toi, tu hausses les épaules, accrochant un torchon à ta ceinture alors que tu viens de nettoyer les tables, désinvolte.

Mais alors que tu retournes vers le comptoir, la porte d’entrée s’ouvre finalement. Et elle embrase tout, le monde devenu carmin flamboyant, sous le joug de l’elfe qui pénètre dans l’établissement. Sehris, bien que tu saches pertinemment qu’il ne faille pas utiliser ce sobriquet en public. Sehris, qui entre en territoire conquis, et à raison. Sehris, devenue Firis pour la région, mais qui, qu’importe le nom et l’identité, reste avant tout une amie précieuse. Ses mots, tant que son apparition soudaine, te font rire, sourire, plus joyeusement que prévu. Alors quand elle s’avance vers toi, l’elfe intrépide, ouvrant les bras, tu ne te fais pas prier pour t’y jeter et la serrer contre toi avec émotion. « Firis, mon amie, quelle joie de te revoir. » La sincérité qui fait trembler ta voix, l’humilité qui fait briller tes yeux, et sans te départir de ton sourire, tu entraines l’elfe par le bras vers une table pour l’y installer toi-même. « Nous avons toujours une chambre pour toi, et même s’il n’y en avait plus, tu pourrais prendre la mienne. » A nouveau, ton rire éthéré qui s’élève, faisant sourire béatement quelques hommes finissant leur repas en retard, ou buvant un bon verre. « Qu’est-ce que tu veux boire ? Tu as faim ? Il nous reste encore du ragout de bélier et les légumes de ma mère. » Et voilà, on ne t’arrêtes pas, véritable mère poule face à tes clients, encore plus lorsqu’ils sont tes amis comme Sehris. Parce que finalement, qu'importe son activité, son métier, qu'importe le sang sur ses mains, tu arrives à voir le meilleur en chacun et c'est le cas pour la jolie elfe à qui tu offres ton sourire en cet instant. Elle est lumière au milieu des ténèbres.

AVENGEDINCHAINS
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Sam 27 Mai - 15:59


L'amitié est d'or
Eithne × Sehris

Dragons in the sky, the fighting has begun. Shadow versus light, and who will stand when it is done? Magisters and fright, his destiny it calls, Inquisitor your hand will reprimand before he falls! Now are the days of wine and gilded arms. Now are the days when magic is reborn. Seal up the breach, the evil is no more. Once and for all, we close the darkened door. Peril in their eyes, the battle has begun. Death becomes the ashes of the evils yet to come. Inquisitor's delight, a destiny it shines, magister your ancient hand is broken in the light.

Elle se retourne et son sourire illumine la pièce. Si le soleil ne brille pas sur Ferelden c'est qu'il est trop occupé à resplendir ici. Une moue amusée se peint sur le visage de l'elfe au moment où cette réflexion effleure son esprit, un homme lui aurait dit ceci, elle lui aurait rit au nez. Sehris n'avait jamais été sensible au belle déclaration pleine de grâce et romantisme, elle avait toujours eut une préférence pour les personne allant droit au but. Refus de voir sa vie personnelle prendre le même tournant que sa vie professionnelle. La simplicité ne nuisait jamais et Eithne était l'incarnation de tout ce que la simplicité représentait de beau et charmant. Elle lui rendit son étreinte, chaleureuse et heureuse : « - Et moi donc ! Cela fait trop longtemps ! » Ferelden, cette contrée à l'odeur de chien mouillé et couverte de boue. On était content de la retrouver et souvent content de la quitter, une contrée qui n'apportait que du bonheur en soit. Elle rit légèrement alors que Eithne lui propose sa chambre. « - Je ne t'aurais pas laisser faire, une nuit ou deux passer à l'écurie jusqu'à ce qu'une chambre se libère n'a jamais tué personne ! » Enfin ça, c'était ce que Firis devait penser... Sehris aurait compter les jours la séparant d'une chambre digne de ce nom ! Le sommeil n'a pas de prix, quoiqu'en dise certains bourru.

Sans grande grâce, Sehris se laissa tomber sur une chaise. Calquant à la personnalité qu'elle avait composé pour Firis. « - Je ne dirais pas non à une bière et un peu de ragoût. C'est le meilleur de Ferelden ! » L'elfe promena son regard sur la pièce, amusée par le nombre d'homme qui se laissait fasciné par son amie. Eithne avait-elle seulement conscience de faire tourner les tête autours d'elle ? Néanmoins elle cherchait surtout une chevelure blanche dans la pièce, une cible qu'elle était censé éliminer pour les corbeaux.... Bien que peu de chose lui échappait, rien ne semblait indiquer la présence de sa proie. « - Les temps ne sont pas simple en ce moment... Pas trop de soucis entre les mages et les templiers ? Tu ne sais pas si un mercenaire comme moi pourrait prêter mains forte à la Chantrie ? » Elle avait parler fort, guettant une réaction parmi les clients, un malaise trop soudain aurait put indiquer un soutient aux mages ou même la possibilité qu'on en camoufle un... Et au moins indiquait-elle à Eithne ce qu'elle recherchait, un mage. Une en l’occurrence, elle lui avait déjà échapper une fois et les corbeaux n'était pas d'une nature à apprécier l'échec. Prêter main forte aux templier pourraient lui permettre de remonter sa piste plus aisément.

Malheureusement personne ne sembla réagir dans la pièce, il fallait reconnaître, à la décharge des clients, que ces derniers n'avait ni le profile de mage, ni celui d'aventurier, ni même de chantriste. Elle soupira légèrement, ne jamais laissé filer une cible une fois qu'on a l'occasion de la tuer... Il fallait tout recommencer ensuite. « - Alors, quelle sont les nouvelles ici ? Un fiancé peut-être ? » Un petit clin d’œil taquin accompagna cette phrase, Eithne ne devait pas manquer de prétendant... Restait à savoir si l'un d'entre eux méritait son attention. Finalement elle reporta son attention sur son amie. Une autre raison l'amenait à se rendre à cette auberge, outre le plaisir de retrouver un lieu familier et son amie, Eithne était plus souvent en contact qu'elle avec Alariel or Sehris n'avait aucune nouvelle de l'elfe-mage depuis le début de la traque. Malheureusement si Sehris et Alariel était ami, Firis n'était pas censé le connaître. « - Et comment se porte ton ami, l'elfe brun … Alariel c'est ça ?  »

Code par Azuriel
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