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Mer 18 Oct - 14:07




La Chute d'Orzammar
Mission de défense


▲ NOM DE LA MISSION - La Chute d'Orzammar
▲ CRITÈRES - Nains & Personnes qui se trouvaient au Royaume à ce moment (exemple : des écumeurs pour les affaires...)
▲ COMMANDITAIRE - Le Roi d'Orzammar

▲ LIEU - Royaume d'Orzammar
▲ CONTEXTE - L'entrée principale des Tréfonds est constamment gardée et surveillée pour éviter que n'importe qui ne s'y rende, pour qu'aucune menace ne rentre, encore plus en période d'enclin. Mais cette fois-ci, il y a eu un défaut avec la relève de gardes. Les sbires du Carta commandés par Thral ont tiré les ficelles en coulisse. Personne n'a rien vu venir : une horde d'engeances a pénétré le royaume des nains. Évoluant depuis le quartier commun avec pour objectif de rejoindre l'un des généraux de l'enclin aux Portes de Orzammar ; non sans causer des dégâts considérables sur leur passage avant.

▲ DÉROULEMENT - La horde, en route vers l'entrée principale du royaume, s'est éparpillée. Bien que le plus gros reste concentré dans le quartier commun, quelques créatures ont envahi le quartier du diamant.

Nains et autres individus en mesure de se battre : Votre but, où que vous vous trouviez, est de vous frayer un passage jusqu'au quartier commun afin de rejoindre les gardes débordés. Vous aurez un tour pour vous permettre de vous y rendre et il vous faudra ensuite rester soudés pour affronter le plus gros ; ce qui se fera sur plusieurs tours en fonction de vos jets aux dès ainsi que des interventions du maître du jeu.

Pour les autres : Votre but sera de survivre en rejoignant les guerriers et de les soutenir si besoin. Si vous êtes affiliés ou alliés au Carta d'une quelconque manière, votre but sera plutôt de semer encore plus la pagaille dans le royaume en vous arrangeant pour survivre.

▲ LA MISSION EST RÉUSSIE SI... - Les engeances sont tuées ou repoussées dans les Tréfonds.
▲ LA MISSION ÉCHOUE SI... - La horde rejoint leur général aux Portes d'Orzammar après avoir causé bon nombre de pertes au royaume.

▲ RÉCOMPENSE - Selon votre groupe/personnage ainsi que vos actions durant la mission, la reconnaissance/une dette du royaume, une montée en grade, une faveur accordée.

▲ PARTICIPANTS -
Dans cette mission, il y a deux PNJ (accompagnés d'autres non nommés) en plus de vos personnages. Ils sont accompagnés d'une petite description afin que vous puissiez les incorporer correctement, donc n'hésitez pas à les faire intervenir dans vos rps. N'oubliez pas que vos destins et le leur sont en jeu !

L’ORDRE DE PASSAGE SE FAIT EN FONCTION DE LA PREMIÈRE VAGUE DE POST.

- Vigdis Dace (Intelligence + 20)
- Aravar Aeducan (Force + 20)
- Engen Dace (Force + 20)
- Sepith Aravish (Force + 20)
- Bazral Aeducan (Charisme + 20)

SKAG BERA (PNJ):

GUMLI (PNJ):

5 gardes royaux nains non nommés sont avec vous.

6 gardes nains non nommés sont regroupés au centre du Quartier Commun et tiennent leur position en attente de renforts, indépendamment des guerriers nains perdus dans la foule d'engeances.





Introduction

La horde d'engeances s'est déversée telle une marée dans le beau royaume d'Orzammar. Elles sont toutes appelées par l'un des généraux séjournant derrière les grandes portes de celui-ci, mais sèment d'abord le chaos dans le Quartier Commun ainsi que le Quartier du Diamant où quelques-unes s'égarent. Le peuple nain est terrorisé et chaque individu en mesure de se battre est appelé à protéger ses pairs mais aussi soutenir les gardes du royaume. Ces derniers sont séparés en deux groupes : l'un est débordé et peine à défendre convenablement le Quartier Commun. L'autre, les renforts, se fraye un passage depuis le Quartier du Diamant malgré le bouchon ; les créatures s'entassent dans les rues, les maisons, les commerces.

@"Bazral Aeducan" & @"Sepith Aravish" & @Engen Dace vous étiez en plein conseil quand l'attaque a éclaté. Avec un groupe de gardes, vous vous êtes immédiatement rendus en direction du Quartier Commun ; récupérant sur votre chemin @Aravar Aeducan & @"Vigdis Dace" qui se trouvaient ensemble au Palais Royal.

Mais si vous parvenez sans mal à abattre les quelques engeances égarées qui se perdent sur votre route, vous apercevez bientôt les rues bondées d'engeances à peine le Quartier Commun atteint ; ainsi que le groupe de gardes qui sera bientôt submergé. Comme si cela ne suffisait pas, les portes principales grondent, comme si des trolls cognaient dessus depuis l'extérieur.


Ceci est le premier tour, les dés ne seront pas lancés immédiatement, mais au prochain, quand vous aurez décrit vos intentions, afin qu'une échelle vous soit proposée. Vous avez donc un tour pour poser vos personnages, votre contexte et réfléchir à comment se frayer un passage jusqu'aux gardes débordés.

N'oubliez pas de répondre au petit questionnaire envoyé par mp en même temps que le lancement de l'intrigue; je rappelle qu'il n'est pas obligatoire et que vous pouvez changer d'avis quand bon vous semble, tant que cela reste cohérent.




Pour ce qui est des questions et mps à envoyer au MJ, votre MJ référent sur cette intrigue est Aravar.
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▲ MESSAGES : 811

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Mer 18 Oct - 22:45

L'imbécile aux trop nombreux noms dirait devant leurs ancêtres en cet instant qu'aujourd'hui, il y allait y avoir de l'action. Certes les sessions de Conseil peuvent se montrer soporifiques et agaçantes, quand votre place se trouve ailleurs qu'au milieu de cette bande de siffleuses sachant mieux manier leur langue qu'une épée longue. Mais l'heure est bien trop grave pour se permettre de jouer les héros. Protéger. C'est tout ce qui importe.
Sepith a été dans les premières à se lever à l'entente des premiers bruits étouffés par les lourdes portes. Les premières mauvaises langues ont d'ailleurs tôt fait d'insister sur le manque d'intérêt de leur future reine aux affaires de la communauté ... en plus de celles concernant sa tenue "trop guerrière". À vrai dire, l'intéressée se tenait prête à partir dans les Tréfonds avec sa nouvelle expédition. Ce Conseil était arrivé de manière trop fortuite en y repensant ...
Quand bien même, elle leur a dit de se taire et écouter. De sa voix sèche et claquante. Elle s'est avancée armes en main. Un homme a ouvert la porte de la salle; et la sentence est tombée.

La voici à présent en compagnie de son roi, de gardes royaux, du fils d'Aeducan, le Dashyr Dace, et l'estimée en son coeur Vigdis. Brisant sur leur passage de leurs armes et de leur volonté féroce les souillures. Ou les saloperies comme l'a hurlé Sepith en essuyant sa joue et en crachant sur un crâne fendu d'engeance. Leur marche a continué encore quelques instants jusqu'à ce que tous entraperçoivent les hordes assoiffées de ces débilités sanguinaires dans le Quartier Commun. Au milieu de ce chaos, des nains se battent, hurlent et se galvanisent pour ne pas céder aux pressions. Aravish se remet à l'arrière comme à son habitude pour couvrir d'éventuelles attaques. Elle lance un coup d'oeil à Bazral Aeducan,  rapide et puissant. Sombre dans son bleu. Puis elle le glisse vers chacun d'entre eux, levant son bouclier pour se protéger d'éventuelles flèches malvenues.
"Mon roi, nains et naines ... ma ceinture à grenades se tient à votre disposition. Deux hommes avec moi pour tenir la position arrière ! Et bougez vous le fion, on ne va pas attendre que Caridin ressuscite !"
Grommelle-t-elle en se mettant en position de défense. Toujours aussi charmante, même dans les pires moments.
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Jeu 19 Oct - 12:46


Depuis le début de la journée, Vigdis se sentait un peu étrange ; enfin pas elle, c’était comme un tout, comme si quelque chose au plus profond d’elle lui criait de faire attention ; la Pierre pourtant semblait normale, le chant pas différent. Peut-être n’était-ce que le fait que l’Enclin ait éclaté dans les dorsales de Givres, pas si loin d’eux au final qui la troublait. Pas qu’elle avait peur, cela aurait troublé n’importe qui. Mais les engeances, le flot, était dehors ; et dehors, elle ne voulait pas y mettre les pieds. Alors elle avait fait taire tout cela pour se concentrer sur autre chose ; levée tôt pour prendre discrètement une plaquette de pierre depuis le Façonnat, elle s’était glissée jusqu’au palais royal, peu occupé car les Dashyrs et autres nobles étaient en pleine réunions – probablement d’un ennui total – pour aller frapper à la porte d’Aravar. A coup de marteau elle frappa à la porte. Si elle gardait toujours la dague offerte par son Oncle (seul objet qu’il restait de sa mère, d’après lui, et avec laquelle elle savait se battre), en ce moment Vigdis aimait bien utiliser le marteau qui, en temps normal, servait à graver l’histoire ; elle avait également une petite poche avec du lyrium, de quoi, en tout instant, être capable de faire son devoir de apprentie façonneuse . Alors elle avait ' tambouriné ' sur la porte « Hey, le cochard pionceur, fait pas ta feignasse, j’ai quelque chose à te montrer. » Si depuis leur première rencontre, une profonde amitié était née entre eux, Vigdis n’en changeait pour autant pas moins de comportement. Elle attendit cependant qu’il ouvre, plus par pudeur que par politesse, sais-t-on jamais qu’il dorme nu comme un ver.

Et ils avaient discuté, comme prévu ; c’était l’histoire d’un thaig oublié qu’elle avait prit, pour lui montrer, pour prévoir ensemble une petite aventure lointaine pleine de découverte fascinante et de parents et tuteurs mécontents sur le retour. Mais alors qu’il lui parlait de choses diverses et variées, Vigdis senti à nouveau quelque chose.
« Ta gueule. S’il-te-plait » lui dit-elle en lui posant une main sur la bouche. La jeune naine ferma les yeux un instant, se concentrant sur ce qu’elle ressentait. La Pierre, le chant…Ils étaient déraillés, ils étaient anormaux…ils criaient. Ca n’allait pas. « Prend une arme, un truc, une armure, les deux, quelque chose. Vite. Y’a un problème. » et comme pour appuyer ses propos, dans les minutes qui suivirent, moins peut-être, on put entendre des cris, étouffés par les murs, mais l’horreur arrivait. Elle attrapa Aravar par la main, le marteau et la dague  à la ceinture, la plaque du Thaig dans l’autre ; c’était lourd mais elle ne laisserait pas une telle connaissance ‘empruntée sans autorisation’ n’importe où.

Ils tombèrent sur le Roi, la future Reine (et accessoirement idole féminine de Vigdis)….et son Oncle, bien entendu au moment où ils sortaient du Palais Royal. La jeune Dace lâcha la main d’Aravar, étouffant une toux de gène et évitant le regard d’Engen. Il n’y avait rien entre eux, mais elle se doutait des plans que le Dashyr pouvait avoir. Un marteau à la main, c’est mieux, et plus rassurant.

En tout cas le chaos était là, les engeances aussi ; Orzammar avait toujours été une proie possible, mais cela avait toujours été repoussé…Pourquoi là…Et puis ces coups, là haut, elle ne faisait pas que les entendre…
« Ils essayent de défoncer les portes ! » lâcha-t-elle. La Pierre souffrait, la Pierre les prévenait. Que les Hauts les protègent. Et c’est ce que faisait d’ailleurs Sepith, ce qui ne faisait que renforcer une certaine admiration ; mais le moment n’était pas à ça. Vigdis, loin d’être en armure dans ses vêtements de Façonneuse en coton sombre, épais certes mais rien face à une lame, restait à couvert des gardes et autres personnes habillées de fer. Ainsi elle pouvait réfléchir, et il fallait le faire vite. « Il faut aider les personnes incapables de se battre à rejoindre le Quartier du Diamant, c’est l’endroit le plus sûr de la ville. » Penser aux autres d’abord. Et puis en plus les portes du Façonnat étaient bien fermées. La remarque sur les grenades n’était pas tombées dans l’oreille d’un sourd ; il y avait un groupe d’engeance qui semait la panique près des portes du Quartier du Diamant ; il suffisait de prendre la bonne et de l’y envoyer pour libérer un passage, que des gardes pourraient protéger ensuite.

Elle ne s’y connaissait pas en artifice, mais avait étudié la chose ; alors même si Sepith n’avait pas précisé, elle aurait du, théoriquement, être capable de reconnaître la bonne grenade et de l’envoyer au bon endroit.

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Jeu 19 Oct - 16:04

Les réunions politiques étaient désormais son quotidien depuis qu'Engen avait quitté l'armée d'Orzammar pour assumer son rôle de chef de la maison Dace en tant que Dashyr à l'assemblée des Nobles. Bien qu'il ne fasse pas non plus l'unanimité au sein de sa propre famille, il était à la tête des Dace et cela le mettait en position de force, ils devaient tous le suivre dans ses choix, c'était ainsi. Heureusement pour lui Vigdis ne ressemblait en rien à son père et elle soutenait Engen dans ses idées progressistes. Cette réunion était particulière, en compagnie de la futur reine d'Orzammar Engen n'était pas idiot, il savait qu'il pouvait obtenir un soutien supplémentaire de la famille Royale, mais il fallait d'abord se faire bien voir de la futur souveraine de Bazral. Si le roi n'acceptait pas l'idée qu'il proposait peut-être qu'en passant par la reine, il arriverait à rallier le clan Aeducan à sa cause et le reste de l'assemblée suivrait petit à petit. Décidément, il vivait à une époque intéressante.

Peut-être avait-il pensé trop vite ? Quelques minutes plus tard, alors que le mal de crâne le gagnait c'était un bruit assourdissant qui retentit, il était en plein dans une phrase et en conversation avec le roi quand Sepith leur demanda de se taire. Qu'avait-elle entendu de spécial ? Il tendit l'oreille et effectivement quelque chose n'était pas normal. Que pouvait-il se passer dehors ?

Alors qu'ils sortaient du palais royal, ils croisèrent Vidgis et Aravar, voilà qui était intéressant, ils étaient ensemble à l'instant peut-être ? Cela faciliterait sans doute les plans d'Engen, mais il vaudrait mieux en parler a Vigdis lorsque le moment sera venu pour avoir son approbation, en attendant si les deux jeunes Nains faisaient connaissance c'était un plus.

Alors qu'ils sortaient, Engen chercha du regard une arme et un bouclier, un garde tombé à cause d'une engeance gisait au sol avec ses armes, il n'en aurait plus besoin désormais. Sans armure, mais équipé, il pouvait défendre la vie de son roi, l'héritier et sa nièce, ainsi que celle de la futur reine, mais de ce qu'il savait elle pouvait très bien se défendre seule et pas qu'à moitié.

Il se mit en position pour sécuriser leurs devant, pendant que sépith surveillait l'arrière, le bouclier devant lui, il écouta ce que Vigdis proposait, décidément il était fier d'elle. Mais elle ne pouvait rester ici, pas avec ces engeances, c'était un véritable raz de lave.

- « Vigdis ! je veux que tu accueilles les citoyens dans l'endroit le plus sûr du quartier du diamant, ne reste pas ici !» Il aurait aimé demandé à Aravar d'aller avec elle, mais le roi avait son mot à dire et puis le jeune Nain n'allait sans doute pas obéir sans rouspéter, c'était un Aeducan après tout.

- « Mon Roi, quels sont les ordres ? » Il avait envie de partir chercher tout les parias et les ramener ici, en sécurité jusqu'au quartier du diamant, mais il était au service de son roi en tant que soldat, peut-être pourrait-il le proposer lorsque les premiers ordres tomberont, la situation était réellement mauvaise pour la citée Naine...
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Jeu 19 Oct - 22:57






► 10:40 - Orzammar | intrigue
la chute d'orzammar
Aravar & Others
Très tôt, presque aux aurores, on tambourine à sa porte. Ce n'est autre que Vigdis pour qui il éprouve désormais une affection toute particulière depuis leur première rencontre ; mais peut-être qu'elle n'est pas réciproque comme lui le souhaiterait. Ceci reste à voir. Quoi qu'il en soit, la jeune naine ne garde pas sa langue dans sa poche et Aravar, grommelant, s'extirpe de ses draps afin d'aller lui ouvrir l'accès à ses appartements. Le réveil est progressif mais pas désagréable, bercé par l'histoire qui lui est contée. Le prince est étrangement beaucoup plus attentif et moins sot - ne l'interrompant pas que lorsqu'il est en compagnie de son précepteur. Néanmoins, très vite, c'est à son tour de prendre le relais. Alors il parle. Beaucoup. En venant bientôt à se remémorer, grâce à ses propres paroles, du présent qu'il comptait offrir à Vigdis aujourd'hui. Et alors qu'il s'apprête à lui annoncer qu'il a une surprise pour elle, une preuve maladroite d'affection, elle l'insulte presque en lui collant sa paume en pleine gueule. Ou plutôt bouche. Au début, forcément, sa fierté est heurtée. Mais l’intonation de la Dace ainsi que ses paroles semblent sérieuses et alertes. Pour une fois Aravar ne rechigne pas ; pas totalement car il grogne des mots. « On peut jamais être tranquilles. » Il ne lui faut pas longtemps pour enfiler son armure dans la même pièce ainsi que sa hache sur le portoir ; puis les cris résonnent. Le chaos pointe le bout de son nez, Aravar le sent désormais.

Vigdis le traîne vers la sortie du Palais par la main. Plutôt agréable... Première fois qu'ils se tiennent ainsi la main, aussi. En d'autres circonstances il y aurait vu un signe distinctif mais avec l'horreur qui se déroule à l'extérieur, ce n'est pas la peine de se faire des illusions. Son attention est rapidement accaparée par son père, le Dashyr ainsi que... sa future belle-mère. Il étouffe difficilement un regard sombre en sa direction. Son acolyte naine lui lâche malheureusement vite la main et il se joignent à la troupe en direction du Quartier Commun.

Au fil des minutes, le bâtard réalise l'anarchie installée dans le royaume. Il n'avait jamais rien vu de tel. C'est à la fois cauchemardesque et excitant, en un sens. Rien de tel pour les poussées d'adrénaline même si Aravar reste encore méfiant des engeances. Si il est parvenu aussi loin - aussi haut, ce n'est pas pour être souillé aussi tôt. C'est peut-être ce qui l'effraie plus que la mort, au final, et il se remémore avoir été bloqué dans ses mouvements lors de son premier affrontement au corps-à-corps avec. Maintenant il espère qu'il n'offrira pas un tel spectacle ; pas avec un tel public. Oh ça non. Sa hache levée et prête à déchiqueter, il laisse la défense à ceux qui la maîtrisent mieux. Parmi les guerriers qui les accompagnent, lui préfère accueillir les engeances égarées d'un bon coup sur les côtés - au centre de leur formation tandis qu'ils avancent. Bientôt les grondements au niveau des portes parviennent à ses oreilles, comme si Orzammar allait s'effondrer sur eux. Mais c'est bien pire, ce qu'il se prépare et ce qui arrivera s'ils ne repoussent pas les créatures.

Et voilà un bouchon quand ils arrivent aux portes menant au Quartier inférieur. « On a pas de temps à perdre. » Au moins est-il d'accord là dessus avec Sepith malgré les tensions évidentes. Il attend également les ordres de son père Bazral ; s'assurant au même instant de repousser une engeance qui tente de s'infiltrer au centre du groupe qu'ils forment, toujours sur les côtés. Pour le moment, il est plus porté sur l'action que la réflexion ; ce qui ne l'empêche pas d'écouter les autres.
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Mar 24 Oct - 11:53






► 10:40 - ORZAMMAR
La Chute d'Orzammar
Corruption has soaked the soil, sapping all good life from these groves - let us burn out this evil.

C'est le jour pour lequel il s'était préparé toute sa vie.
Depuis les histoires de ses ancêtres aux dernières réunions du conseil, Bazral avait chanté à tue-tête l'arrivée imminente des Engeances. Durard lui même s'était montré prudent mais le Roi l'avait senti. Que ce soit sa propre intuitions ou le chant des pierre, tout indiquait qu'ils seraient bientôt envahis.

C'est ainsi qu'il ne fut guère surprit quand l'annonce débarqua en plein conseil, et qu'il se leva d'un bond, tel un diable hors de sa boite. L'habitude perpétuelle du roi d'être en armure d'apparat lui serait efficace, quoique bien moins utile qu'un armure de bataille. Les premiers rapports indiquait une garde déjà ensevelie sous l'attaque, plus de temps pour s’apprêter était hors de question, pas quand ses hommes sont en train de risquer leur vie pour son peuple.

Nullement le temps de s'affairer à son fils qui semblait s'acoquiner avec la jeune Dace. Difficile même de savoir si il le remarqua, tant il traça son chemin au quartier commun, étonnement rapidement malgré son armure. L'arme au poing qui s'enfonce aisément dans les zélotes isolés qui osent se dresser devant lui. La gorge sèche et l'esprit agité : quelque chose ne tournait pas rond dans cette sordide histoire. Et ce n'était pas juste l'invasion de l'enclin.

Rien, absolument rien de ce qu'il voyait sur le champ de bataille ne ressemblait de près ou de loin à ce qui avait été scrupuleusement organisé. Durard Turin et lui avaient mit la main à la pâte pour dresser Orzammar comme une forteresse imprenable en cas d'attaque des tréfonds, et voilà maintenant que les Engeances s'était si rapidement et aisément créée un percés jusqu'aux ruelles de sa propre cité?! Il était certain: Quelqu'un était prêt à risquer jusqu'à la sécurité du peuple nanique pour une raison qui lui échappait.

« QUI?! » Hurla-t-il, épée en main sachant que personne ne répondrait. Il ravale la bile furieuse qui lui brûle la gorge avant de s'élever volontairement sur un ponton en hauteur pour être visible de toute l'assemblée réunit. Il lève son arme en tonnant de sa voix grave, pour que citoyens et gardes entendent les ordres de leur roi.

« Nains d'Orzammar!!! Gardez vos yeux sur le combat : Vos ennemis sont cruels et sans pitié, et au sein même des murs de notre maison. Ils ne franchiront pas les portes de la cité si nous faisons bloc. » Il pointe son arme vers les gardes, ceux qui les ont accompagnés et ceux qui tentent de tenir le front. Ainsi que la petite troupe qui était avec loin, composé de sa famille -ou de ce qui s'en rapprochait le plus- et des Dace. « Vous! Organisez vous en une lignée de défense autour de la reine. Nous ne vaincrons que dans un front commun.» Il fit signe vers la jeune Dace, si il a entendu Eugen lui donner des ordres, lui en a d'autres en tête. « Visez les groupes : La reine et les autres peuvent se charger de ceux qui viennent en petit comité, mais en cas de groupuscules, lancez les grenades! »

Il gronde encore en levant encore un peu plus la tête « Les citoyens encore présents qui peuvent se battre devront veiller à conduire au quartier diamant ceux qui ne peuvent pas. Et toi! » Il pointe son épée devant un garde en retrait « Sus aux quartier militaire! Dépêche la moitié de mon armée, fantassin et archer, vers le flanc droit des portes principales. Qu'il ne traversent la ville sous aucun prétexte! » C'est le meilleur moyen d'affoler la population et d'en plus les rendre susceptibles aux attaques d'un autre ordre : quelque chose de pourri avait gangrené son royaume, et il faudra agir en conséquence. « Qu'une partie des gardes du palais se rendent dans les rues pour tuer le plus d'engeances restantes en ville. » Il dirigea son regard vers Eugen Dace « Dashyr : infiltrez-vous dans le quartier et sonnez l'alerte pour que les citoyens armés se préparent à se défendre! Tout Thédas envie notre talent martial, c'est l'heure d'en être digne! »

Il retombe à terre pour prendre la tête de la mêlée, prêt à rejoindre son armée qui bataillent bravement contre l'envahisseur. Il conclue, mais sans se retourner vers ses interlocuteurs : ses yeux doivent rester vers le danger. « Rien n'aurait dût se passer ainsi : nous avons été trahit au sein de nos propres mur. » Sa voix est grave, et le timbre est furieux. « Mais il est temps pour tout les Nains de montrer notre capacité de résilience! Nous forcerons ses résidus à battre en retraite, défendrons la Pierre, et obligerons Thedas à baisser les yeux avec humilité devant nous. » Il leve un dernier regard sur son fils et hoche la tête : il n'est pas prêt, mais c'est la chance de sa vie de faire ses preuves. Il lève son épée une dernière fois et tonne en cœur avec les gardes.

« Gloire à Orzammar!! »
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Mar 24 Oct - 21:50


INTERVENTION DU MJ
REFERENT : ARAVAR AEDUCAN

HRP: Ce poste sera très court; il est le second tour de l'intrigue, les dés n'étant pas lancés, les actions ne sont pas encore réellement descriptibles mais les choses sérieuses commencent dès à présent.

Quelque chose cloche. Orzammar était prête, elle devait tenir, et pourtant tout s'écroule. Le roi n'est pas dupe, quelque chose se trame. Il n'est pas le seul; Skag Bera, par expérience, par connaissance et confiance en son Roi, peut le sentir. Il y a de la trahison dans l'air; mais le temps n'est pas à y penser. Il aide les civils les plus faibles à fuir vers les quartiers les plus sécurisés, tout en leur disant, à eux et aux hommes qui l'aident, de faire attention, et de surveiller qui pourrait leur sembler suspect ou pas à sa place. Pas sûrs qu'ils écoutent pour le moment à cause de la panique.

Pendant ce temps, attirés par leur Roi, qu'ils cherchent autant à protéger qu'à entendre les ordres, les soldats royaux se rapprochent de lui, tranchant les engeances qui s'approchent mais sans vraiment faire plus; les civils qui peuvent se battre essayent, mais la panique s'installe et le chaos ambiant n'aide pas il faut agir, heureusement, ce coeur battant contre les engeances cries des ordres, se défend, combat; ils lancent enfin ce qu'il faut pour la survie de la ville. Avec plus ou moins de succès; que les Hauts les entendent et que la Pierre les protège.

Mais l'anormal est là; si la panique est si intense c'est car Orzammar devait tenir; sabotage il y a en effet; et le Carta n'y est pas pour rien. Nettoyant sa dague du sang de non pas une engeance mais bel et bien d'un garde, Gumli, fièrement regarde son travail, enfin celui de son groupe, détruire cette ville, ces nobles, ces castes qu'il déteste tant. Près d'une taverne, il repère des futs de bière et essaye de s'y approcher, se faisant passer pour un civil; son but est clair: les renverser et mettre le feu, renforcer l'anarchie locale et voir s'écrouler la Monarchie actuelle; une autre viendra, c'est ce qu'on lui a dit, en tout cas.

Le destin de la ville est donc entre vos mains; entre les engeances, les civils paniqués et les saboteurs, vous avez du travail; si vous échouez, vous pouvez tout perdre, même la vie.
En plus, vous en êtes quasiment certains; si les Gardes des Ombres ne sont pas déjà là, c'est qu'il y a l'Enclin à vos portes et qu'ils le combattent. L'avenir d'Orzammar est donc réellement entre vos mains.


ECHELLES DE DES


Pour tirer les dés, c'est ici ; si les conséquences sont libres, vous les décrivez comme vous le voulez; si elles sont indiquées par le mj, la description devra se faire en suivant ses indications le plus possible, si le mj vous demande de le contacter avant... contactez le.
A part dans ce cas précis, vous tirez vos dés puis faites vos postes, en indiquant encore une fois en spoiler vos intentions pour la suite ainsi que le résultat au jet appliqué dans le post.

ORZAMMAR TOUR 2


Sepith Aravish:

Vigdis Dace:

Engen Dace:

Aravar Aeducan:

Bazral Aeducan:


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Jeu 26 Oct - 9:44

"We've been calling black paw who’s soaring."
Eyes black, big paws and it's poison and it's blood and big fire, big burn into the ashes and no return. ••• Première salve d'engeances. Ils sont trois à tenir les positions arrière, la reine et deux soldats face à des gueules décharnées et grises comme les cadavres; ces cadavres vivants qui foncent vers eux. Par expérience dans les tréfonds et ses quelques affrontements avec les armées de l'archidémon, Sepith en a vu assez pour pouvoir tenir et réussir avec un minima d'hommes à les retenir. Si elle ne l'avait pas fait à l'instant, par la Pierre, cela aurait été un déshonneur immense pour la naine aux enseignements héraut qu'elle est.
En effet, les engeances ont foncé droit vers eux en poussant leurs cris stridents et en crachant leur souillure d'une salive sanguinolente venant sans doute de précédentes victimes. Elle étaient prêtes à percer, les percer. Lames levées, elles ont couru vers ces petites choses insignifiantes face à leur nombre et ... se sont pris une volée de boucliers placés sur leur gueule. Sepith est la première maintenant à leur hurler dessus sous sa Force Hivernale, à les pousser repousser sans vergogne tout en leur assénant de violents coups de hache. Le sang gicle sur leurs armes, armures et front. Cependant cette saignée a au moins le mérite de tuer quelques ignominies tandis que celles encore en vie se reculent et semblent soudainement moins fières, sûrement, en regardant ce bout de femme les toiser de son regard bleu acier, derrière ce bouclier rond tâché du sang de leurs semblables, et la hache encore empreinte de bouts de chairs et d'oeil crevé d'un crâne fendu.
"Alors les chiures mal baisées. C'est moins facile d'attaquer quelqu'un d'armé. HEIN !"
Elle lâche un rugissement et les engeances reculent, non sans revenir pour certaines, pour à nouveau se prendre des coups de boucliers dans la figure. La position arrière du groupe est donc sauvée. Sepith sent cependant que sa petite phrase a un peu fait tâche pendant le discours de son fiancé (Si les Hauts l'entendent, qu'ils sachent qu'elle abhorre dire ce mot) au vu des regards posés pour la plupart sur elle. Il en va de même pour les hommes l'ayant aidé à repousser les engeances. La blonde essuie le sang sur sa joue de son bras armé de la hache et leur répond d'un ton moqueur :
"Quoi. Ça vous troue de voir une noble qui insulte autrement qu'en parlant soie antivane et broderie ?"

Bon. Parler soie antivane et marchandage à ce moment précis, ce n'est pas ce qui va faire hurler de peur les cadavres ambulants et les ramener sous terre. Passons. Si il n'y avait que ça au programme, les nains seraient sauvés. L'espoir fait vivre. Sauf que Sepith n'est pas là pour enfiler les perles et faire peur aux lies avec du jaune criard bien brillant ou des aiguilles. Elle prend les devants en pivotant légèrement, toujours en se protégeant de son bouclier pour s'adresser finalement au groupe.
"Il faut qu'on évacue les civils maintenant et rapidement ! Je connais des chemins annexes pour se rendre au quartier de diamant. Ce sera plus sécurisé, mais ça veut dire qu'on va se retrouver face à la Carta ! Et je suis sûre que ces enflures ..." regard appuyé vers Aravar"... vont venir et essayer de nous faire danser. Qui vient qui reste ?" deuxième regard appuyé vers Aravar.
Il connaît le Carta, le fils Aeducan. Et ils ont beau avoir des différents (enfin surtout le bâtard, Sepith ça lui passe comme de la bière dans son gosier), aujourd'hui, ils devaient les enterrer et se mettre au pli. Que ce soit sur de la soie antivane jaune criard brillante ou pas. Oh et puis on l'emmerde la soie antivane.

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Sam 28 Oct - 11:04


Education, mon amour. Vigdis avait gravé un traité sur les nouvelles formules de grenades il n'y a pas si longtemps que cela, en plus; la main glissée vers la ceinture de Sepith, elle hésite un instant avant de se saisir de la grenade la plus drôle, la plus utile. A savoir celle à combustion. Elle vise le groupe d'engeance qui se situe entre les portes, celles qui protègent normalement la ville de ces dernières, et le quartier du Diamant, pour aider les civils incapables de se protéger. Elle entend son oncle lui donner des ordres, mais il est hors de question pour elle d'écouter. Elle restera se battre; (apprentie) Façonneuse ou pas, elle est avant tout une Dace. Les Façonneurs ont d'ailleurs parfois à se battre, pour récupérer des informations dans les vieux Thaigs; même si elle n'est pas arrivée à cette étape de la formation. Sa famille lui a toutefois donné une éducation martiale très basique. Et puis merde. Elle est une Dace; son oncle se bat, la majorité de sa famille doit le faire aussi, proches de la caste de forgerons, souvent présents chez les guerriers, comme son Oncle, comme son père...Père qui, au son de la pierre et au bruit des portes de la cité qui hurlent, doit être présent dehors. Eternel absent, jamais connu, elle ne sait même s'il est en vie. Mais si c'est le cas, comme tout les gardes, il doit se battre pour empêcher, par l'extérieur, Orzammar de tomber. Alors elle en fera de même. Même si plus habituée à manier marteau ou dague et n'ayant jamais lancé de grenade, Vigdis trouve une fenêtre de tir et lance l'engin explosif, qui atteint son but parfaitement (elle remercie la Pierre et les Hauts, surtout celle à ses côtés) pour cette réussite; il n'y a pour le moment plus d'Engeances à cet endroit, ce qui facilite tout.

Si ordre royal il y avait eu et qu'il avait été entendu, Vigdis avait agit avant; tête couronnée ou non, elle réfléchissait assez vite pour agir seule; en parlant d'agir, elle se tourna vers son tuteur avec un sourire le plus poli possible en contraste avec le ton de sa phrase.
"Désolée mon Oncle, mais non, je n'ira pas. Je suis une Dace après tout. En plus, je vous ai facilité la tache offerte par notre Roi. Et puis j'ai une autre idée." C'était risqué, mais le chemin était découvert, entre les réussites de l'armée, les engeances repoussées et celles qui avaient brulées vives; il y en aurait bientôt, mais justement, elle pouvait arrêter ça; on lui avait demandé une étude poussée des portes protégeant Orzammar; alors certes les engeances pouvaient arriver d'ailleurs, des quartiers du bas, de trous dans les murs...mais si cet accès étaient fermé... Tout serait plus simple. "Il faut fermer les portes des tréfonds." C'était un fait, une évidence. Et elle allait le faire.  Elle n'avait guère le temps d'attendre qu'une nouvelle vague agisse; entre le chemin libéré et le chaos, si la Pierre le voulait, elle atteindrait les portes à temps. Avant de reprendre son marteau, elle glisse sa main, l'histoire d'une seconde, dans celle d'Aravar et lui offre un regard, il comprendra. Si il écoute Sepith, il risque la mort. Un regard à son oncle également, désolé presque. Elle espère qu'il s'en sortira, et qu'il lui pardonnera ce qu'elle est sur le point de faire. Car c'est aussi risqué que fou.

Profitant du chemin offert par Sepith et ses hommes, ainsi que la grenade, sa tablette de connaissance comme seul bouclier et son marteau à la main, Vigdis sort du cercle qui la protège pour courir, plus vite qu'elle n'a jamais couru,  jusqu'aux grandes portes protégeant le quartier de Diamant (et le reste d'Ozrammar, mais elles n'ont pas été placées là pour rien, il ne faut pas se leurrer) tant qu'elle le peut, jusqu'à atteindre ces dernières. Elle les a étudiées de fond en comble... elle devrait pouvoir en mesure de les refermer; elle connait le mécanisme et même si elles sont cassées, c'est réparable...elle espère. Vraiment, avec une légère crainte, qu'elle essaye de faire taire. Et si elle échoue...elle rejoindrait la Pierre d'une manière idiote et avec des non-dits regrettables.


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Dim 5 Nov - 17:11

Orzammar était vraiment la merde de cochard. Malgré toute la préparation mise en place par le Roi, malgré tous les avertissements et malgré toute l'intelligence Naine, rien n'avait empêché ces sales bêtes d'entrer dans la ville. Une vision d'horreur, Engen n'était pas équipé d'une armure, mais son devoir de défendre le roi était prioritaire par rapport à celui de s'équiper correctement pour combattre. Cela rendait encore plus dangereux la situation pour lui, mais qu'importe, d'autres habitants d'Orzammar ne savait même pas se battre, alors quelqu'un avec une formation de guerrier c'était déjà du luxe.

Alors qu'il défendait un flanc pour assurer la survie du roi, deux Hurlocs remarqua le groupe où Engen et les autres se trouvaient. Les deux monstruosités commençaient à se rapprocher dangereusement d'eux, armes dehors, prêtes à découper des membres aux Nains.

- Va falloir tenir ! Ces sales chiens sont en manques de combat contre de véritables adversaires on dirait !

Avec les quelques Nains qui avaient rejoints le petit groupe de défense Engen tenait son bouclier devant lui, contre son corps pour l'envoyer dans l'ennemi dés qu'il serait à porté. Puisse la pierre les accueillir s'ils tombent.

Les deux hurlocks accélèrent le pas courant vers le groupe. Non, ils ne passeraient pas. Calmant sa respiration, observant l'adversaire, ce n'était pas aussi difficile qu'un combat dans une lice, c'était juste plus chaotique. Il se concentra sur les engeances désormais à porté de coup de bouclier, partant en avant pour frapper avant que celles-ci ne frappes. Les épées s'entrechoquèrent, les Nains à ses côtés bloquèrent la lame de la seconde engeance qui aurait pu être fatale a Engen. Pas le temps de remercier son camarade. Engen continua sa manoeuvre, épée, bouclier, épée, bouclier, entre parade et nouvelle frappe, les engeances reculèrent jusqu'à ce qu'elles tombent au sol. Pourtant impossible de les achever, ce serait rompre la formation et laisser une brèche dans la défense du Roi. Il faudrait donc attendre le nouvel assaut pour découper cette vermine.

Avec les cris qu'ils avaient pu entendre derrière lui Engen devinait facilement que Sepith avait elle aussi repoussait un assaut de quelques engeances. Au moins la futur Reine allait être apprécié des soldats et surtout elle gagnait le respect d'Engen en demandant encore une fois d'évacuer les civils. Tout comme l'ordre qu'il avait reçu du Roi.

C'était sans doute le moment le moins propisce, mais Engen pensa encore une fois que sa réforme aurait pu sauver plus de vie à cet instant.

Alors que la formation était reprise, Vigdis fit exploser les engeances qui se trouvaient quelques part dans les morceaux qui volaient en éclat. Refusant de se mettre en sécurité et risquer sa vie pour aller refermer la porte des tréfonds ?! Elle était folle ! Mais c'était sa nièce après tout... en cet instant il savait très bien qu'il était trop tard pour la raisonner, Engen à juste le temps de lui adresser un dernier mot avant qu'elle ne parte en courant.

- Fais attention à toi et revient en vie jeune Dace, c'est un ordre Vigdis.

Jeune et déterminée, elle ressemble parfois à son père. Est-ce une bonne ou une mauvaise chose ? Seul la pierre le sait et le temps le montrera. Il se tourna vers les Nains à côtés de lui.

- Préparez-vous à charger, on a des civils à galvaniser !

Se tenant prêt, n'attendant que le moment où les engeances commenceraient à se relever.


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Dim 5 Nov - 21:06






► 10:40 - Orzammar | intrigue
la chute d'orzammar
Aravar & Others
Entre le discours du roi, les insultes qui jasent et le brouhaha des lames qui cognent, des engeances qui grondent, il est difficile de savoir où donner de la tête. Une chose est certaine, cette situation n'est pas normale. Même Aravar sent qu'une pièce du puzzle manque. Durant ces derniers mois son paternel n'a pas lésiné à renforcer Orzammar, il était à ses côtés, l'a observé. Le problème est autre, probablement des traîtres dans leurs rangs comme ce dernier l'évoque, peut-être le Carta qui aurait bien son grain de sel à glisser une fois encore ; le bâtard n'en serait pas étonné en connaissant Thral. Quelle plaie, si ces brigands n'y sont pas étrangers, car cela prouve qu'ils sont prêts à mettre en péril la sécurité du royaume et l'avenir du peuple nain tout entier pour parvenir à leurs fins, aux fins de leur chef. Et pourtant Aravar évoluait à leurs côtés durant ces dernières années.

RÉSULTAT AUX DÉS 13 : ÉCHEC.

Heureusement il oeuvre désormais dans le but d'assurer la survie des siens, s'en prenant d'ailleurs à une engeance qui tente une percée au centre de leur formation. Une dernière œillade est adressée à ses compagnons avant de faire valser sa hache qui... n'arrive pas à atteindre la créature. S'il s'éloigne trop, la position sera rompue, le flanc qu'il protège sera ouvert. Tant pis, il grogne simplement dans sa barbe et privilégie la défense ; si l'engeance s'approche à nouveau il tranchera. Entre temps, alors que les ordres ont été distribués et des renforts nains du palais les ont rejoint, Sepith propose une alternative dans l'immédiat ; le prince approuve et à l'entente du Carta, il s'apprête à se proposer. Le regard que la blonde lui lance est assez significatif. Sa présence est presque obligatoire dû à son passif. Mais en parallèle, le coupant dans son élan, Vigdis réussi un beau coup et parvient à dégager la voie. Une partie tout du moins menant aux grandes portes qui ferment les Tréfonds. Sans attendre le consentement de quiconque elle s'y engouffre avec une idée en tête, très logique, censée, Aravar lui fait confiance. Tout autant qu'il est peu enclin à ce qu'elle s'en occupe toute seule sans aucune aide ; partagé entre devoir, sentiments, entre offrir son aide à Sepith ou Vigdis... Son regard se pose brièvement sur Engen, suivi de Bazral. « Je vais en renfort avec elle ! » Puis finalement sur Sepith. Son choix est fait. « Je te rejoindrais juste après pour te prêter main forte avec le Carta. Ils seront forcément là. » Trève de bavardages, le bâtard file en direction de la jeune Dace dont il couvre déjà les arrières avec la hache levée.

Sa priorité actuelle est maintenant, tout comme cette dernière, de fermer les portes des Tréfonds, ou tout du moins de la couvrir le temps qu'elle y parvienne. Il n'a aucune idée du mécanisme de celles-ci, mais au moins sa force aidera dans cette épreuve. Même s'il espère qu'avec un tel choix, Bazral ne lui en voudra pas, il ne pense qu'à la sécurité d'Orzammar. Et la survie de son idylle, chère à ses yeux.

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Dim 12 Nov - 12:14






► 10:40 - ORZAMMAR
La Chute d'Orzammar
Corruption has soaked the soil, sapping all good life from these groves - let us burn out this evil.

Le dépit en tout et pour toute arme.

La cohue du combat ne porte par ses paroles comme il l'aurait souhaité. Les plus proches cependant, au milieu de la frénésie, l'entendent, mais il leur est difficile de bouger de leur plein gré quand les coups pleuvent sur eux.

Bazral, furieux et outré de l'inaction constante de ses propres ouailles, repousse vigoureusement une nouvelle engeance qui tombe sur eux et saisit par le col en ferraille la recrue qu'il eut hélé plus tôt avec des directions précises pour son armée.

« M'as-tu compris?! Cours au palais et annonce le changement de stratégie : que l'armée les écrase via le flanc droit!! Et plus vite que ça!! »

Il lâche le soldat en le poussant violemment hors de la mêlée. Un bref regard lui assura qu'au milieu de ces pérégrinations, elle obéissait un minimum aux ordres. En pleine bataille, le reste était superflu, et il n'y aurait plus grand chose à fanfaronner si jamais ils venaient à perdre Orzammar. Un cauchemar qui devenaient de plus en pleine palpable au fur et à mesure que la bataille faisait rage. La férocité de son peuple palliait la cruauté des intrus, un baume au cœur bienvenue mais tristement faible en un temps pareil.

Et puis son fils qui disparaît des rangs pour une raison qui lui échappe totalement.

« Prince Aeducan! » S'insurge son père non sans enfoncer la lame dans le cou d'un assaillant. « Revenez sur le champ! »

Mais rien à faire, sa propre chair refuse de lui obéir et quitte la bataille sans plus de cérémonie. Le roi n'a pas le temps de rager plus longtemps avant que sa lame ne s'abatte une nouvelle fois sur une créature indigente.
Lui qui patauge dans les méandres de la déloyauté de ses pairs, la trahison de son fils est un énième coup à digéré, et peut-être celui de trop. Celle dont il se souviendra. En temps de guerre, il n'y a pas la place pour les bons sentiments et les cavaliers solitaires.

Il ne peut pas quitter le feu de l'action et rompre les rangs pour protéger le reste de la population. Pour le bienfait du quartier, Dace doit accomplir son travail, et le reste doit rester ici et faire front.

Toujours au milieu de ses guerriers, il tonne à l'équipe de Sepith et au reste de la mélée.

« Gardez les rangs serrés et restez en positions. Les ordres sont déjà donnés pour les civils. Et vous ne protégerez personne si ils font une percée ici dans la défense!! »
Amer de se répéter, il se remet en position néanmoins. « Les nouvelles vagues d'assauts vont arriver, il nous faut tenir et les arrêter en attendant le reste de l'armée! »

L'oeil mauvais en direction des rangs organisés des engeances, Bazral est prêt à frapper, en espérant que le peuple le suive derrière.
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Mer 15 Nov - 16:44


INTERVENTION DU MJ
REFERENT : VIGDIS DACE

[HRP: changement de mj et donc de référent.]


C’est le chaos, entre les soldats qui ne savent plus quels ordres suivre, les civils qui fuient, les engeances qui tuent et saccagent, les membres du carta qui hésitent entre fuir et semer le chaos ; même les ordres du Roi ne semble pas atteindrent tout le monde. Un gros boum se fait entendre cependant ; le plan de @Vigdis Dace a fonctionné, l’accès au quartier du diamant est libre et Skag Bera en profite pour laisser ses hommes s’occuper du reste, il va rejoindre son Roi pour lui apporter du soutien. Cela dit, alors que la Dace semble partir pour un plan qui pourrait être aussi fou que couronné de succès, @Bazral Aeducan est obligé de  secouer ses soldats, ça semble fonctionner, les engeances sont un peu repoussées, surtout avec l’arrivée d’un des lieutenants les plus fidèles au roi et le fait qu’@Engen Dace continue à obéir et à motiver troupes ainsi que combattre.

Le Prince par contre, @Aravar Aeducan semble avoir des soucis de discipline, car il s’en va directement aider Vigdis, qui n’a rien demandé, en ignorant totalement les ordres et de son père et de @Sepith Aravish ; cette dernière se retrouve donc avec pour lourd dilemme d’essayer de comprendre qui est carta ou non et surtout d’aider au plus possible les civils. Car Gumli lui, a bien vu l’occasion d’accéder au Quartier du Diamant, et il va la saisir, dès que  ses tonneaux auront explosés ; un autre moyen de semer le chaos, directement depuis la safe zone…et la zone la plus riche aussi. Carta un jour Carta toujours.



ECHELLES DE DES


Pour tirer les dés, c'est ici ; si les conséquences sont libres, vous les décrivez comme vous le voulez; si elles sont indiquées par le mj, la description devra se faire en suivant ses indications le plus possible, si le mj vous demande de le contacter avant... contactez le.
A part dans ce cas précis, vous tirez vos dés puis faites vos postes, en indiquant encore une fois en spoiler vos intentions pour la suite ainsi que le résultat au jet appliqué dans le post.


ORZAMMAR TOUR 3

Sepith Aravish:

Vigdis Dace:

Engen Dace:

Aravar Aeducan:

Bazral Aeducan:


Game Master

Game Master

Rebellions are built on hope
▲ MESSAGES : 811

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Ven 17 Nov - 18:13

"We've been calling black paw who’s soaring."
Eyes black, big paws and it's poison and it's blood and big fire, big burn into the ashes and no return. ••• Qu'on se le dise. Lorsque la panique fait rage, que les hommes se concentrent sur leur survie, peu de choses ressortent de manière positive. Premièrement, Aravar ne vient pas aider Sepith, à sa grande surprise. Celle-ci hausse même fortement les sourcils en le voyant se ruer à l'endroit même où Vigdis se rend. Tiens donc ... voilà un acte peu commun venant du grand, du fier et gueulard Aravar face à une femme. Autre chose étonnante : Sepith lui donne raison, et ce, contre les ordres du roi Aeducan. Un roi qu'elle vient voir et attrape par le bras pour le faire tourner quelque peu vers elle et surtout, surtout qu'il entende ce qui vient frôler son oreille. La flamme, le torrent de paroles d'une combattante.
"Laisse le partir Bazral !!! Ton fils est parfois idiot, mais il a ses raisons. Et pour une fois, elles sont bonnes !!! Tu crois que les engeances vont fermer les portes peut-être ?"
La blonde naine a hésité longuement à les suivre. Elle les regarde partir, fronce les sourcils, grimace et relâche Bazral avant de repartir en arrière. Car son option ne peut elle aussi pas être compromise : à quoi cela sert-il de fermer les portes si la population est morte ? Deuxièmement, son futur mari ne cherche qu'à resserrer les rangs alors qu'ils ont la possibilité de se mobiliser sur un autre front et ainsi de déplacer le flux des putréfactions ailleurs, sur de bien meilleurs positions.
"Si on reste tous campés, on meurt. Vous en êtes conscients ? ! Les rues on les connaît. Eux, non !!! "
Gueule-t-elle en se montrant bien moins disposée à suivre les ordres. Tendue et peu encline à se laisser maîtriser par un soldat qui lui, veut suivre les ordres de son roi, la fiancée se dégage et les fusille de son regard bleu acier.
"Si nous sommes des traîtres à vos yeux, Aravar et moi, alors la traîtrise est coupable de survie et protection."

Sur ces mots, on entend la frappe de son pied. Puissante. Sauvage. Elle commence à dégager la voie pour les civils vers l'un des passages les plus sécurisés vers le quartier de diamant. Le tout accompagnée de deux gardes aptes et armés suite à la percée salvatrice de Vigdis. Bientôt, ils arrivent près de la taverne, sauvant des civils, mais étant aussi témoins d'une funeste machination. Un homme tente de mettre le feu à des tonneaux, chose qui fait bien évidemment monter le sang de la Haute.
"Petit con !"
L'homme l'entend et tressaute, conscient de qui se trouve dans son dos. Il détale, sans pouvoir mettre son plan à exécution dans une horde de civils tentant de s'enfoncer vers les routes pourvoyeuses de meilleurs lendemains. Sepith range ses armes et tente de le courser suivie de ses deux compagnons. Elle le voit, ou pense le voir. L'attrape, ou plutôt pense l'attraper; car il s'agit d'un civil. Un civil qu'elle dénonce devant ces gens en disant que le Carta est parmi eux. La moitié des faits est vraie. Et la panique enfle. Prise d'un malaise suite à sa faute, Aravish serre les dents, reprend ses esprits et intime aux civils de continuer leur route.
"Repliez vous ! On vous couvrira. Je vous ai juré de donner ma vie pour le peuple. Et je m'y tiendrai !!!"
Ce qu'ils font finalement. Tous partent vers les quartiers de diamant, escortés par Aravish et les deux soldats nains non sans rester sur leurs gardes. Ils englobent à gauche, à droite et à l'arrière le groupe de civils qui bientôt rejoint le plus gros vers la route principale menant au quartier riche. Cependant, Sepith rejoint les hommes et leur dit :
"Si Le Carta sème le trouble comme tout à l'heure, il va tenter de s'infiltrer parmi les civils. Il faut qu'on les protège et qu'on puisse signaler cela aux soldats encore postés au Quartier de Diamant. Un de vous y va. Moi je vais tenter avec l'autre de choper les intrus."
L'un des gardes s'en va donc donner l'alerte à ses camarades. La naine et son comparse suent, mais restent néanmoins aux aguets en passant entre les civils. Le Carta n'abandonne pas aussi facilement. Ça sent clairement le roussi.

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Dim 26 Nov - 20:08


Orza T3:


Que ce soit la chance ou sa réussite précédente, Vigdis ne trouva aucune engeance sur son chemin, soit elles finissaient de brûler dans une odeur affreuse soit des gardes s'en occupaient. Et les portes étaient vides. Une observation rapide lui confirma ce qu'elle pensait; les portes avaient été sabotée; traîtrise. Heureusement qu'elle avait étudié les rouages et les portes il y a peu. Enfin, ça avait été une punition suite à son retour au Façonnat après une courte expulsion, non méritée si on lui demandait son avis; mais au final ça avait été une bénédiction, car elle connaissait le mécanisme par coeur; elle repéra vite les pièces manquantes et profita de l'absence d'engeance pour réparer le tout. Elle commença à pousser chacune des porte. Oui ! Elle avait réussit ! C'était réparé !

Il restait plus qu'à refermer avant que les monstre ne reviennent. Elle commença à pousser une porte quand Aravar débarqua
"Mais ! Tu devrais être avec les autres !" elle était outrée, pensait-il qu'elle était vraiment une demoiselle en détresse ou quoi ? "Idiot, je n'ai pas besoin d'aide...aaaah !" alors qu'elle poussait sa main fut attrapée par une autre derrière la porte de droite, une main hideuse, et elle eut du mal à se libérer, c'était douloureux et ça pissait le sang. "Aravar !"cria-t-elle en voyant ce que lui subissait. Elle avait peur, elle avait mal, elle posa la plaque de pierre contre la porte tout en poussant pour le pas qu'elle s'ouvre plus avant qu'il ne vienne l'aider à fermer la porte restante. Et si ils échouaient ? Réfléchi Vigdis. Alors qu'Aravar allait pour l'aider, elle posa sa main en sang sur sa joue " ton oeil....t'es vraiment un crétin, et ferme cette porte. Vite." Puis elle retira la main blessée comme une caresse, mais non sans penser ce qu'elle venait de dire.

La douleur n'aidait pas mais elle avait une idée; si les portes revenaient à céder ou que des engeances revenaient les ouvrir; ou même des nains sabotaient tout à nouveau, elle voulait s'assurer que plus d'engeances ne passent. Avec son matériel de Façonneuse elle était capable de créer une mine de lyrium; et pas le genre de mine qu'on exploite. Le Lyrium était instable, un nain serait capable de sentir et d'éviter les morceaux qu'elle brisait et traitait devant la porte, mais pas une engeance. Ainsi, en minant le terrain, les prochaines engeances qui passaient par là subiraient une explosion assez peu délicate. Il fallait juste qu'elle fasse ça qu'avec une seule main. Mais elle savait comment faire, ayant déjà gravé un édit dessus et surtout testé lors d'une petite aventure en solitaire.


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