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Ven 5 Jan - 21:15

Ce genre de colère doit être un véritable péché chez les templiers. Peut-être que la proximité d'Orzammar le rend plus proche du berserker plutôt que du noble défendeur de l'église. Il ne sent pas que la ferveur est particulièrement divine en ce moment. Elle est sales, boueuse et vulgaire. En ce moment, il sent seulement l'aspect physique de la chose. Il se sent envoyer un autre cri, mais il ne fait que grincer ses dents. Le mot "attaque!" résonne dans sa tête bien plus que se crie qui sort de sa gorge. Marcus se sent être plus sauvage que les engeances des environs.

Il lance son attaque directement contre la tête du monstre essayant tout simplement de découper l'appendice vital du reste. Il veut tout simplement en finir avec cette monstruosité qui lui a embêté l'existence bien plus qu'elle en a le droit. Son seul regret à cet instant est qu'il reste des engeances à tuer après ce troll, certes il a beaucoup aidé ses paires par son attaque (et nuis à certains avec son premier plan), mais il reste des créatures à tuer. Il espère qu'il n'a pas complètement vidé ses forces sur ses grands coups de lames qu'il exécute.

Lancé de dés : Succès

La giclée de sang qu'il reçoit au visage est le signe qu'il attend que la tête soit complètement détachée du reste. Marcus juge que finalement, le troll a atteint le statut "d'assez mort" au moment où il passe sa main sur son visage pour le nettoyer. Il espère que la substance ne finira pas en lui. Cela fait quand même une belle addition à son tableau de victoire. Une partie de lui aimerait bien qu'il ait tué le troll tout seul, mais il sait être honorable et donne un petit mouvement de tête dans la direction des gardes de l'ombre qui l'ont assisté dans cette tâche. Il tenterait bien de tenir la tête du monstre en signe de victoire, mais il ne s'en croit pas capable surtout à cet instant.

Le calme revient en lui, mais il doit continuer à tuer toutes les engeances autour de lui, heureusement pour lui le réveil de Ysern lui donne quelques indications. Il se retourne et regarde droit vers le genlock. Disons que l'adversaire lui fait un peu moins peur que le troll et c'est pour ça que Marcus décide de tout simplement l'attaquer par le côté espérant que la créature tombe rapidement au combat. Sa patience avec les engeances est plutôt à bout à cet instant. Marcus aimerait bien que de voir le troll le sang du troll sur son visage fasse fuir le monstre.

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Mer 17 Jan - 19:51


URGENCE AUX PORTES

Une soudaine chaleur te caresse le dos lorsque les torchères tombent pour former une barrière de feu entre Orzammar et les engeances, malchance ou chance, tu es du mauvais côté, la fuite n’étant plus possible vers la cité des nains. Mais c’était ton plan, tu étais là comme dernière ligne de défense et tu comptais en emporter autant que possible dans la mort, que ce soit avec toi ou non. Tu ne t’imaginais pas sortir de là vivant, et pourtant, ton épée se balançait au bout de tes bras comme une faux, découpant tout sur son passage. Aucun monstre ne parvenait à t’atteindre, pas même les flèches de tes alliés ne te touchaient accidentellement. Tu te sentais invincible, mais dans un coin de ton esprit, tu ignorais si tu reverrais le soleil se lever.

JET ; RÉUSSITE

La présence de Bran à te côtés éveille une forme insoupçonnée en toi. Si au départ elle te distrayait légèrement des monstres vous entourant, tu te servais désormais d’elle comme d’une nouvelle force. Celle que tu considérais comme une recrue était désormais ta seule alliée dans ce chaos ambiant, pour une fois, tu la voyais comme une égale, une potentielle guerrière de feu qui te supporterait, au lieu de te nuire. Tu pourrais même aller jusqu’à dire que tu lui faisais confiance pour être une paire d’yeux supplémentaire sur le terrain ; car tu ne pouvais pas tout voir.

JET MJ ; ÉCHEC

Entre deux balayages, tu repères les trois gardes des ombres au loin, accompagné du templier. Le dernier troll s’écroule au loin, et tu sais que les gardes des ombres s’occuperont de le mettre en morceaux. Distrait pendant quelques secondes, tu ne remarques pas qu’une vie semble encore palpiter près de toi, au sol. Emplie de vengeance, l’engeance t’attrape par la jambe et tire comme si sa vie dépendait de ta chute. Entaillé violemment, tu grognes de rage tandis que ton corps heurte le sol de terre battue. La garde de ton épée vient répondre à cet affront et tu l’enfonce dans le crâne du coupable, mais il est trop tard pour ta jambe, ça saigne, et une tentative pour te relever te révèle qu’il ne sera pas possible pour toi de marcher dessus. Ton mollet écarlate, tu t’assois quand même au sol pour ériger tes dernières défenses autour de toi, mais le sang s’échappant de ton corps te fait tourner la tête doucement. Des taches noires apparaissent devant tes yeux, et tu luttes pour rester éveillé, ne voulant pas abandonner Bran dans ce chaos ambiant, mais tu trempes rapidement dans une flaque de ton propre fiel, on pourrait presque croire que la jambe t’as carrément été arrachée tellement elle est amochée.



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Mer 17 Jan - 23:23


    EVENT

Fire is catching !
And if we burn, you burn with us

    

Kobain était tombée.

Et dans sa chute, c'était toute sa raison qu'il emportait.

L’aliénation devenait une forteresse immatérielle.


Corbiaus affamé, Bran se déformait. S'enrageait. S'enhardissait. De plume et de rage. De sang et de peur. La monstruosité née de l'inavouable frénésie du champ de bataille : elle s'oubliait dans la folie qui la gagnait. D'un feux ardent qui dévorait de ses veines la raison fléchissante, elle dessinait un cercle enflammé autour d'eux. Un cercle d'explosion accablante. Un cercle de magie hurlante. Des flammes qui habitaient ses lèvres. Sa gorge. Ses râles. Ses râles bestiaux. Ses râles brûlant. Brûlant. Brûlant encore. Et encore. Et encore. Jusqu'à l'os. Jusqu'à la moelle. Jusqu'à ce qu'il n'y ai rien de plus à brûler que l’évanescence angoissante de la brutalité éveillé. Mais il lui fallait brûler. Brûler. Brûler. "B R Û L E !" hurlait-elle. 

Si le flot purulent avait entaché son innocence, c'était de ses flammes désormais, qu'elle dévorait la candeur de son âme. Ce qui autrefois la définissait se mourrait : consciemment elle égorgeait ce qu'elle avait été pour le préserver. Lui. Kobain.  Il n'y avait pas de place pour une enfant sur le champ de bataille. Plus de place pour la Branwen d'autrefois. Celle d'aujourd'hui venait de lui entre dévorer les entrailles.

Dans ce chaos qui lui broyait l'esprit, si la pensée consciente s'oubliait, le corps se rappelait de faiblesse. Sa magie s’amenuisait. Se tarissait comme l'esprit qu'elle sentait partir de Kobain. L'immatérielle se refermait devant elle. Et si ses muscles tremblaient d'un souffrant épuisement, son esprit contestait sa défaillance humaine. Elle ne pouvait s'autoriser le fléchissement de cette digue qu'elle était devenu. Cette dernière rempart. Ce dernier corps avant la mort. Ainsi reposait sur elle la survit de cet amant qu'elle n'osait pas. Alors si cette magie ne pouvait plus rien pour eux, il lui restait de désespoir la force de ses bras. La rage de ses dents. La folie de son instinct hurlant. Ignorant le bras arraché qui le tenait, Branwen se saisit du bouclier, pour renvoyer le métal mordre le visage de l'engeance qui lui faisait face. Son corps n'avait pas oublié, qu'autrefois elle avait appris à le porter, à le manipuler. De ce temps révolu où elle se destinait à devenir templier, au moins lui restait-il cela. Le maniement du bouclier. Hurlante, elle abattit de son frêle poids, le bouclier, sur la traché de l'engeance renversé. Répétant le geste jusqu'à la démence, elle l’abattit encore. encore. encore. encore. Jusqu'à ce que le souffle vienne à manquer. Jusqu'à ce qu'une engeance abatte son arme sur son visage. 

De son bras épuisée, elle avait alors sacrifié sa protection pour se protéger. Acceptant de perdre cette dernière protection, cette dernière arme pour dévier l'attaque. Le bouclier s'était perdu dans le démembrement des corps. Dans le démembrement de ses espoirs. Branwen n'était désormais, plus qu'une forteresse chancelante. L'humanité qui s'efforçait de préserver le peu qui lui restait. Seul lui demeurait son corps, entre Kobain et l'engeance. Cueillit de violence par le coup suivant, elle tomba à genoux entre eux. Le prochain coup, elle le savait serait fatal pour l'un d'entre eux.

Alors ...

Malgré la douleur qui la broyait.

Malgré ce souffle qui lui manquait.

Branwen se redressa lorsque sur Kobain se porta l'attaque.

Sacrifiant sa main puis son épaule, elle se laissa empaler jusqu'à la garde, pour préserver de son corps, cette amour qu'elle n'avouait pas.

Pour Kobain, elle aurait accepté de tout perdre.

Pour Kobain, elle acceptait de tout perdre.

Et peut-être aurait-elle tout perdu si un garde n'avait décapité la créature




    
AVENGEDINCHAINS
    


Plan de Bran:
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Jeu 18 Jan - 11:53




Intervention du MJ
Referent : Aravar Aeducan

@Marcus Vasari tu sembles littéralement emporté par l'adrénaline étant donné que tu décapites le troll non sans l'aide des Gardes au sol mais peu importe au final, la bête ne sera plus un problème : elle est morte. Bientôt le genlock responsable de la deuxième chute inconsciente de Ysern est également tranché mais pas par toi ; par l'un des Gardes venu en renfort. Il attrape la recrue à terre et escompte l'éloigner du combat pour qu'elle rejoigne les blessés qui s'en sont sortis ; il te demande aussi de surveiller ses arrières donc de l'aider. Vous traversez une partie du champ de bataille complètement infesté par les cadavres d'engeances et de soldats, loin de là où l'affrontement fait encore rage. Ce sera à toi de décider si tu retournes les aider en soutien ou si tu resteras avec Ysern jusqu'à son réveil.

@Keira ton arc est presque en feu, comme toi, car tes flèches couvrent parfaitement tes alliés au sol, tenant ta position jusqu'à ce que tu ne soit témoin du spectacle qui suit ; @Kobain qui après une attaque dévastatrice est violemment entaillé au mollet puis chute à terre, secouru à temps par @Branwen Cadell qui encaisse elle aussi des dégâts... Plus violents. Mais la misérable engeance responsable est tuée, complètement défigurée, laissant deux blessés dans son sillage. @Keira tu descends alors de ton piédestal pour leur venir en aide, il faut qu'ils rejoignent les blessés hors du champ de bataille, eux aussi. Heureusement les portes ne sont pas laissées sans défenses, malgré les flammes qui font déjà rage, des Gardes et soldats arrivent en renfort pour vous couvrir.

Comme il s'agit du tour de clôture de l'intrigue, qui sera achevée par un ultime poste du MJ, vous n'avez ni échelles ni dés à lancer !


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Sam 20 Jan - 0:05

La tâche a été tout simplement crevante, mais pourtant, Marcus sent qu'il a des forces à donner au combat. Après une telle démonstration, il a montré ses talents de tueur de créatures et peut difficilement demander une petite pause dans de telles circonstances. La seule vraie tranquillité viendra quand la dernière de ses créatures aura rendu  l'âme.  La seule paix qu'il peut se permette est de reprendre un esprit plus calme et moins avide de sang et de combats. Très peu de temps a été  nécessaire pour le replacer cette frénésie, ce qui le surprend pendant un instant, jusqu'à ce qu'il se concentre sur ce qu'il doit faire.

Comme prévu Marcus retourne aux combats soutenir ses paires dès que les blessés semblent avoir mis en sécurité.  Certes, il aurait bien aimé maquer quelques points en s'occupant de Ysern, mais il sent que se retirer hâtivement d'ici serait un grand acte de poltron indigne de son rang de templier. La crainte qu'il a pu sentir précédemment est quelque peu oubliée pour davantage laisser place à un esprit pragmatique. Il a survécu à une plongée dans ce bassin de dangers, il peut en survivre une autre. Marcus essaie quand même de rester sur ses gardes et de ne pas perdre sa vigilance


La crainte revient à mesure qu'il approche. Le templier n'a pas vraiment de plan d'approche puisque très clairement l'improvisation marche bien plus dans cette situation.  Ses yeux suivent le mouvement de sa lame essayant d'amener celle-ci contre toute chair putride. Après avoir tué le troll, Marcus a l'impression que celle-ci coupera contre toutes engeances avec aisance. L'intensité est simplement disparue de son esprit, mais le templier sans que tout cela puisse basculer en un instant. Il sent presque qu'à mesure que le templier s'approche de ceux qu'il veut aider, sa confiance s'effrite juste un petit peu.

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Jeu 8 Fév - 11:29


FIRE IS CATCHING !

AND IF WE BURN,

YOU BURN WITH US



Sa conscience n'avait plus que la tangibilité d'un frêle oiseau, bravant une tempête qui l'avait depuis longtemps balayés. Elle s'oubliait. Tombé dans ce champ fleurit de ces corps qui lui était autre. L'inébranlable gisante, qui de conviction demeurait à genoux d'une force qui ne lui était plus, se perdait. S'étiolait par delà les brumes de la douleur. Emporté par ces charges d'engeances qui la traversait ou disparaissait. L’empalait ou la délaissait. Branwen se perdait en hallucination d'un présents éloignés des combats à ceux qui l'avait conduit jusque là. Sa chair trouvait peu à peu place dans le charnier. Ses membres se perdait dans la démultiplication de ceux amputés, sans qu'elle ne parvienne à définir ce qui était sien. Ce qui était leurs. Elle n'avait pas survécu à la charge. Ou peut-être y avait-elle survécu. Elle ne le savait plus. De vie ou de morts le souffle ardent qui traversait ses poumons lui semblait la seule chose réel, à laquelle tisser son nom ... Kobain. Comme une promesse. Un récital. Une dernière prière avant que ne s'autorise l'absence puis l'oublie, dans une fin qu'elle avait si longtemps désiré. Fatiguée de vie. Fatiguée de magie. La mort eut été la sereine justice, la paisible jeunesse qu'elle n'avait eut. La seule chose qu'elle eut désirée sa vie durant.  

Pendu aux seuls lettre d'un nom qui n'était sien, l'exacerbation de ses sentiments n'avait été que l'âme du suicide, qu'elle s'était minutieusement préparé. La mécanique d'une ivresse artificielle pour cœur engourdit de ces temps cruels. La tragédie d'un coeur évidé. Les trahisons avaient crée en elle, cette soif insoutenable d'aimer à défaut d'être aimer. Pour remplir sa vie. Pour remplir ce vide qui l'habitait. Qui la dévorait depuis son père. Depuis Merlynn... La théâtralité du sentiment devenait l'habile mirage qui masquait l'absurdité qu'avait été sa vie. La futilité que serait sa mort. C'était l'infime illusion de l'inutile fait utile.  Elle voulait une raison honorable de mourir : à la hauteur de ses fantasmes de l'enfance. Plus glorieuse que ne l'aurait été sa vie. Plus glorieuse que ne le serait sa réalité. Une mort qu'elle se sentait prête à accueillir aux portes d'Orzammar. Une mort pour ce nom qui n'était pas sien... Kobain.

La lourdeur du pas se profila contre ses genoux, amplification de ce qui était autant proche que lointain, sans que Branwen n'en reconnaisse l'origine. Le sens. Inconsciemment consciente. Consciemment inconsciente. Son esprit se protégeait de la douleur. Seule la magie enflammant ses doigts trahissait la faible lucidité qui l'habitait. Branwen était autant qu'elle n'était plus. Simple corps de chair et d'instinct qui de souvenirs, se défendait contre ce qui s'en viendrait, mais oubliait que la jeune femme n'était plus véritablement de ce monde là. L'effondrement la cueillit enfin, quand de l'épée furent libéré ses membres empalés. Recueillit par les bras d'un garde, seul la litanie du nom porté par ses lèvres la rattachait encore aux vivants.

Kobain. Kobain. Kobain.

Le visage de cette homme qui la portait, lui semblait embrassé des traits familiers d'Aguilar. Contour floue, de la mythologie qui avait habillé les derniers mois de sa vie. Il était devenu son ancrage entre les pierres de fort Bastel. Le tenant de l'indépendance qui lui avait offert. Qui lui avait rendu, comme un dû dont l'absence avait entravé son existence. Aguilar était la figure forte et protectrice qui avait manqué à son enfance. Le mentor qui lui ressemblait. Le mentor qu'elle rappelait aujourd'hui, contre cette mort qu'elle avait désirée mais qui désormais l'effrayait. Comme une dernière protection avant le départ. Une dernière figure, pour un dernier voyage. Elle se sentait revenir au commencement contre ce corps qui n'était sien. La totémique présence familière de l'homme qui lui avait fait réécrire cet avenir, qu'elle avait de regret choisit. Aguilar l'avait aidé à faire sien ce monde qui ne voulait d'elle. A faire de la Garde son commencement... puis sa fin.  Il lui semblait tenir entre ses mains, qu'elle avait toujours trouvé larges, ses doigts redevenu enfant. Comme une invitation à un voyage plus grands et lointain encore. Un voyage qu'elle n'était pas obligé de faire seule. Tout deux frontières entre les mondes. Branwen avait perdu bien trop de sang pour qu'il n'en fut autrement.

Kobain. Kobain. Kobain.

Moins par amour que vanité, c'est ton nom qui la rattache encore à cette vie. Branwen ne t'aimes pas. Pas encore. Parce qu'elle ne sait pas aimer. Elle ne l'a pas appris. Elle ne l'a pas vécu... Résonance de son dernier sacrifice, tu es la promesse de l'absolution parental, de l'absolution personnelle si sa propre mort parvenait à égaler les fantasmes chevaleresque de son enfance. Branwen ne s'est attaché à toi, que par la quête aveugle d'une fin digne de son destin. Alors si ses doigts se détachent aujourd'hui de ceux d'Aguilar, c'est hanté par la peur d'avoir échouer à te protéger. D'avoir échoué à mourir d'une tragédie à la hauteur des tourments de sa vie.

Kobain. Kobain. Kobain.

A son réveil, c'est ton nom qu'elle portera encore aux lèvres...
Puisses-tu lui apporter cette absolution qu'elle attends depuis si longtemps

 

       
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Jeu 8 Fév - 18:10




Conclusion
Referent : Aravar Aeducan

Vous le voyez plus loin, pour ceux qui sont encore conscients, les engeances sont déroutées ; vos alliés sont parvenus à achever le Général et celui-ci ne se trouvera pas aux côtés de l'Archidémon durant le combat final.

De votre côté soyez-en rassurés, votre mission n'est pas un échec : vous êtes parvenus à protéger les portes d'Orzammar qui ne sont pas tombées et les trois trolls ont été vaincus. C'est une réussite qui laisse malgré tout son lot de morts, de blessés ainsi qu'un sale goût amer (et de fer) au fond de votre gorge. Vous n'oublierez pas de si tôt ce qui s'est passé ici sur le champ de bataille, certains plus que d'autres...

Avec l'aide de soldats et de Gardes, Keira s'occupe de mener hors de danger @Kobain inconscient ainsi que @Branwen Cadell aux portes de celle-ci, même entre la vie et la mort, qui sait. Son état est le plus grave mais heureusement elle est rapatriée à temps avec les autres blessés.
@Marcus Vasari, après s'être occupé de Ysern et avoir soutenu ses pairs, réalise qu'il ne reste plus beaucoup d'engeances à affronter, elles fuient en raison de la perte de leur Général. Mais voilà une bonne occasion d'en trancher quelques-unes supplémentaires qui rejoindront les autres déjà à terre, infesté de carcasses ensanglantées.

C'est peut-être une victoire mais l'Archidémon n'est pas vaincu, il reste encore un ultime affrontement à mener. Pour l'heure, celui-ci est terminé.


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