LA PRISE DE KIRKWALL - INTRIGUE

Courant droit vers les tonneaux qu'elle a repérée plus loin l'Elfe ne prend pas la peine de répondre à Sarren qui semble d'accord avec son plan. A vrai dire elle pense surtout à prendre la fuite à cet instant. La garde civile elle la fuit depuis qu'elle est toute petite, alors pourquoi maintenant elle l'affronte ?! C'était décidément un plan débile de prendre une citée, enfin en tout cas avec elle dans les rangs. C'était comme lui demander de survivre en pleine nature, sans l'intervention de ses paires elle serait déjà morte. Enfin, si elle était en sécurité par la suite dans cette citée conquise cela valait sans doute la peine d'essayait.

Elle approchait des tonneaux, elle ralentit sa vitesse et se tourna pour voir la situation, c'était très mal, ils étaient en facheuse posture. Elle ralentissait vite, ses mains et ses jambes tremblaient, c'était la première fois qu'elle était au cœur de la mêlée. Même dans les dorsales de Givres elle s'était débrouillait pour fuir et ne pas assister à un possible combat. Mais là c'était différent, elle était entrée dans la danse de la guerre volontairement. Se reprenant assez longtemps pour atteindre les tonneaux elle essaya tout d'abord de les tirer, mais étant trop lourd pour elle se dû se résoudre à une autre solution.

se débrouillant pour se glisser derrière les tonneaux elle les poussa de toutes ses forces pour qu'ils tombent, elle imaginait qu'une fois qu'ils seraient au sol ce serait plus facile, mais là c'était encore mieux. Elle avait forcée comme une malade pour les faire tomber et une fois au sol, ils commencèrent à rouler tout seuls vers Sarren et les gardes.

- Ca marche !! J'ai réussie !!

Sautant comme une gamine heureuse, elle était fière d'elle-même, son plan n'était pas si pourri que ça finalement.

- Sarren ! C'est-à-toi de jouer maintenant !

Elle resta à l'endroit où étaient jadis les tonneaux regardant Sarren se mettre à l'oeuvre et commença à réfléchir à la suite ignorant si ils auraient la paix cinq minutes cette fois.

Résultat du dé:

La prise de Kirkwall

INTRIGUE

Dés:

Le souffle de l’explosion ébranle les alentours, tandis que la tour où se terrait la tête pensante des Templiers s’écroule sous la violence de l’impact. Débris et gravats se répandent tout autour de l’édifice qui se dressait encore là il y a quelques secondes à peine. La rouquine jubile et abat de plus belle son épée sur les Templiers effarés face à elle, certains devenus pâles à la vue de la tour détruite. Que le Créateur se montre miséricordieux et accueille Erik dès maintenant en sa demeure, cela vaudra mieux pour lui que la Renarde ne l’y envoie de ses propres mains enhardies par l’ivresse de la bataille.

Un bref regard en arrière vers Gwenaël et Talys leur transmet toute la hargne que la mage met dans l’affrontement, où brille également l’enthousiasme guerrier d’avoir porté un mauvais coup à l’ennemi. La disparition d’Erik promet de semer le trouble parmi les Templiers, au moins pendant un temps. Et cette idée la séduit autant qu’elle l’alimente en énergie.

La magie se condense autour et en elle. Le recul des Templiers et les diversions causées par la dangerosité avérée de sa lame ayant entaillée l’armure du plus proche et l’explosion de la tour lui offrent cette occasion. Celle de concentrer suffisamment de pouvoir pour les balayer tels de vulgaires fétus de paille avec la prochaine attaque magique qu’elle leur prépare : un déluge de flammes et de coups, reflet de son ardeur.

Action:

☾ anesidora - modifié

La prise de Kirkwall

intrigue

«…..SANS VOUS LAISSER ABATTRE» La fin de ma phrase faillit être interrompue par le cri d’avertissement de Gwenäel. Il a raison, je m’expose, mais il est nécessaire que je sois présente. Rôle à double tranchant, il serait probablement mal vu que la tête d’une organisation ne soit pas présente elle-même sur les champs de bataille, et j’étais prête à assumer tous les risques que cela occasionnerait. Mais il semblerait que tout ne soit pas de mon avis. Je peux dire que la chance m’accompagne depuis le début de cette intervention. Pas une égratignure, aucune blessure, que des tentatives avortées par mes deux escortes, et pourquoi, je semble me jouer de prudence en délivrant mes discours d’encouragement, jugés utiles en début de bataille, mais qui me semblent de plus en plus désuets.

Ce qui devait me viser au départ bifurque vers Wilhelma. Je n’ai pas le temps de réagir, de me mettre à couvert que la protection de Gwenaël se met en marche. Je pourrais croire à tort que je n’ai rien à craindre avec ces deux là à mes côtés, et j’en vois la preuve lorsque je vois l’antagoniste disparaître sous les gravats. Le fardeau que je représente, la distraction me frappe au visage. Il me faut agir, les mots ne suffisent plus devant l'hécatombe des corps, des combats physiques, magiques, et du brouhaha qui couvre le moindre de mes mots de toute façon. Le regard de Wilhelma me requinque le temps d’une seconde. Le sceptre placé dans mon dos vient trouver sa place entre mes doigts fin, afin que je puisse en user au cas où. L’environnement non propice à la concentration, je me résigne à la magie de soin qui devra quand même m’être utile, vu la combativité de mes deux accompagnants, je préfère nous protéger que de passer en offensive, ignorant si j’aurai le plein contrôle de ma magie élémentaire.

La tour effondrée attire tout de même toute mon attention, ou presque, craignant y voir Erik surgir, et constatant que la concentration de Gwenaël et Wilhelma est bien ailleurs que sur la potentielle mort du Chevalier-Capitaine. Silencieuse, j’en profite pour me concentrer le plus possible, me tenant prête à toute éventualité tandis que la lutte continue de faire rage autour de nous.

ACTION:

Le chef de la Résistance regarda ses compagnons faire.... la meilleure des rébellion. Il serait écrit dans le marbre que Kirkwall avait été reprise à coup de chasse et de chiasse. C'était parfait. Les quelques templiers présents avec les gardes avaient été mis ko ou étaient absents, ne restaient que les gardes confus; à son tour il décida d'entrer en scène. Redevenu humain, il ne tenterait pas l'approche...hilarante et originale de Lennart, il sorti de sa cachette et se présenta devant les gardes présents les bras grands ouverts, un grand sourire sur les lèvres; "messieurs dames, mes bien chers gardes de Kirkwall, pourquoi tant de violence envers vos nouveaux citoyens ?" ceux qui n'étaient pas confus à cause du guano tombé du cygne et du ciel, se tournèrent vers lui, certains sortirent leurs épées ou leurs lances et se dirigèrent vers lui. Il secoua la tête alors qu'une explosion retentissait non loin; il ne savait pas ce que faisaient ses congénères, mais c'était bruyant. Il reconnaissait même la patte de Wilhelma dans ce délicat fumet qui signifiait boule de feu, grosse boule de feu. "Je conçois que nous ne sommes pas des citoyens ordinaires, mais faisons de Kirkwall un endroit ou vivre ensemble !" il avait toujours ce grand sourire mais les gardes ne semblaient pas vraiment en accord avec ses paroles; probablement le bruit d'exposition, les gens avaient tendance à ne pas aimer ça dans leurs propres villes, ou de manière générale, ce qui rendait le dialogue plus difficile. "Je crains que vous ne soyez victimes d'une légère confusion sur notre cas" lâcha-t-il finalement avec ce timing qui lui correspondait si bien, en plantant son bâton dans le sol, envoyant une vague onde orange qui les frappa tous à la tête; certains s'écroulèrent sur le sol à fixer le ciel, compter les mouettes imaginaires, un autre s'assit sur le sol et sembla compter les pavés tandis que les derniers restaient debout, les yeux dans le vide. Arion avait eut tout son monologue pour préparer son sort, il durait un moment pour ceux touchés et atteindrait toute personne non mage qui oseraient passer par la place.

Voyant Lennart déjà parti chercher Zachariel (et sans prévenir son chef, snif), il retourna vers les escaliers, la confusions menée par les trois métamorphes lui offrant un chemin libre. Là, au détour d'une tour écroulée, il pouvait entendre le bruit de la bataille et le chaud du feu, définitivement l'œuvre de la Renarde qu'il avait recrutée au tout début de cette folle aventure. Il se retrouvait donc dans le dos d'un escalier prit à moitié par des Templiers qui semblaient furieux et confus et des gardes qui ne savaient pas trop quoi faire; il plongea la main dans sa sacoche pour y prendre une pierre de lyrium afin d'emprisonner tout ce beau mon mais échec, impossible de la trouver, il avait du les ranger ailleurs; pas le temps de fouiller, ça serait les gardes, ils étaient les plus innocents dans cette histoire de devoir accomplir son devoir, et en plus ils ne venaient pas de la Chantrie eux; leur chef semblait absente, de plus; faisant tourner son bâton avant de le planter dans le sol, il créa autour d'eux une prison magique, rien ne pouvait entrer ni sortir tant qu'il maintenait le sort réussit, une version plus puissante que celle qu'il avait utilisée avec le Dragon, vu que rien ne pouvait atteindre les gardes coincés; c'était un message à ses collègues plus bas; concentrez-vous sur les templiers.

Spoiler:

INTERVENTION DU MJ

REFERENT : ARION

HRP: troisième tour, plus que 7 avant l'arrivée de renforts.

@Sarren et @Rosélie, vous arrivez à … interrompre les gardes le plus pacifiquement possible et avant que vous ne tentiez autre chose, quelqu'un intervient, ainsi Owen va leur parler, il arrive à les convaincre de ne plus vous attaquer, jouant sur le fait que certains le connaissent depuis l’enfance, puis que la meilleure manière de sauver Kirkwall c’est d’empêcher les Mages et les Templiers de s’entre-tuer ; ses propos appuyés par un bruit d’explosion et de la fumée les gardes acceptent de vous suivre vers les escaliers pour essayer de convaincre leur capitaine ; en chemin vous croisez deux templiers, avec l’aide des gardes et d’Owen vous ne devriez pas avoir trop de difficultés à vous en débarrasser.

@Hélène Sutter tu peux voir qu’Alicia est mécontente, la main sur le pommeau de son épée, elle n’apprécie pas ce que tu as fait et surtout de ne pouvoir voir le reste de ses hommes ; la chute de la tour fait monter la pression. Mais elle semble croire sincère quand tu propose d’aider à soigner son homme. « Si vous le soignez et faites disparaître ce mur de feu, que mes hommes vont bien, nous prendrons un rôle neutre dans ce conflit et aideront les civils, mais à ces seules conditions. »
Les gardes peuvent être un atout de poids, et ce poids repose sur tes épaules en ce moment.

@Gwenaël et @Wilhelma vous n’avez manifestement laissé aucune chance à Erik ; le premier d’entre vous l’ayant désarmé, et l’autre détruit la tour où il était. La dizaine de templiers devant vous semblent partagés entre la peur et la colère, ce sont des sentiments dangereux ; Gwenaël, tu décide de t'occuper de deux templiers en face de toi, et tu connais assez les mages pour comprendre ce que Wilhelma et @Talys Shiral sont en train de faire, tu vois aussi @Arion enfermer les gardes depuis le haut des escaliers, il ne reste plus que toi et les Templiers, pour protéger les deux femmes mages. Mais voilà, ton œil vif aperçoit aussi un Erik à moitié mort et brulé sortir des ruines ; il a toujours une épée, et même si il va en boitant, il semble déterminer à tuer Arion, concentré sur son sort et qui lui tourne le dos ; tu dois faire ton action puis un choix et vite.

@Lennart O'Wittelsbach et @Zachariel de Serault vous finissez par vous retrouver ; vous avez le choix, repasser pour le marché où semblent figés dans l’incompréhension tout les gardes et rejoindre les autres ou essayer d’ouvrir la voie jusqu’à la Chantrie, ou en tout cas, discrètement vous infiltrer sur son chemin afin de voir ce à quoi vous aurez à faire pour que la Rébellion soit prête.

Vous n’avez toujours aucune nouvelles du Herault.

ECHELLES DE DES

KIRKWALL TOUR 3

Dû à une volonté de faire avancer l'intrigue, certains d'entre vous n'ont pas de jets à faire, mais gagnent un bonus de +10 de repos dans leur spécialité

Sarren:

Gwenaël:

Hélène:

Zach:

Lenny:

Rosélie:

Wilhelma:

Talys:

Arion:

Tout s'enchaîne vite. Rosélie n'échoue pas et Sarren évite les tonneaux qui foncent droit en sa direction, leur laissant le libre passage jusqu'aux gardes en accélérant le plus possible leur course avec un sort. Seulement pas besoin de s'échiner plus, tout ce beau monde s'arrête et Owen va leur parler. Durant ce temps l'elfe retourne à proximité de sa semblable mais avec une certaine distance des pourparlers qui se déroulent ; prudence évidemment. « C'était un beau travail d'équipe. » Lance-il à Rosélie en attendant. C'est un faible soupire de soulagement qui s'échappe d'entre ses lèvres en voyant que ces derniers portent leurs fruits et que l'affrontement ici est au moins terminé. Ici, oui, car les oreilles de Sarren ne manquent pas l'explosion suivie d'une fumée plus loin... Justement là où ils doivent maintenant se rendre mais le soutien de cette poignée là semble acquis et c'est pour le mieux. Malgré tout le déserteur ne crie pas victoire aussi vite. Sur leur route se dresse deux Templiers qui ne seront probablement pas à convaincre ; plutôt à mettre hors d'état de nuire. Son bâton en évidence, il prépare naturellement un sort de glace, tout en prenant garde à ne pas blesser ses alliés clairement plus en nombre que les assaillants.

Spoiler:

les tisons de la libertébrûle, ô brûle

***

Le paladin fervent qui l'avait précédemment embourbé dans une délicate joute parvient laborieusement à vaincre sa confusion, les vestiges de fumée nébuleuse lui irritant encore les cornées et annihilant ses réflexes les plus primaires. (Jet de Dés : Réussite) Tant et si bien qu'il n'appréhende pas suffisamment la ruée de l'ancien Inquisiteur qui, non mécontent de cette splendide ouverture, se laisse lestement couler sur le sol jusqu'à sourdre dans son échine. L'usuelle empathie de l'adonis est sanglée et muselée, en ce temps de conflagration où il faut décimer ou se faire occire, il ne peut se permettre un accès de mansuétude. La poigne se tonifie sur le manche de son estoc, l'autre paluche saisit le crin d'ébène dépourvu de protection, puis, la lame fore violemment dans le cou de son adversaire pour lui sectionner la carotide. L'hémoglobine gicle jusque sur le faciès du seigneur déchu qui s'en retrouve diapré, et qui lâche le corps trémulant d'agonie de l'énergumène.
Nul loisir de s'apitoyer, son regard est immédiatement affriandé par Wilhelma et Talys qu'il voit condenser leurs énergies. Il se hâte en leur direction et s'érige en rempart entre le reste de leurs ennemis et elles, au moins le temps qu'elles préparent leur prochain sort.

A sa plus grande surprise, c'est un tout autre enchantement qui s'en vient installer un carcan sur les gardes civils. Il aperçoit, entre les galbes, celui d'Arion, qui lui arrache un sourire enchanté de le voir encore en pleine santé. Toutefois, à cela se substitut une vision d'horreur, celle d'Erik qui surgit des décombres, encore fumant des flammes l'ayant liché et mangeotté la carne. Un démon à s'y méprendre. Armé qui plus est, et envieux de dégueuler son ire sur le chef conjoint de la Rébellion. La réflexion de Gwenaël file à toute allure, une décision s'impose, potentiellement matrice de graves conséquences. Il ne peut quitter les nymphes à ses côtés, mais ne peut décemment pas non plus abandonner Arion à un funeste sort. Alors, il rengaine prestement son arme et brandit derechef son arc, portant bonne espérance à ses aptitudes en dépit des dangereuses circonstances. (Jet de Dés Surprise du MJ : Réussite + Description imposée)

La flèche est décochée et se plante dans la rotule valide d'Erik, qui choit dans un hurlement tonitruant. Gwenaël n'a pas le temps de se réjouir, car le cri attire l'attention de deux templiers qui galopent au secours de leur Chevalier-Capitaine. « Il faut défendre Arion, là-haut ! » Hèle t-il pour Wilhelma et Talys vers lesquelles il se tourne furtivement tout en reprenant son épée. « Je m'occupe des templiers devant nous, je vais tâcher de dégager la voie pour que nous puissions enfin gravir ces escaliers ! » Et justement, un binôme d'antagonistes se présente à lui. Le bretteur approche, prêt à en découdre, mais puisqu'il est en infériorité numérique, il se place en posture défensive et parée à l'esquive.

Spoiler:

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La Prise de Kirkwall

Event Mages
Marches Libres - Kirkwall, 10 : 40 des Misères

A en juger par la façon dont Alicia pose les yeux sur moi, je vous assure que si les regards pouvaient tuer, je serais déjà six pieds sous terre. La prochaine fois, j'y réfléchirais à deux fois avant d'utiliser ma magie de façon aussi menaçante pour ensuite venir annoncer que mes intentions sont honorables.

Voilà que cette dernière me pose un ultimatum : si je parviens à soigner son homme et si je fais disparaître mon mur de flammes, elle acceptera de ne pas prendre parti dans ce conflit. Mon cœur fait un bond dans ma poitrine. Si les gardes choisissent de s'écarter volontairement pour nous laisser avancer dans la ville, cela pourrait nous donner un énorme avantage.

Sauf que la magie curative, ce n'est pas vraiment mon truc… Je suis plus douée pour faire jaillir des flammes que pour guérir des blessures. Alors, j'espère ne pas aggraver les choses en essayant.

« Entendu. » J'acquiesce, un peu nerveuse, en me penchant vers l'homme blessé.

Tout d'abord, je concentre mon énergie sur le mur de flammes, dans l'objectif de le faire disparaître. Fort heureusement, mon contrôle permet aux flammes de faiblir, jusqu'à le faire s'évanouir entièrement pour ne plus laisser que des soldats incrédules et de la fumée.

Je reporte ensuite mon attention sur le soldat à terre, fermement tenue par Alicia, qui me foudroie toujours du regard. Devant mon interrogation silencieuse, elle hoche la tête - un peu à contrecœur, je le sens bien - et me laisse poser mes mains sur le blessé. Au prix d'un effort de concentration intense, je sens la magie jaillir de mes paumes et venir soigner le soldat inconscient.

Sa guérison est sommaire, juste assez pour s'assurer qu'il survivra, mais je ne peux guère faire mieux. Rassurée d'avoir pu réussir ce qu'elle m'avait demandé, je m'écarte prudemment et m'adresse à elle :

« J'ai fait ce que vous m'avez demandé.» Je jette un regard autour de moi. « Je compte sur vous pour tenir votre parole et aider les civils. »

Et, sans plus un mot, je m'élance pour rejoindre mes comparses mages dans leur combat. J'espère que mon intervention, aussi maladroite eut-elle été, pourra nous aider dans notre fastidieuse entreprise de conquête de la ville.

Spoiler:

Codage par Libella sur Graphiorum

La prise de Kirkwall

Arion & Wilhelma & Hélène & Sarren & Rosélie & Zachariel & Gwenaël & Lennart

Lorsqu’il se releva sur ses deux jambes, Lennart était un peu désorienté. Voir la ville depuis le ciel et se retrouver ensuite dans les ruelles demandait un petit temps d’adaptation : court, heureusement, surtout le cœur battant la chamade et l’adrénaline courant dans ses veines. Le jeune blondin se mis alors à courir sur les pavés de Kirkwall, dans les rues étroites. L’air de partir au hasard, il retraçait en fait le plan mental qu’il avait imprimé en plein vol, pressé de retrouver son confrère mage. Et ce fut payant, car le blond finit par tomber sur le brun, au détour d’une énième ruelle.

« Essayons de rejoindre les autres. »

Ses paroles n’étaient certainement que la traduction orale de ce qu’ils pensaient tous les deux ; Lennart pris tout de même le temps de détailler d’un rapide coup d’œil Zachariel, afin de voir s’il allait bien, s’il n’était pas blessé – rien qui ne soit visible, au moins. Les mages métamorphes reprennent finalement leur route vers – ils l’espèrent – leurs camarades. Car Lennart ne se fait pas beaucoup d’illusion sur leurs capacités si toute une troupe de Templiers leur tombe dessus ; le blond attrape d’ailleurs le bras de son compagnon pour le tirer en arrière, se plaquant le dos contre un mur, avant de s’accroupir derrière de larges caisses en bois. Le martèlement des bottes ne l’avait pas trompé ; sept Templiers passent sans – heureusement – les voir.

Ils n’ont pourtant pas l’air... « Comme les autres ». Le nez froncés, Lennart les suit du regard jusqu’à ce qu’ils soient assez loin pour (il l’espère) ne pas les apercevoir ; « J’ai senti... Un truc bizarre. Ils étaient... Etrange. Tu ne trouves pas ? » Le jeune homme lança un regard alarmé à Zachariel, et finit par se relever discrètement ; « Evitons de trop nous attarder... »

Intrigue

⇜ code by bat'phanie ⇝

Spoiler:

La petite elfe regardait les tonneaux rouler jusqu'aux soldats. Visiblement le plan avait fonctionné. Assez aisément et surtout grâce à Sarren, parce que sans lui pas de magie dans ce combat. Lorsqu'il s'approcha d'elle pour féliciter le travail d'équipe, la petite Elfe eu un grand sourire jusqu'aux oreilles.

- On le sait tout les deux. Sans moi c'était foutu.

Elle profita de cet instant d'accalmie pour lâcher un petit rire. Sarren était doué en magie, beaucoup plus qu'elle et cela la désolé de ne pouvoir ne faire qu'un sort aussi simple que celui lancé quelques instants plus tôt.

Enfin son rire fut interrompu alors qu'une explosion retentissait. Une tour au loin visible de partout dans Kirkwall. C'était impressionnant, mais aussi effrayant, parce que cela voulait dire que la ville n'était pas encore prise et que donc, Rosélie allait encore devoir se retrouver au milieu d'une bataille ! Bon sang, mais si le créateur existait il avait un sacré sens de l'humour.

- Je crois qu'on va devoir bouger vers la où ça fait boum.

Alors qu'ils avançaient pour rejoindre les autres avec une plus grosse troupe cette fois, Rosélie restait au milieu de tout ces gens, histoire de pas être en première ligne qu'importe où l'on puisse attaquer et visiblement elle avait senti le truc, ils tombèrent sur deux templiers. Elle s'éloigna doucement de la source de danger laissant les autres se préparer à attaquer et mettre les deux templiers hors d'état de nuire.

Spoiler:

La prise de Kirkwall

INTRIGUE

Dés:

La vue de ce maudit Erik se relevant parmi les débris et les cendres ne fait qu’accroître sa rage, autant que cela est possible. Les rats sont prompts à survivre au pire, même à une boule de feu ravageuse apparemment. A sa vue, elle sent la magie affluer et se condenser en elle, parcourant ses veines au rythme du sang qui les irrigue. « Hélène ! » La respiration se coupe un instant alors que la concentration de son pouvoir arrive à terme. Le prénom sonne à ses oreilles comme un écho lointain pourtant net. Depuis combien de temps n’a-t-elle plus entendu cette voix l’appeler par un prénom qu’elle a fait le choix d’enterrer en même temps que son passé ?

Le visage de la fureur se tourne vers l’opportun, mais la rage se contient pourtant. Il est là, surgit de nulle part aux côtés des Templiers qui lui font encore face : Baldric. « Que fais-tu ici ? Tu es censé être en poste à Ferelden, pas dans les Marches Libres. » La voix est calme, trop calme, d’une fureur contenue. Ils n’étaient pas supposés se rencontrer sur ce champ de bataille, mais voilà que la faille de son cœur lui fait pourtant face en chair et en os. Mais après tous ces morts qu’elle a entassé à ses pieds depuis le chemin parcouru, en a-t-elle encore un de cœur ? « Je t’en prie, arrête cette folie. Je ne veux pas lever mon épée contre toi. La Hélène que j’ai connue n’aurait jamais abattu personne aussi froidement, si ce n’est pour se défendre. » Le sang-froid factice de son visage disparaît aussitôt ces mots exprimés. Comment peut-il ne pas comprendre que c’est là précisément ce qu’elle fait, se défendre ? Elle se défend des Templiers, de la Chantrie et de leur oppression éternelle. Et elle ne le fait pas que pour elle. « Disparaît. Retourne derrière les lignes ennemies. Ou je risque bien de m’agacer de ton aveuglement. Abruti, tu ne vois pas que je fais la seule chose à faire ?! » Les yeux de chien battu qu’elle perçoit sous les boucles sombres l’écœure et l’enrage davantage. « C’est ma faute. Je t’avais promis de te protéger et j’ai échoué. Mais je t’en prie, ne deviens pas ce que tu n’es pas. » Les siens brûlent alors d’une lueur mauvaise. « Je n’ai pas besoin d’être protégée. »

Sentant le danger, Baldric se recule brusquement en incitant ses camarades à se mettre eux aussi à couvert. Mais ils sont peu à le suivre, trop confiants ou perdus par leur conversation incongrue à l’instant.

Action:

☾ anesidora - modifié

Alors qu'il emprisonne les gardes dans une prison Arcanique, les empêchant d'agir mais aussi de subir, Arion ne voit pas venir vers lui le Chef des Templiers, que tous, dont lui, pensaient mort après l'exploit de Wilhelma, heureusement le cri de ce dernier quand il se prend une flèche, venue de Gwenaël (Arion pensera à le remercier plus tard) lui permet de s'en rendre compte, mais deux autres templiers aussi et ces derniers l'approchent tous. "Désolé messieurs, mais ça ne sera pas pour aujourd'hui. Ni demain, pour ce que ça en est." et pour accompagner ses mots, tout en maintenant la cage, il tend sa main de disponible vers les hommes qui l'approchent, épée dégainée, et laisse sortir un éclair qui traverse le premier pour rebondir sur le second avant de terminer sur leur chef, trop blessé pour esquiver. Les trois se trouvent désormais au sol. "Souvenez-vous, si vous le pouvez encore, du jour où vous auriez pu m'avoir, mais en fait, non."
Depuis son point de vue, Arion peut voir qu'Hélène semble avoir résolu la situation avec la chef des gardes, il garde cependant la cage active car il peut sentir que bientôt, de l'autre côté, ils risquent d'avoir très chaud.

Spoiler:

INTERVENTION DU MJ

REFERENT : ARION

HRP: quatrième tour, plus que 6 avant l'arrivée de renforts.

Tout s'enchaine très vite; @Sarren et Rosélie, les Templiers devant vous ne font pas long feu; Sarren tu en congèle un tandis qu'à tes côtés Owen foudroie l'autre sans sourciller; avec @Rosélie vous pouvez voir qu'autant il voulait tout faire pour épargner les gardes qui vous accompagnaient, autant il ne semble avoir aucune pitié pour les Templiers, même si ils partageaient autrefois la même ville. Mais vous n'avez pas le temps de penser à cela, vous continuer votre route pour rejoindre les autres. En premier vous voyez @Hélène Sutter en compagnie d'Alicia, qui s'enquiert de la bonne santé de ses hommes qui vous accompagne. Voyant que les autres subissent un sort qui les coince autant qu'il les protège, et qu'eux sont confus, elle range son arme et leur crie de faire de même. Pour le moment les gardes de Kirkwall se retirent du conflit; ils ne sont pas pour autant dans vos rangs, mais ils n'interviendront plus.

Vous ne resterez pas devant les escaliers très longtemps, en effet, @Wilhelma s'en va dégager d'une boule de feu les templiers restant; les quelques survivants et ceux ne s'étant pas mit à l'abri, voyant la chute ultime et finale (enfin !) de leur chef des mains de l'Inquisiteur @Gwenaël puis d'@Arion. Vous pouvez enfin rejoindre les autres mages et les chefs de la rébellion, avec une @Talys Shiral chargée de magie et prête à l'action. Vous avancez vers la Chantrie. En chemin vous croisez @Zachariel de Serault et @Lennart O'Wittelsbach qui vous informent avoir vu d'étranges Templiers, en tout cas des Templiers dégageant autre chose que ce que vous connaissiez jusque là.

Arrivés dans la cour de la Chantrie, vous pouvez voir de quoi il en ressort; en effet trois groupes de Six Templiers protègent la Révérende-Mère Elina qui vous jauge au fond de la cour. Ils possèdent tous des bagues et des apparats qui brillent de lyrium bleu et ont un regard vide, mais dégagent une puissance certaine. "Le cadeau de Faustine V est arrivé à temps, il est trop tard pour vous, mages, vous avez perdu, vous ne faites pas le poids." déclare la Révérende-Mère, protégée par deux colosses.
Il y a quelque chose de perturbant dans la présence de ces Templiers; si ils sont aussi forts que prétendu, alors ils auraient dû être envoyés contre vous dès le début, et pourtant non; les mots d'Elina suggère aussi qu'ils viennent d'arriver, mais comment ? Les Mages avaient conquit la majorité des accès d'entrées et de sorties non ? Il y a un truc qui cloche, mais vous n'avez pas le temps d'y penser car deux des trois groupes de templiers vous charge et il vous faut vous défendre et les achever pour atteindre la Révérende-Mère et officiellement prendre la ville.

Vous n’avez toujours aucune nouvelles du Herault.

ECHELLES DE DES

KIRKWALL TOUR 4

Dû à une volonté de faire avancer l'intrigue vous ne faites qu'avancer et conclure des actions dans ce poste, vous n'avez donc pas de jet à faire mais gagnez tous + 10 dans votre spécialité pour le prochain tour.

Rosélie possède un certain sens de l'humour qui lui arrache, malgré la situation, un léger rire ; mais il ne s'attarde pas là dessus car les choses sérieuses s'enchaînent. Heureusement Sarren se montre suffisamment efficace, il congèle un Templier à l'aide de ses sorts et remarque que Owen n'est pas aussi miséricordieux. Après tout, c'est compréhensible, même lui ne porte pas les Templiers dans son cœur en règle générale. Il ne fait aucune remarque sur le sujet, se contente de suivre le mouvement jusqu'à se retrouver tous réunis. Enfin le dénouement est proche. L'elfe déglutit néanmoins quand dans la cour de la Chantrie, un spectacle peu rassurant s'offre à lui et à ses comparses : les groupes de Templiers paraissent infranchissables, leurs regards sont... vides. Sarren n'est pas dupe, il le ressent au plus profond, quelque chose cloche avec eux ; et les paroles d'Elina ne font que confirmer cette impression. Il ravale sa salive, n'appréciant pas cet accueil. Et si il ne compte pas fuir - pas encore en tout cas, il ne se place pas en première ligne, peu importe si les autres le jugent. Il ne se dégonfle pas non plus, assurant simplement la protection de ses fesses, à proximité de Rosélie qui n'est probablement pas plus rassurée. Mais pas le temps d'en discuter, les Templiers chargent et Sarren prépare déjà un sort pour les tenir les plus éloignés possible ; le corps-à-corps serait mortel le concernant.

Spoiler:

les tisons de la libertébrûle, ô brûle

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La voie est enfin libérée, au plus ineffable soulagement de l'ancien Inquisiteur, non peu fier d'avoir son rôle à jouer et précautionneux à ne pas relâcher un iota d'attention. Il avale les marches trois par trois pour rejoindre Arion, talonné par le reste de leur effervescente compagnie, bientôt engraissé par d'autres partisans qu'ils rencontrent en chemin, dont la joliette Rosélie qu'il se réjouit de voir en vie. Ravi qu'ils aient surmonté les laborieux écueils de la Cité et qu'ils constituent désormais une meute conséquente, l'adonis ne languit pas en palabres et se remet en route sitôt l'information des templiers biscornus partagée. Ils galopent ainsi en direction de la Chantrie, dans la Cour de laquelle s'improvise un inquiétant spectacle. La Révérende-Mère se tient altière, escortée de curieux cerbères dont l'air patibulaire est autrement plus exacerbé qu'à l'accoutumée. « M'est d'avis que vos grandes connaissances en magie pourraient nous être utiles, mon ami. » Confie t-il à un Arion à proximité, puits de sapience et atout considérable.

Si ce sont là de véritables présent de la Divine, il en est certain, ceux-ci sont toxiques à souhait. Le mystère est cependant évincé par l'imminent danger de la situation, car les antagonistes approchent. De l'encoignure de l'oeil, il aperçoit Sarren prendre ses distances et ne l'en stigmatise aucunement. A y regarder de plus près, Gwenaël s'avère être l'unique rempart physique à disposition de ces mages, le seul apte à frapper d'estoc et de taille tandis qu'eux, déchaînent les éléments. Le nombre d'ennemi étant toutefois amplement supérieur, il ne peut s'armer que de son hardiesse et faire preuve d'astuce. Avant de s'élancer, il clame à l'attention de tous ses compagnons. « Si quelqu'un se spécialise en sorts de soutien, un coup de main ne serait pas de refus ! » Pour éviter qu'il ne se fasse entrelarder trop aisément et rapidement, se garde t-il d'ajouter – le message est néanmoins passé.

Le seigneur mis au ban s'élance en plein centre des deux groupes qui menacent. Dans sa course, il tire une nouvelle fiole de son ceinturon et la jette sur la cohorte de gauche, enfantant une explosion pleine de flammèches enchantées qui bondissent aux gueules des paladins, tandis que lui, bifurque vers la troupe de droite. Epée tirée, il charge à l'image d'un buffle pour tenter de briser l'unité de la force chantriste, attirant au corps à corps au moins deux des adversaires réunis.

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