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Sam 27 Mai - 19:30


Shem Shame

La taverne d'Amaranthine grouillait, c'était l'heure de pointe, l'heure de joie. Ou l'heure de boire et l'heure du bruit. Dur il était d'entendre l'air joué par le ménestrel, un morceau plutôt leger sur un de ces seigneurs chiens qui peuplaient Ferelden. Qu'avait-il fait ? Sauvé son château, perdu sa femme, acheté un mabari ? Impossible à savoir avec le boucan des personnes ayant déjà un peu trop bu. Et puis cela n'avait pas vraiment d'intérêt, car l'oreille tendue pouvait entendre une suite de pauvres rimes en ule et ique ce qui généralement ne laissait pas le grand espoir d'une poésie incroyable.  Entre ces gaillards beuglards, ces serveuses qui se prenaient autant de mains au postérieur qu'elles servaient de bières et ... tout le reste de cette atmosphère toute particulière, il y avait bien une personne qui n'était pas à sa place. Et cette personne était, malheureusement pour elle, Fenara.

Par tous les dieux, qu'elle détestait être ici. Pourquoi ? Bonne question. Va avec les autres qu'on lui avait dit, va visiter Amaranthine, c'est une ville à voir. Va découvrir le monde des hommes. Et bien, de ce qu'elle en voyait, c'était à s'en demander comment les hommes faisaient pour ne pas mourir d'abus de boisson. Belle résistance. Magnifique absence d'intellect, augmenté par les effets de l'alcool. Fenara s'était mise un peu à l'écart, le plus possible, dans un coin reculé de la taverne et observait les autres Gardes des Ombre boire jusqu'à en oublier leurs prénoms. Probablement. Elle n'avait pas touché à la choppe qu'on avait déposé devant elle, l'odeur lui suffisait, elle n'avait pas envie de boire cette pisse de cochard, même pour tout l'or du monde.

Elle portait la tenue des recrues et était extrêmement mal à l'aise à l'intérieur; rien ne valait le confort d'une tenue dalatienne. Le pire étant les bottes. Comment diable faisaient-ils pour supporter d'avoir les pieds enfermés en permanence. D'avoir les siens à l'air, de pouvoir sentir la terre sous la peau et la liberté de pouvoir se mouvoir de manière bien plus précise...voilà en partie ce qu'ils manquaient. Cela dit, là, tout de suite, Fenara n'était pas malheureuse de ne pas avoir à toucher du bout des pieds le sol de cette taverne. Les bottes étaient là pour le mieux. Définitivement.

Pour occuper le temps qu'elle trouvait très, trop long - sérieusement, devait-elle attendre que les autres roulent sur le sol pour avoir le droit de rentrer à Fort Bastel, imprégnée du meilleur que pouvait lui offrir la culture des shemlen ? D'autant plus que ce n'était pas avec ce bruit qu'elle pourrait s'échapper dans le monde des rêves, se plaindre aux esprits de la décadence des mortels. Alors elle s'imaginait comment réduire tout ce petit monde au silence de manière efficace. Et quand elle pensait à faire taire, c'était clairement de manière définitive. Ou alors, quand son esprit ne se perdait pas dans des envies de meurtre - qui clairement aurait été pour le mieux, les plus respectables ne succombant pas, Fenara essayait d'analyser les comportements et logiques, afin de réellement en apprendre plus. Sauf qu'en fait, il n'y avait pas grand chose à apprendre, si ce n'est que les shems avaient l'insulte facile. Elle comptait les regards mauvais et les insultes lui étant clairement offerts depuis son arrivée en ces lieux, même si elle pouvait noter que son uniforme semblait être une protection moindre. Quel glorieux remerciement pour ceux qui théoriquement devaient se sacrifier pour sauver ces sacs à vinasse d'un nouvel enclin.

Une des personnes qui la regardait mal depuis un moment trouva d'ailleurs délicieuse l'idée de venir la voir et de lui souffler avec son haleine d'âne comme quoi toute son espèce devrait disparaitre ou quelque chose de ce style. Fenara se leva avec un grand calme et planta ses yeux dans ceux, de traviole, du rustre qui osait l'aborder de cette façon.
"Oh, peut-être pourriez-vous répéter, j'ai mal entendu, voyez-vous, j'ai beau avoir de grandes oreilles, elles n'entendent que ce qui est sensé et bien articulé, aussi, contrairement à chacun des mots que vous avez essayé de prononcer." sa voix était sèche, glaciale, en total désaccord avec le sourire qu'elle balançait. Et intérieurement, elle se préparait surtout à lui balancer un sortilège à la tronche à la première nouvelle réflexion.  




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Dim 28 Mai - 12:03


shem shame
Fenara × Sehris

Drink! Drink! Drink! To eyes that are bright as stars when they're shining on me! Drink! Drink! Drink! To lips that are red and sweet as the fruit on the tree! Here's a hope that those bright eyes will shine lovingly, longingly soon into mine! May those lips that are red and sweet, tonight with joy my own lips meet! Drink! Drink! Let the toast start! May young hearts never part! Drink! Drink! Drink! Let every true lover salute his sweetheart!

Rien n'est jamais plus représentatif de la vie qu'une taverne piteuse à la tombée du jour. Les épaves de ce monde et les aventurier se retrouve alors autours d'une chanson et d'un nombre impressionnant de bière. L'odeur du mauvais alcool, de la sueur, les éclats de voix et de rire, rien ne valait la vie que l'on trouvait dans ces petites tavernes. Qu'importe la guerre ou la paix, l'enclin ou la prospérité, tant qu'il y aurait des tavernes miteuse pour accueillir danse et bagarre le monde continuerait de tourner. C'est ainsi que Sehris avait toujours penser, depuis la première fois où elle avait mit le pied dans un taudis fereldien et bu la pire bière de sa vie. Plus l'alcool était mauvais, mieux était la taverne. Derrière ses goût souvent raffinée, elle cachait cet attrait pour les pires bousin de Thedas comme un pêché mignon honteux... Un plaisir secret sur lequel elle essayait de ne pas trop s’épancher, justifiant par son travail la nécessité de les fréquenter. En réalité Sehris aurait très aisément put vous dresser une carte de lieux les plus mal-famé du continent et vous donner la liste de leur alcool, du pire jusqu'au meilleurs... meilleurs qui signifiait ici : capable d'être ingurgité sans le recracher aussitôt et presque digérable. Les regard haineux et méfiant elle s'y était fait, elle n'était pas à sa première bagarre et était persuadé d'être sur le point de trouver une technique infaillible pour coller un bon crochet du droit sans renverser sa pinte de la gauche. Il n'y a pas de petite victoire et nul doute que si elle pouvait développer un style de combat optimale pour une taverne où l'on ne renverserait pas sa boisson, elle passerait dans les anales. Après tout il n'y a rien de pire, après avoir régler son compte à un malotru que de constater qu'un autre en avait profiter pour s'enfiler votre verre... Immanquablement cela enchaînait sur une autre bagarre et il est fort désagréable de se battre le gosier sec.

Cela faisait un moment que, jambe croiser sur une table, Sehris dans le rôle de Firis plaisantait avec un nain, tout en gardant un œil intéressé sur le contingent de garde des ombres qui avait prit place dans la salle. Il y avait toujours quelques chose d'étrange à les voir faire autre chose que recruter et arpenter le pays en quête de recrus... A croire qu'ils avaient finalement une vie et peut être pas si différente de la sienne... Un léger sourire s'installa sur ses lèvres, au fond, comme sûrement tout le monde, elle nourrissait une forme de respect fasciné pour ses hommes et femmes prêt à tout les sacrifice. Néanmoins l'une des recrue attira un peu plus son attention. Une chevelure flamboyante, des oreilles pointue et les marques de Mythal sur son visage. Une dalatienne. Si elle n'avait pas eut l'air si jeune, l'assassin se serait sûrement amusé à imaginer avoir retrouver sa sœur... mais, sauf si Jenifaël, avait retrouver l'immortalité de leur peuple il était peu probable qu'elle aborde une apparence juvénile. Dans tout les cas la petite garde des ombres acquit immédiatement l'affection du corbeaux. Il sera alors sûrement aisé de comprendre pourquoi Sehris se releva quand elle vit le Shem passer derrière elle et murmurer quelques choses à l’oreille de l'elfe. Un provocateur comme beaucoup d'autre, mais les dalatiens avaient tendance à trop y réagir. Évidemment cela ne manqua pas, bien que très calme, les mots et le ton de l'elfe débordait d'un fiel peu commun. Peut être était-ce l'habitude du meurtre, mais Sehris vit instantanément que si personne n'agissait il y aurait plus que quelques coup de poing échanger ce soir là. Souple et silencieuse comme un chat, elle se fraya un chemin dans la foule jusqu'au dos du shem. Elle adressa un léger clin d’œil à la petite garde et tapota l'épaule de l'humain. Ce dernier n'eut guère le temps de comprendre ce qui lui arrivait, à peine retourner Sehris lui décollait une droite plutôt maîtrisé. Il n'en fallut guère plus pour qu'une bagarre éclate dans la taverne, créant une diversion adéquate pour s'éclipser. Sans demander son reste elle entraîna la demoiselle à sa suite dans la cours de la taverne.

L'air frais et humide de Ferelden les accueillit. Sehris prit une profonde inspiration, plutôt ravie de sa soirée, avant de se tourner vers la jeune elfe. « - Dans le doute il vaut mieux les frapper da'len, tu déclenches une bagarre et tu te sauves. Ce genre de shem cherche le moindres prétexte pour se battre, oreilles pointues ou non tant qu'il peut frapper il est content. » Ce genre de personne devenait rapidement désagréable avec l'alcool et provoquer un dalatien était souvent le moyen le plus rapide d'obtenir ce qu'il cherchait... Le plus simple était encore de leur donner et de les laisser se faire passer dessus par le reste des poivrot bagarreur. Par la fenêtre les bruit de luttes et la musique se mêlait étrangement harmonieusement, comme si le barde se servait du rythme des coups pour jouer sa propre musique. « - Je m’interroge, une dalatienne dans la garde ce n'est pas commun... La dernière fois que nous avons massivement aider ces deniers c'étaient lors du cinquième enclin, je me trompe ?  » Des rumeurs circulait, murmure apeuré sur les risques d'un nouvel enclin... Comme tout habitant de Thedas, ou presque, Sehris vivait avec ses rumeurs. Tout le monde redoutait l'enclin et il suffisait qu'une engeance se soit égaré à la surface près d'une village pour que ses ragots reviennent... Néanmoins la présence d'une dalatienne dans leur rang intriguait Sehris. Cas particulier ou bien les elfes mettaient à nouveau leurs bras au service de la Garde ?

Code par Azuriel
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Dim 28 Mai - 19:52


Shem Shame

"Ma emma harel, shem" menaça Fenara d'une voix glacialement calme, alors que l'humain s'approchait encore plus, empestant l'air de la dalatienne. Cette dernière, était debout, droite comme un piquet, une main derrière le dos crépitant déjà de magie. Et elle aurait clairement utilisé cette dernière si quelqu'un n'était pas intervenu; l'arrivée d'une autre elfe et son clin d'oeil avaient suffisamment surpris Fenara pour que cette dernière coupe la magie qui coulait vers sa main. La suite fut d'autant plus singulière. Il y avait de nombreuses choses qu'aurait pu faire la nouvelle venue. Frapper le shem sans préavis n'était pas ce que Fenara aurait pu anticiper, mais soit. Un coup de poing, un shem qui bascule, d'autres mains qui volent, s'heurtent, et voilà, un conflit général s'était emparé de la taverne, impliquant même quelques gardes des ombres. Mais pas celle qui aurait du être impliquée.

Tirée hors de la cohue par sa congénère, Fenara foula le sol plus ou moins propre de la ruelle avant d'avoir eut le temps de dire Amaranthine. Le soleil s'apprêtait à disparaitre, berçant la ville d'une lumière dorée, lui donnant presque une certaine forme de beauté, pour des bâtiments humains. L'air lui avait une touche iodée, due à la mère voisine. C'était une chose dont Fenara n'avait pas l'habitude, les dalatiens, ou en tout cas ceux avec qui elle avait vécu, ne s'approchant pas beaucoup de la côte. Elle n'était d'ailleurs jamais montée sur un bateau, mais passons, ce n'était pas le moment de dresser la liste de ce qu'elle
avait fait ou non.

Son regard se posa sur sa sauveuse, ou plutôt la sauveuse de l'homme qui ne serait probablement plus en l'état de vivre si elle n'avait pas été là. Plus âgée qu'elle, Fenara n'aurait pas vraiment sû dire si c'était une elfe citadine ou une dalatienne n'ayant jamais reçu de vallaslin...Il y avait quelque chose dans le fond de son accent, notamment quand elle parlait elvhen qui empêchait la recrue de faire un choix. L'important n'étant pas forcément d'où cette personne venait, mais plus qui elle était, à savoir pas une shemlen. "Cette tête de baredhis ne méritait pas qu'un simple coup. Comment fais-tu pour supporter ces shems ? Ils sont...C'est à se demander comment ils ont fait pour survivre et prendre le dessus..." Amère et énervée sur la fin de sa phrase, Fenara reprit toutefois son calme en respirant profondément comme lui avaient appris et son père et Josifen. " Ma serannas Lethallan je n'aurais pas pu garder mon calme plus longtemps et les conséquences en auraient été fatales, pour lui et peu agréables pour moi. Je prends en note pour le conseil." Après tout, tuer quelqu'un dans une bagarre de taverne était sans aucun doute plutôt mauvais quand on voulait entrer dans la garde, surtout quand on n'avait pas encore passé l'union, et Fenara n'était pas prête à laisser ses plans tomber à l'eau aussi rapidement, même si elle avait peut-être sur-estimé l'agacement que pouvaient lui procurer les shems.

Les questions sur la garde n'étaient pas surprenantes, même légitime, toutefois Fenanra n'avait pas grand chose à y répondre, elle n'avait jamais regardé les archives concernant l'engagement de dalatiens dans la garde
"Et bien il y a des édits, en cas d'enclin...et avant ces derniers...Je ne sais pas trop, je ne suis pas la seule à fort Bastel, c'est tout ce que je peux dire" D'ailleurs Fenara avait découvert cela avec à la fois surprise et soulagement, au moins elle n'affronterait pas les shems et autres races seule. "je suppose que derrière cette questions sur la politique de recrutement de l'Ordre tu désires savoir si les rumeurs d'un nouvel enclin sont fondée ?" supposa Fenara, pas dupe et analysant malgré elles les formulations et désirs dévoilés. "Je ne peux malheureusement pas répondre à cette question, j'ai l'impression que beaucoup de gardes non plus d'ailleurs. Et je n'ai pas encore passé ma confirmation, alors tout ne m'est pas dévoilé." Elle eut un petit hochement d'épaule avant de plonger son regard dans celui de l'autre elfe. "Que ferais-tu en cas d'enclin Lethallan ? Retournerais-tu d'où tu viens, vers tes proches, où irais-tu affronter le mal que nous ont offert les shems, d'après leurs propres histoires ?"





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Lun 29 Mai - 22:15


shem shame
Fenara × Sehris

Drink! Drink! Drink! To eyes that are bright as stars when they're shining on me! Drink! Drink! Drink! To lips that are red and sweet as the fruit on the tree! Here's a hope that those bright eyes will shine lovingly, longingly soon into mine! May those lips that are red and sweet, tonight with joy my own lips meet! Drink! Drink! Let the toast start! May young hearts never part! Drink! Drink! Drink! Let every true lover salute his sweetheart!

Un léger soupir lui échappe, son haleine s'échappant dans la nature sous la formes d'une brume. Le soleil emportant avec lui les température plus clémente de la journée. Elle sourit amusée. Tant de fougue dans cette demoiselle... Sehris avait toujours conservé un tempérament joyeux mais elle avait aussi apprit à prendre de la distance. Avait-elle finalement vieillit ? « - Ils méritent toujours plus qu'un coup de poing... mais leur offrir ce qu'ils mérite ne vaut jamais les ennuis qui en découle. » Son sourire s'étira un peu plus sur son visage, une joie non-feinte qui ne la quittait presque jamais. « - Il faut visiter l’œil ou le menton. Tu vois, comme ça. » Elle ferma son poing et imita un geste. Rapide, précis, d'une violence parfaitement contrôlé. Elle n'avait pas la force physique d’assommer un homme en un coup mais elle avait l'expérience et la précision d'une personne pour qui le combat était un mode de vie. « - L’œil c'est le mieux, si tu arrive à frapper assez fort tu éclates l'arcade, sa saigne suffisamment pour l'aveugler et le faire paniqué mais pas assez pour que ce soit mortel. Après le menton ça passe toujours... Bon ensuite, si tu es vraiment pas sûr de tes poings, tu vise entre les jambes... Homme ou femme ça marche toujours, même si c'est plus efficace sur les hommes... » Elle égrainait ses conseilles avec conviction, son regard perdu dans le vide. Des phrases qu'elle aurait aimé dispensé à sa cadette. L'elfe glisse sous la langue de son interlocutrice dans une fluidité qu'elle ne possède plus guère et qu'elle lui envie. « - Abelas da'len, il y a des décennie que je n'ai plus parlé notre langue, j'ai peur de ne pouvoir tout comprendre. Néanmoins si mes conseils peuvent te permettre de survivre plus longtemps au contact des shem, tu m'en vois ravis.Tu découvrira vite que c'est un peuple comme les autres, aussi riche en défaut qu'en qualité. »

La conversation prend un détours, s'oriente vers les tréfonds et l'enclin. Les sourcils se fronce. Des rumeurs, toujours des rumeurs... Que ne donnerait-elle pour avoir quelques choses de concret. Un moyen de prévoir ce qu'elle fera. La petite est maline, les dalatiens le sont toujours. Vivre dans la méfiance leur apprend à lire entre les lignes, un trait qu'ils partagent avec les assassins. Elle se retourne faisant face à la demoiselle. Cette dernière pose son regard farouche au fond de ses yeux, une question jeter comme un filet... un moyen de la cerner ? Firis irait se battre en quête de gloire durant un enclin, mais si elle avait voulu conserver le masque de sa mercenaire elle serait rester se battre dans la taverne. C'est à Sehris de répondre... à elle seule. « - Je pense que mon quotidien resterait le même... Il y a tant d'année que je n'ai pas revu mon clan, j'ignore où ils sont. J’utiliserais mes quelques économie pour envoyer ma famille en sécurité, dans les marche libre sûrement... » Oui, mettre sa mère adoptive, son frère et sa femme en sécurité et ensuite... Ensuite elle continuerai de faire ce que les corbeaux lui demanderont. « |- Après quoi je continuerais de me laisser porter par les ailes du hasard et de la chance... » Son sourire se trouble, une légère amertume voile son regard. « - Je ne suis pas de ses gens prompt au sacrifice, même les plus nobles. » Ses épaules se hausse, chassant rapidement se soudain excès de mélancolie. Elle observe avec curiosité l'elfe qui lui fait face, les marque de Mythal sur son visage, celle qu'elle rêvait d'aborder enfant... Sa joie revient vite, son ton redevient léger et chaleureux. « - Ainsi donc, aucun édit ne t'as conduit à rejoindre la garde... Alors quel choix ? Quel coup de sort te mène ici et nous amène à nous rencontrer ? Quel dieu savait-il que tu aurais besoin d'un poing bien ajusté ce soir? » Tant de question ce bouscule, il y a tant d'année qu'elle n'a pas put parler franchement à un elvhen... tant d'année qu'elle n'avait eut de nouvelle réelle d'un clan quelconque... Jamais elle n'avait réalisé que cette part d'elle-même était toujours présente et lui manquait.

Code par Azuriel
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Mer 31 Mai - 15:56


Shem Shame

Fenara observa les gestes qui lui étaient proposés, conseillés d'un oeil attentif , retenant les mouvements. Ils étaient fait pour blessés, et non pour tuer. Peut-être cela apportait-il moins de problèmes, mais Fenara en doutait; dès lors qu'il y avait conflit, et que l'un des partis impliqués s'en retrouvait perdant, une frénésie de volonté de vengeance naissait souvent. Et il était parfois très compliqué d'en sortir, même des générations après. Si on tuait quelqu'un ses proches voudraient une vie en échange, mais si on le frappait, il voudrait frapper à son tour. Le tout se changeait en une boucle parfois sans fin. Il n'y avait que deux possibilités pour éviter cela : Tuer l'intégralité des êtres vivants ou éviter le conflit. Aucun ne semblait particulièrement faisable.
Fenara se méfiait des vengeances, après tout, c'était une vengeance qui avait couté la vie au clan de sa mère, mais elle ne s'interdisait pas pour autant d'agir quand il le fallait. Reculer et se fondre dans une neutralité de pleutre alors que l'ont avait le pouvoir d'agir allait contre sa mentalité. Cela dit, frapper des shems en boucle dans des tavernes ne faisait pas partie de ses priorités. Ni même de ses choix ou volontés annexes à vrai dire. En tout honnêteté, si elle pouvait éviter les tavernes, elle le ferait.


"Ir'abelas Lethallan, j'ai tendance à oublier que tout les elvhen n'ont pas eu la chance d'en apprendre autant que moi. Mon Archiviste en connaissait beaucoup, et il y avait même dans mon clan une personne venant d'un clan qui ne parle que notre langue. " Elle n'avait jamais eut la chance de rencontrer ce groupe d'ailleurs, même si elle aurait bien voulu; d'après ce qu'elle savait, ils trainaient dans les terres sauvages de Korcari mais étaient très réservés et secrets, acceptant encore moins les présences étrangères que les autres Dalatiens. " On trouve toujours quelqu'un qui possède plus de connaissance que nous, peu importe le sujet." On ne cessait jamais d'apprendre, telle était la philosophie de Fenara qui de ce fait trouvait le cas des elfes séparés de leur culture plutôt triste. Elle se trouvait elle-même plutôt embarrassée d'avoir perdue sa partenaire de dialogue en parlant leur propre langue, même si elle ne le montrait aucunement.

Fenara l'écoutait lui répondre sur l'enclin, sur son rôle, sur le rôle des personnes qui n'en avaient pas après tout, avec une certaine gravité, hochant la tête. C'était ce qu'elle avait supposé; après tout, il n'y avait aucune raison pour qu'une personne qui n'était pas directement liée à l'enclin, qui n'avait pas promis de l'affronté, qui n'avait jamais signé ni traité ni ne s'était engagé dans une quelconque armée ne se retrouve à combattre des engeances. Chacun était responsable de sa propre vie, mais parfois, le problème de certains devenait le problème du monde et il fallait être capable de se détacher de ce qui nous était cher, de ce qui nous était proche pour faire ce qui était réellement attendu de nous pour le plus grand bien. Ceux qui ne le faisaient pas n'était pour autant pas des couards; le sacrifice était quelque chose dont tous n'étaient pas capable.
C'est alors que son interlocutrice lui posa une question plus personnelle. Fenara eut un petit sourire en coin et regarda le ciel un instant, repensant elle-même aux raisons qui l'avaient poussée à quitter les siens.
"Non en effet, j'ai rejoins la garde de mon propre chef. Une obligation personnelle, si je peux dire." C'était flou, trop peut-être, il fallait probablement y rajouter des explications plus détaillées. "Une mission personnelle, je dirais." Elle fit une courte pause. " Mon clan est vraiment peu peuplé, nous n'avons guère besoin de beaucoup de mages, et un jeune a vu sa magie naître il y a quelques mois alors que mon apprentissage auprès de l'Archiviste était presque terminé; je lui ai cédé ma place et ait quitté mon clan pour me joindre aux Gardes. C'est tout." L'histoire était simple, peut-être pas aussi répétitive et classique que celle des autres gardes, mais elle n'en restait pas moins la sienne. L'autre elfe avait également évoqué le destin de leur rencontre, et cela avait fait s'afficher un autre sourire sur les lèvres de Fenara "Le chemin de la destinée est dur à observer, sa signification soit reposer entre les serres de Dirthamen jusqu'à que Falon'Din ne prenne la suite." Le Secret et la Morts, voilà bien le duo qui tenait le destin, peu importe les croyances que l'on suivait ou le nom qu'on leur donnait. " Quel est le destin qui t'as menée ici, toi qui semble y croire ?" C'était une manière aussi directe que détournée d'interroger son interlocutrice sur son identité, après tout, celle-ci en savait plus sur Fenara que le contraire.  





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Dim 4 Juin - 14:12


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Fenara × Sehris

Drink! Drink! Drink! To eyes that are bright as stars when they're shining on me! Drink! Drink! Drink! To lips that are red and sweet as the fruit on the tree! Here's a hope that those bright eyes will shine lovingly, longingly soon into mine! May those lips that are red and sweet, tonight with joy my own lips meet! Drink! Drink! Let the toast start! May young hearts never part! Drink! Drink! Drink! Let every true lover salute his sweetheart!

Il émanait de la jeune elfe une sagesse indéniable qui amusait Sehris autant qu'elle la laissait perplexe. Cependant était-ce si étrange qu'une personne ayant passé la majeur partie de sa vie parmi les Dalatien se montre si sérieux et avisée ? Elle même retrouvait parfois d'ancien réflexe qu'elle croyait oublié sur ce sujet. « - Je ne me souviens guère de mon clan... En tout cas je ne m'en souviens qu'à travers mes yeux d'enfant. Je n'avais pas le recule nécessaire à l'époque pour comprendre ses idéaux ou son fonctionnement. » Elle avait parler avec un sourire désolée. Sehris aurait aimé partager ce genre de souvenir avec une autre dalatienne, malheureusement trop d'année s'était maintenant écoulée pour elle. « -Je me souviens de ma sœur, elle doit être bien grande maintenant... Je me demande si, comme toi, elle a revêtu les marque de Mythal... Je l'aurais fait à sa place. » Une vague de mélancolie l'emporta. Sa sœur lui manquait, elle lui manquait plus que les hahl, les Aravel, plus que les histoires de l'archiviste. Jamais elle n'avait réellement réussi à supporter cette séparation. Finalement, peut être finirait-elle par partir à la recherche de ces derniers un jour. Peut être... Pendant un instant les yeux rieurs de Sehris ce voilèrent dans sa nostalgie. Les images d'une vie qu'elle aurait put connaître se glissèrent dans son esprit. Hélas, on peut si aisément se perdre dans les méandres de son imagination. Fort heureusement la conversation se poursuivait et chassait de son esprit ses sombre pensées. Elle ne pouvait s'empêcher de saluer le courage de la demoiselle, s'engager de son propre chef dans la Garde était un courage que Sehris ignorait totalement. « - Voilà une attitude bien noble et digne. Ton clan doit regretter le départ d'un tel membre. » Néanmoins elle ne put retenir un rire amusée lorsque sa jeune compagne cita les noms de leur divinité. « - Certes oui! » Rire vite étouffé par la question qui suivait. Sehris n'avait guère prévu de parade pour son identité cette fois et ne savait que dire à la jeune femme. A défaut, elle résolue de se contenter d'une demi-véritée.

« - A dire vrais... j'étais ici un peu par hasard, l'envie de retrouver une taverne crasseuse où j'ai parfois mes habitudes...  » Elle haussa les épaules. « - Peut être que le destin voulait en fait que je sauve ce pauvre Shem de ta colère, qui sait, peut être avions nous en cet ivrogne le futur roi de Ferelden ? Si ça se trouve nous ne sommes que deux ombres passagères dans son histoire, des rôles mineurs qui n'avons été là qu'en guise de spectatrice d'une nouvelle péripétie? » De nouveau sa voix s'était malicieuse et enjouée, l'humour et les détours était un moyen comme un autre de détourner une conversation, de la rendre naturelle. « - Je ne crois pas t'avoir demander ton nom. Pour ma part tu peux m’appeler Firis. » C'était le nom le plus sûr, celui qu'elle utilisait ici... Celui qu'un garde des ombres connaissait déjà. Il était probable que cela l'aide à confirmer son identité. « - Je ne dois pas être inconnue d'un de tes supérieurs, Jason. » ajouta-t-elle. La rumeurs de la bagarre arrivait à leur oreille, éclat de voix, verre brisé... Elle avait semé une jolie pagaille et elle n'en était pas peu fière. D'une manière générale elle appréciait toujours un bon chaos et en profitait. L'elfe ouvrit la bouche pour ajouter une plaisanterie, mais la vitre derrière elles se brisa laissant sortir à moitié un nain qui repartie presque aussitôt dans la mêlé. Un rire échappa à l'elfe, qui ne put retenir une remarque : « - Ah ah, la dernière fois que j'ai vue une telle pagaille c'était après avoir triché lors d'une Grace Perfide à Antiva ! Qu'est-ce qu'on s'était mit ce soir là !  » La triche entre Corbeau ça passait toujours, pour peu que vous soyez prêt à rendre coup pour coup. « - N'empêche, on s'était tellement amusé ce soir là, qu'ils avaient oublié de reprendre mes gains !  » Elle se tourna vers sa nouvelle compagne : «  - Tu voudras que je t’apprennes comment plumé un Shem à la grace perfide, Da'len? » 

Code par Azuriel
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Mar 6 Juin - 21:43


Shem Shame

Fenara écouta avec attention, pour ne pas changer, la litanie de souvenirs et évocations anciennes lancée par celle qui se présenta par la suite en tant que Firis. Un clan et une soeur perdus. Une perte de culture, une identité dispersée en souvenirs éparses. Voilà l'héritage d'un nombre tristement trop grands d'elfes de nos jours. A défaut de pouvoir s'unir à nouveau sous une même bannière, de partager une nouvelle fois souvenirs, expériences, croyances, culture, les elfes étaient en train de perdre qui ils avaient été. Et cette idée était douloureuse pour Fenara. De même, voir sa consœur se replonger dans les souvenirs d'une vie perdue la plongeait elle-même dans une certaine mélancolie. Fenara ne pouvait le nier, son clan, son petit groupe disparate lui manquait. Leur nombre était plus une force qu'une faiblesse. Quand on était aussi peu, on pouvait connaitre le coeur des autres sans laisser trop de place au doute et confier les tourments du sien à qui comprendrait le mieux, et il n'y avait personne dans ce clan qui n'était pas en mesure de comprendre les troubles de l'un des leurs. Cette suite de pensées fit chuter le sourire qui avait volé sa place sur les lèvres de Fenara, accordant l'expression de sa bouche avec son regard sérieux. Elle ne laisserait pas la mélancolie d'un autre temps prendre trop de place en elle, après tout, elle était partie avec raison, but et ne pouvait faire demi-tour désormais. Elle n'y comptait de toute manière absolument pas.

Le point de vue de Firis sur le destin, et ce qu'elle comptait personnellement en faire, était plutôt intéressant. Il se désintéressait toutefois clairement d'une véritable croyance et d'une vie guidée par la voie d'un dieu ou de diverses divinités, ce qui apportait un autre intérêt et un autre point de vue; les non-croyants avaient leur propre vision du hasard et une manière parallèle d'anticiper et de concevoir la vie. C'était une chose intéressante, une manière de penser à prendre en compte. Définitivement, tout n'était pas le faire des dieux, au contraire, et si dieux il y avait, ils observaient de loin,  n'intervenaient que peu. Après tout, les dieux, d'après les légendes, avaient eux-mêmes des vies; dans ce cas, qui était responsable de leurs destins ? N'était-ce pas là une boucle sans fin, si tant est que l'ont atteigne pas le haut de l'échelle de la création divine ? Toutefois l'évocation du divin et de la destinée n'avait pas duré plus longtemps que la simple réflexion personnelle et Fenara ne voyait pas vraiment comment prolonger le débat sans partir sur une remise en cause du monde, et le contexte n'était pas à cela, en tout cas, pour le moment. Le monde changerait, il changeait déjà, mais chaque chose devait venir quand son temps l'appelait.

L'inconnue avait donc un nom, une identité connue d'autres personnes, un détail qu'elle s'était empressée de rajouter. Avait-elle peur que Fenara se refuse de la croire ? Firis avait-elle un secret ou était-ce tout simplement sa manière classique de se présenter, de tisser les liens du je connais quelqu'un que tu connais, pour réduire la distance entre deux âmes ? Un mystère qui s'était créé et que la jeune recrue n'oublierait pas de traiter quand le temps serait venu. Le nom de Jason était tombé, et il fallait qu'elle se l'avoue, Fenara avait du mal à voir de qui il s'agissait. Un de ses supérieurs, c'était chose certaine, mais
"tout les shems se ressemblent, mais si tu dis que tu le connais, je vais te croire. Je suis Fenara." La parole complétait mieux ses pensées, pas besoin de réfléchir à ce qu'elle voulait dire pour le répéter par la suite, ici les mots sortaient sans préavis, déclinant juste un ressentit et une identité.

La taverne, qui s'était faite oublier un instant, repris son droit et son identité de bruit et de désagrément, mais elle offrait dès lors un sujet de discussion tout trouvé, même si ce que pouvait évoquer Firis était complètement inconnu de Fenara; après tout il s'agissait là de sa première réelle bagarre de bar, et elle s'était éclipsée sans donner un seul coup - non pas que ce fut quelque chose du domaine du regret pour elle.
"Je n'ai jamais joué à la Grace Perfide, juste assisté à les parties, à Fort Bastel, qui terminaient toujours pas une armure de perdue et une humiliation nue." Pour elle qui était une vraie amatrice d'échecs, le principe de retirer vêtement par vêtement pour compenser une perte monétaire dans un jeu de carte semblait étrange. Toutefois, elle ne pouvait nier la dimension tactique du jeu. "Alors, si c'est pour préserver ma dignité face aux shems et leur voler la leur, j'accepte volontiers un apprentissage, Lethallan." dit-elle en ouvrant la marche vers la taverne. Ceux qui s'étaient battus étaient soit dehors, soit sur le sol, et plus personne ne semblait faire attention aux deux elfes désormais. Un autre monde, l'histoire était passée aussi vite qu'elle venait, et si Fenara retournait en ces lieux plus vite qu'elle ne l'aurait voulu, au moins le contexte était plus léger concernant la haine qu'elle pouvait recevoir, ou alors tout le monde avait juste trop bu pour la remarquer à nouveau.




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Lun 19 Juin - 22:53


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Fenara × Sehris

Drink! Drink! Drink! To eyes that are bright as stars when they're shining on me! Drink! Drink! Drink! To lips that are red and sweet as the fruit on the tree! Here's a hope that those bright eyes will shine lovingly, longingly soon into mine! May those lips that are red and sweet, tonight with joy my own lips meet! Drink! Drink! Let the toast start! May young hearts never part! Drink! Drink! Drink! Let every true lover salute his sweetheart!

Combien de Dalatien se méfiaient ainsi des humains ? La méfiances mutuelles n'allait en faveur ni d'un camps, ni de l'autre... Au mieux les camps finissaient par s'ignorer, enfermé dans des préjugés qui n'étaient profitable à personne. Peut être était-ce son éducation entre deux peuples ? Sehris avait toujours vu le bien des chaque côté et ce trouvait bien incapable d'en trouver un supérieur à l'autre. « - Tu peux me croire, certains de mes plus proches amis sont des shemlen et ils ne m'ont jamais traiter différemment en raison de la longueur de mes oreilles... » Certains d'entre eux était même très officiellement devenu sa famille et lui avait fournit un foyer et de l'amour là où elle n'aurait jamais penser en trouver. Néanmoins la conversation quitta rapidement le terrain des humains pour s'orienter vers celui bien plus plaisant de la grâce perfide. C'est auprès des duelliste d'Antiva que Sehris avait apprit à tricher et elle avait rapidement comprit les astuces les plus élémentaire pour s'en sortir, jusqu'au plus subtile pour ne jamais se faire prendre.

D'un geste sûr elle ouvrit les portes de la taverne et s'y engouffra. La tension y était retomber et une ambiance détendue et joyeuse emplissait maintenant les lieux. Une bonne bagarre avait toujours un effet bénéfique sur les esprits. On pensait ses bleus et on se ventait d'une nouvelle cicatrice. On rigolais avec celui qu'on venait de défenestré... Parfois il fallait se contenter de petit plaisir simple. Une bagarre de taverne en faisait partie. Sans grand ménagement l'elfe rousse se laissa tomber sur une chaise et sortie de son sac un vieux jeu de carte qu'elle commença à battre. « - Les règles sont simple, le but est d'avoir le plus de cartes d'une même famille ou assortie. Une paire est le plus faible que tu puisses tirer, mais une paire c'est toujours mieux que rien. Dis-toi que plus tu as de cartes assortie mieux tu t'en sort. Le mieux est un Thédas, cinq cartes consécutive de la même couleur. Par exemple : masque, barde, berurier, impératrice, Orlaïs. » Elle marqua une petite pause le temps de distribuer trois cartes de chaque côté et en disposer trois visible sur la table. « - Pour ta suite, tu dois également prendre en compte les cartes sur la table et essayer de déduire celle que ton adversaire à en mains. »

Sehris observa son jeu, rien de très formidable, mais elle pouvait quand même mètre de côté un mabari qui lui offrirait une paire avec l'araignée disponible sur la table. Elle sortie la carte de son jeu et la montra à son élève avant de la replacer à gauche. « - Et maintenant la leçon commence. Le tout c'est d'être rapide. » Dans un mouvement qui semblait des plus naturelle la bourse de Sehris se renversa, les pièce roulèrent sur la table, attirant l'attention de quelques personnes qui désirait en grappiller une ou deux ou juste aider l'elfe à ramasser son bien. Profitant de la cohue ambiante, la rouquine glissa le mabari dans sa manche et tira discrètement une nouvelle carte du jeu, tout en feignant de récupérer ses pièces. A la place du mabari se tenait désormais un hahl. Une fois les pièces remise en place, Sehris eut un petit sourire. Elle montra le jeu à Fen et demanda : « - Alors, où est le mabari? »  

Code par Azuriel
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