¬ such a pretty house, such a pretty garden. ✵ poppaea

Le regard que Poppée pose sur Kaida est à la fois doux et mélancolique. Peiné – mais pour lui, pas pour elle. La jeune femme n’était pas celle qui avait le cœur brisé d’avoir découvert quelque chose qu’elle n’aurait su supporter – ni celle qui venait d’essuyer un refus. Elle avait voulu, et avait tenté, d’être la plus douce possible... Mais même la douceur semble fracassante à qui sent le sol s’effondrer sous ses pieds. Les peines d’amour sont les plus terribles, paraissait-il. Poppaea n’en avait encore connu aucune, et elle espérait ne pas en connaître un jour... Mais qui sait ce que lui réservait le destin ? Peu importe, elle ne voulait en aucun cas jouer avec les sentiments ou la faiblesse de Kaida. Il lui semblait que cela aurait été profiter de lui et, de plus, elle ne voulait pas non plus être une sorte de lot de consolation, ou un moyen de se venger ou d’oublier sa peine. Il valait mieux que cela cesse là ; pour eux deux, du moins. « Si c’est ce que tu veux... Alors je lui dirais. » affirma-t-elle d’une voix douce, le suivant du regard sans, cette fois, tenter de l’arrêter. « Je suis désolée... » répondit-elle à son au revoir ; « Fais attention à toi, Kaida... »