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Mar 28 Nov - 17:17






► 10:40 - jader | intrigue
les femmes et les enfants d'abord
Alaric & Others
Tandis que je me préoccupe davantage de protéger nos arrières, mon frère sauve une femme en panique dans une maison en proie aux flammes et je ne peux que l'en féliciter. Une vie de sauvée, c'est déjà un minimum, mais j'espère sincèrement que nous en sauverons plus encore. J'offre un bref sourire à cette dernière après les paroles d'Armand, espérant qu'à nous deux nous parvenons à la calmer, ce qui semble être le cas, même si très vite je réalise que nous ne sommes pas exactement seuls. Si j'avertis mon cadet, je prends garde que la femme ne nous entende pas et je reste sur mes gardes...

RÉSULTAT AUX DÉS 18 : ÉCHEC

Mais il suffit d'un instant, l'attention détournée pour voir qu'ils se portent bien devant, pour que l'une de ces maudites créatures me bondisse dessus, évidemment dans mon angle mort. Je réagis à temps pour me couvrir avec mon bouclier mais malheureusement le coup résonne assez pour que je me retrouve sonné quelques secondes, après avoir reculé. « C'est fourbe... » Je grommelle légèrement, espérons que la demoiselle ne pense pas que je suis un Garde des Ombres en carton et que je ne suis pas capable de faire correctement mon job. J'essaie de reprendre le dessus dans le combat après cet échec qui reste un peu en travers de ma gorge même si clairement, j'aurais pu finir pire, blessé. « Je m'en sors Armand, occupe-toi d'elle. » Je préfère aussi le prévenir, qu'il ne me porte pas soutien mais protège plutôt la rescapée, je peux tout de même me débrouiller. Allez, évitons d'avoir l'air ridicule une deuxième fois.

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Mer 29 Nov - 12:39


Résultat Observation  - Intelligence – Réussite critique.

Il ne voit pas l’engeance arriver, ou trop tard comme son frère ; il s’apprête à aller l’aider mais Alaric lui assure ne pas avoir besoin d’aide, à d’autres. Mais un mouvement vers une boutique, ou ce qu’il en reste, à proximité attire son attention ; il veut être sûr qu’aucune engeance ne viennent les prendre à revers, et puis c’est peut-être Fae. Liara le suit, accrochée à son bouclier comme une moule à un rocher, la boutique semble déserte d’un premier abord quand Armand y pénètre épée à la main, il n’y a que des corps ; c’est là qu’il repère une petite ombre sous le comptoir, une enfant d’une dizaine d’année qui a dû échapper à la mort par chance, mais assister à tout ; il baisse son épée et se met à son niveau avant de lui tendre une main « Bonjour, je suis Armand, je suis là pour t’aider, tu connais les Gardes des Ombres ? Ils sont arrivés pour vous aider, tu t’appelle comment ? » Serena, manifestement, Armand l’aide à sortir de sa cachette, restant prudent « tu es en sécurité maintenant, on va te sortir d’ici, d’accord ? » Il lui offre son sourire le plus rassurant en lui tenant la main avant de la passer à Liara « le bâtiment est vide, et il n’y a qu’une entrée, rester toutes les deux ici, je vais aider Alaric. » Mais avant ça, Armand récupère un peu de corde et une poutre ; et monte un piège rapidement, si une engeance essaye d’entrer, elle se prendra, normalement, la poutre sur la figure « surtout restez cachées, tout va bien se passer » la voix est rassurante, mais il reste prudent avant de se précipiter, épée au poing pour aider Alaric.

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Ven 1 Déc - 11:17




Les femmes et les enfants d'abord

Saving lives is more important than saving myself

    Rien à faire. J'ai beau m'acharner sur cette lucarne, elle reste obstinément close. A croire qu'elle a été scellée par magie ! Ce qui n'est évidemment pas le cas, ce n'est qu'une image. Du moins je l'espère. Avec un gros soupir agacé, je pose les mains sur mes hanches et fais volte-face, cherchant du regard une alternative qui ne consisterait pas en un retour en arrière qui me ramènerait dans une rue infestée d'Engeances rêvant de plonger leurs lames dans le ventre du premier venu. Je sais me défendre, certes, mais ce n'est pas une raison pour plonger tout droit dans la gueule du loup.

Alors que je commence pourtant à envisager la chose, mon regard accroche un rai de lumière, non loin, étouffé derrière un tas de vieilles caisses et autres coffres au bois presque vermoulu. Prudemment, pour ne pas trop déranger les planches toujours fragiles, je m'y dirige donc... Et trouve une autre fenêtre, qui une fois dégagée, s'ouvre pratiquement toute seule. Parfait ! Plus qu'à me glisser au travers pour me retrouver sur les toits, ce que je fais immédiatement, pas fâchée d'enfin quitter cette maison un rien inquiétante.

Je pensais que vue d'en haut, la situation paraîtrait plus claire... C'est faux. Entre les flammes et l'épaisse fumée noire se dégageant des différents foyers d'incendie, impossible de distinguer quoique ce soit d'utile.
Cependant, ce sont des éclats de voix qui me parviennent, en contrebas, qui me poussent à m'approcher prudemment du bord de la toiture pour voir de qui il s'agit... Et là mon coeur réussit l'exploit de sauter dans ma poitrine tout en se serrant d'appréhension. Alaric et Armand, aux prises avec une Engeance. L'évidence même me frappe en une seconde à peine : il faut que je descende les aider. Justement, je peux rejoindre la rue en empruntant une pile de grandes caisses en bois soigneusement empilées contre le mur. Une chance.

Ni une ni deux, je me retrouve donc sur le pavé, me saisis d'une pierre qui traîne par là, et la lance de toutes mes forces sur le monstre, croisant les doigts pour avoir visé correctement.

- Eh par ici, horreur de la nature !

[Résultat lancer d'agilité : 21 - Echec]

La pierre rate la tête de la goule, mais ça aurait pu être pire. Parce qu'en fait, cette chose n'a même pas remarqué ma présence, trop accaparée par les de Lydes qui lui font face. C'est idiot, mais je trouverais ça presque vexant. Tant pis, autant rester hors d'atteinte, et attendre de voir comment les choses se passent.

.SHADOW


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Ven 1 Déc - 12:07


INTERVENTION DU MJ
REFERENT : FAE SVEINN

Deux Hurleurs abattus sur trois, joli score pour Aloïs et Maddelen, qui s'en sortent plutôt bien pour un Templier et une Ecumeuse qui ne sont pas censés se battre contre ce genre d'adversaires. Il reste cependant le troisième, qui même blessé par le Martell, pourrait toujours vous jouer de sales tours... S'il ne venait pas de prendre la fuite sans raison apparente. Bonne ou mauvaise nouvelle ? En tout cas, des appels à l'aide résonnent un peu partout autour de vous, peut-être serait-il temps d'en prendre compte ? A vous d'en juger.

Le Genlock ayant réussi à sonner Alaric se trouve seul face à deux épées, ce qui n'a pas l'air de le décourager outre mesure. Le monstre grogne comme si sa vie en dépendait, et se fichant royalement du misérable caillou lancé par Fae, il essaie de trouver une faille pour charger une nouvelle fois Alaric.

Les flammes progressent rapidement entre les bâtisses de Jader, qui tombent les unes après les autres comme des dominos. Faites attention où vous posez les pieds, et rappelez-vous que le temps est un luxe que vous ne pouvez pas vous permettre de prendre en ce moment !

ECHELLES DE DES


Le topic pour lancer les dés se trouve ici. Les conséquences de vos lancers de dés sont déjà détaillés par le MJ, en conséquence des formules que vous avez choisies. (Des regrets ? Well, too late Sadique)

Bonne chance avec les dés Coeur bis

ORLAÏS GROUPE 2

Aloïs Martell:

Alaric de Lydes:

Armand de Lydes:

Maddelen:


Game Master

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▲ MESSAGES : 811

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Ven 1 Déc - 13:35


Les femmes et les enfants d'abord
Maddelen & Alaric & Armand & Fae & Aloïs

Aloïs blessa le dernier des trois Hurleurs, remarquant – avec reconnaissance – que Maddelen lui laissait ce combat, quoi qu’elle semble prête à intervenir au besoin. Pourtant, L’Engeance pris la fuite. Le Templier ne se pensait pas si effrayant que ça (et puis même), et cet étrange comportement failli le faire courir après le monstre. Mais des appels à l’aide retentissaient un peu partout, aussi renonça-t-il à traquer la bête ; parce qu’il n’était pas fou, qu’il ne voulait pas tomber sur d’autres copains à elle en la pourchassant, parce que des gens avaient besoin de leur aide. Il lança un regard à Maddelen ; « Tu les entends ? Je prends cette maison ! »

La maison en question était en feu, et le Templier était persuadé d’entendre des cris provenant de l’intérieur. Il y courut et ouvrit la porte ; un coup d’œil à l’intérieur lui apprit qu’il n’y avait personne, mais le mouvement d’air qu’il avait fait en ouvrant la porte provoqua l’effondrement du plancher de l’étage. Il n’eut pas le temps de sortir de la maison, juste le temps de faire un pas en arrière, avant de se prendre les gravas de planche et d’éléments de la maison sur la figure. Les mains relevées dans un réflexe pour se protéger, une sourde douleur traversa sa main et son bras gauche et il retomba lourdement au sol.

La poussière, la fumée, les flammes, Aloïs manqua de paniquer un instant. La porte, ouverte, n’était pas loin – quelques mètres à peine. Avec l’adrénaline, il parvint à dégager ses jambes et ramper au-dehors de la maison, à présent en ruine, qui ne tarderait sans doute pas à s’effondrer totalement. « Ils étaient pas là-dedans ! Continue, je te rejoindrais, t’inquiètes pas ! » Ses yeux le brûlaient, comme certain endroit de son corps. Il voulu se relever, mais dû s’y prendre à deux fois ; en s’appuyant sur sa main gauche la première fois, la douleur traversa à nouveau son bras jusqu’à son épaule et il s’effondra à nouveau. Lorsqu’il fut encore debout, ses yeux chassant peu à peu la fumée et piquant de moins en moins, il pu observer les dégâts. Son armure l’avait protégé en grande partie, mais pas ses gantelets. Son poignet gauche était certainement cassé, vu l’angle et la douleur qu’il ressentait, et ses paumes étaient également légèrement brûlés. Il serra les dents et décida de faire fi de la douleur pour le moment ; ils n’en avaient malheureusement pas terminé ici.



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Lun 4 Déc - 16:47

Les femmes et les enfants d'abord
Event - Intrigue
Well... shit.  ▬ Maddelen, probably

Maddelen entendait de multiples cris tout autour d'elle, des appels à l'aide, des gémissement. Un peu plus loin, le combat entre l'engeance et le templier prenait abruptement fin : le monstre, de façon à priori inexplicable, se mit soudainement à fuir, disparaissant dans la rue suivante. Pourtant, ils n'étaient pas au bout de leurs peines.

Il suffisait de dresser l'oreille pour l'entendre. La ville assiégée, enflammée, était remplie de personnes innocentes prises dans les combats sans le vouloir, des personnes sans doute peu aptes à se défendre... Mais qu'était-elle sensée y faire ? La demi-naine était une écumeuse, elle ne tenait pas une oeuvre de charité, et une petite voix intérieure lui glissait qu'elle n'avait pas à plus se mêler de tout ça que nécessaire. C'était déjà assez malheureux qu'elle ai choisi ce moment pour passer à Jader ! Elle ne devait rien à personne. Elle n'avait qu'à retourner au port, récupérer ce qu'elle pourrait de son équipage, et repartir vers d'autres horizons. Il ne fallait pas rêver ! Mad Maddie du Kraken, l'écumeuse au cœur d'or ? Non, ça ne lui ressemblait pas.

Son nouveau copain le templier, lui, n'avait absolument pas l'air de se poser ces questions. Forcément : entre pirate et templier, on a vite fait de choisir le héros. Il s'engouffra dans une maison en flammes d'où semblaient venir des cris, avant que Maddie n'ai pu dire quoi que ce soit, et puis... un gros bruit retentit comme le plancher de l'étage, affaiblit par l'incendie, lui tombait dessus.

-"Merde ! Ca va ?"

Elle s'approcha, toussant et larmoyant face à la fumée et la chaleur qui se faisaient décidément de plus en plus intenses. Aloïs lui criait de ne pas se faire, de continuer de son côté. Elle leva les yeux au ciel. Il venait de se prendre un plancher sur la tête. "Ta gueule ! J'arrive !" Pourquoi cherchait-elle à aider ce type-là, dans le fond ? Parce qu'elle avait pris cette habitude en tant que capitaine d'un groupe de combattants ? Parce qu'il s'était battu à ses côtés ne serait-ce qu'une fois ? Où peut-être parce qu'il lui donnait une excuse pour ne pas tourner le dos à ce désastre et s'éloigner comme un malfrat dans son genre aurait du le faire ?

Elle l'aida donc à se relever quand il sortit en rampant de la maison - au moins, elle était vide - et observa ce qu'il avait sans doute déjà remarqué. Un poignet manifestement cassé, tordu à un angle qui lui arracha une grimace. Mais ça aurait pu être pire. Ils s'éloignèrent de quelques pas de la maison avant qu'elle ne s'écroule encore plus.

-"Quel merdier... Tu vas pouvoir te battre ?" Elle espérait qu'il n'avait pas cassé sa mauvaise main. Quelque chose lui disait que les gens à évacuer ne seraient pas le seul de leurs soucis.

Elle regarda autour d'elle. Les environs semblaient dégagés, et les appels qu'elle avait entendus un peu plus tôt semblaient venir du nord. "Par là.", dit-elle en pointant dans la bonne direction, "j'entend des gens."



▬ Gasmask


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Dim 17 Déc - 22:13

Créateur merci, Armand m'écoute, enfin il me semble, comme il s'occupe de la sécurité de la survivante avant tout. Je le perds néanmoins de vue, faute d'être concentré sur la goule qui me fait face et avec qui j'aimerais en finir le plus tôt possible, surtout après ce vilain coup. Même si j'entends beaucoup de remue ménage autour de moi, j'essaie de ne pas être déconcentré, ce qui n'empêche pas que je reste à l'affût de tout appel à l'aide ; difficile d'être sur tous les fronts mais j'ai mes priorités. Finalement Armand me retrouve avant que je n'en termine et je lui lance une œillade lourde de sens, au moins il va bien, l'habitante également je l'espère.

RÉSULTAT AUX DÉS 41 : RÉUSSITE

Je vois que l'engeance me prend toujours pour cible, envers et contre tout, qu'elle s'apprête à me charger à nouveau tandis qu'une voix résonne à proximité ; je ne peux m'y attarder pour l'instant. J’intercepte la créature haut à la main ou plutôt haut le bouclier, prenant ma revanche en lui assénant un coup suffisamment puissant pour qu'elle soit sonnée à son tour. Je profite de son état pour lui enfoncer mon épée, voilà une bonne chose de faite, une charge en moins et je me retourne vers mon frère. « Armand, je t'avais dis... Elle est en sécurité ? » Je soupire entre deux, le connaissant inutile d'être à nouveau moralisateur. Et aussitôt, je lève la tête vers les toits, où me semble-il j'ai cru entendre une personne s'exprimer ; difficile pourtant d'y voir clair avec le feu ainsi que la fumée qui s'échappe d'un peu partout. « Tu as entendu ? » Je veux être certain qu'il ne s'agit pas là de mon imagination.

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Mer 27 Déc - 12:37


Il était arrivé juste un peu trop tard, Alaric réussissant enfin à se défaire de la dernière engeance des environs, espérons-le. Et forcément, le grand-frère ne peut s’empêcher remarques, ce qui tire un soupire à Armand. « Je sais mais tu es mon frère et oui, elles sont en sécurités, j’ai installé un piège devant la porte d’une boutique où j’ai trouvé une enfant seule, orpheline surement, elles vont bie... » il s’interrompu, persuadé d’avoir entendu une voix connue ; son regard se porta sur les toits, et il la vit « Fae ! » criât-il avant d’aller l’aider à descendre et une fois presque dans ses bras, il l’attira vers lui, et, dans la chaleur de l’instant, par le soulagement de la retrouver saine et sauve, il l’embrassa. C’était leur premier baiser, même pendant son temps à Lydes il n’avait osé, il voulait prendre son temps ; mais pendant l’Enclin, le temps n’était-il pas compté ; il s’éloigna en rougissant et en se passant une main derrière la tête. « Heu…Tout va bien ? J’ai eu peur de t’avoir perdue » la voix était sincère comme son inquiétude. Puis il se souvint qu’ils avaient un publique, d’autant plus que Liara et Serena, voyant que engeances il n’y avait plus, étaient sorties de leur cachette, et prêt d’Alaric qui sans nuls doutes n’avait rien manqué du spectacle. Il toussa et s’éloigna, non sans garder un instant la main de Fae dans la sienne, avant de la lâcher, il fallait continuer mais il ne voulait pas la perdre à nouveau. « Nous devons atteindre le port, et récupérer le plus de civils possible sur le chemin, c’est le seul moyen, la ville est perdue, laissons le gros des engeances à tes collègues. Enfin, c’est toi le Garde, c’est toi qui voit. » Il laissait la main à Alaric, qui, après tout, était capable de certaines choses concernant les engeances comme Armand l’était avec les mages, et il restait le petit frère, et parfois, déléguer faisait du bien.

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Dim 21 Jan - 15:58




Les femmes et les enfants d'abord

Saving lives is more important than saving myself

    La situation paraît désespérée, au dernier degrès. La ville flambe de toutes parts, et il devient non seulement difficile d'y voir quoique ce soit, mais encore plus d'y crculer. Chaque pas est dangereux, un peu comme si on progressait sur des charbons ardents en permanence. Ce qui, quelque part, est un peu le cas, non ?
Perdu pour perdu, j'ai tenté de lancer une pierre sur une Engeance. Echec critique, je ne sais définitivement pas viser si ce n'est pas avec un arc. Je note donc de m'abstenir de ce genre de "prouesses" à l'avenir. Ceci dit, ce n'est pas non plus comme si on avait ce genre d'occasions tous les quatre matins.

Par chance, la goule ne m'a même pas remarquée, et se trouve rapidement tuée par Alaric. Aidée par Armand, je descends enfin de mon perchoir avec un léger sourire, plus que ravie de retrouver les deux frères de Lydes au milieu de cette tourmente. En revanche, je ne m'attendais absolument pas à ce que le Chercheur me serre contre lui pour m'embrasser. A tel point que je suis restée interdite pendant quelques secondes, avant de reprendre quelque peu mes esprits. Une foule de sentiments se précipitent, et même si j'aimerais bien m'y attarder, ce n'est malheureusement pas le moment idéal pour ça. Je lui adresse un petit sourire, comme pour le rassurer et lui signifier que je ne lui en veux pas, puis me tourne vers Alaric et les deux survivantes qu'ils ont dû trouver durant mon absence.

- Je vais bien, oui. J'ai eu de la chance. On ne peut pas rester là, j'ai bien peur que tu aies raison, la ville est perdue. Fichons le camp avant de finir rôtis ou égorgés par des Engeances. Je pense pouvoir nous guider jusqu'au port, j'ai aperçu un chemin qui paraît plus ou moins sûr et dégagé, depuis les toits.

.SHADOW


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Dim 21 Jan - 17:08


INTERVENTION DU MJ
REFERENT : FAE SVEINN

Jader est perdue. Les flammes finissent de la dévorer, et les Engeances rôdent dans les parties qui ne sont pas encore totalement noyées sous le déluge de feu. Vous devez fuir pour votre survie, chacun d'entre vous en est conscient. Et c'est pourquoi vous prenez tous la direction du port, votre porte de sortie la plus proche et la plus sûre ; vous semble-t-il.

Prenez garde à vous sur le trajet !

ECHELLES DE DES


Le topic pour lancer les dés se trouve ici. Les conséquences de vos lancers de dés sont déjà détaillés par le MJ, en conséquence des formules que vous avez choisies. (Des regrets ? Well, too late Sadique)

Bonne chance avec les dés Coeur bis

ORLAÏS GROUPE 2

Aloïs Martell:

Alaric de Lydes:

Armand de Lydes:

Maddelen:

Fae Sveinn:


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▲ MESSAGES : 811

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Mer 24 Jan - 22:22


Les femmes et les enfants d'abord
Maddelen & Alaric & Armand & Fae & Aloïs

Aloïs serrait les dents. Son poignet le lançait atrocement, tellement qu’il avait l’impression de ne plus sentir que ça ; pourtant, ses diverses brûlures étaient également douloureuses, et ses yeux le piquaient avec la fumée alentour. Lorsqu’il fut relevé, avec l’aide de Maddelen qu’il remercia d’un sourire et d’un hochement de tête, il fut pris d’une légère quinte de toux, recrachant la fumée qu’il avait dû respirer ; lorsque, enfin, il se fut calmé, il répondit d’une voix cassée. « Je ferai ce qu’il faut, ne t’en fais pas pour ça. » et il hocha à nouveau la tête, simplement, lorsqu’elle lui indiqua une direction – il la laissa partir en avant, scrutant les alentours.

Pourtant, il ne voyait rien, et il n’osait plus entrer dans les maisons sans être certain qu’il y ait quelqu’un. Il se trouvait égoïste et honteux mais, en cet instant précis, ses pensées étaient toutes dirigées vers Juliette et Ariel. Le Templier venait juste de réaliser qu’il aurait pu laisser la vie face à cette Engeance, qu’il aurait pu rester sous ces décombres. Le sourire d’Ariel, comme les grands yeux de Juliette, venait le hanter. Il aurait pu (et il pourrait encore) être un cadavre pourrissant dans les rues de Jader, ne plus jamais pouvoir serrer son compagnon dans ses bras, ne pas avoir le droit de voir sa fille grandir.

Un grand sentiment d’abattement le pris tandis qu’il relevait les yeux vers les décombres de la ville. Combien de familles avaient péris, perdu un proche ? Combien ne seraient plus jamais heureux, comme il pourrait l’être s’il parvenait à s’en sortir ? La chaleur des flammes et la fumée l’étouffait. Il étouffait, il se sentait déjà mourir, et ce n’était plus les âpres effluves noirs qui piquaient ses yeux, mais ses propres larmes. Il ne pouvait s’empêchait de penser qu’il avait échoué. Encore. Sa vie n’était qu’une succession d’échec, de son enfance à... A vrai dire, il ne réussissait pas à voir ce qu’il avait pu réussir dans sa vie. Peut-être sa relation avec Ariel – sans doute, oui, la seule chose à laquelle il pouvait penser sans regretter une seule seconde de ces moments passés avec lui. Mais il se tenait là, au milieu des cadavres, et il ne pouvait plus voir que ça, penser qu’à ça. Ca aurait pu être lui. Ca aurait pu être Ariel. Ca aurait pu être Juliette : c’était Jader comme ça aurait pu être Lydes. Ce corps calciné pouvait être Armand, pouvait être Fae, aurait pu être lui.

Une lassitude incroyable le gagna. Qui avait-il sauvé ? Maddelen et lui-même, peut-être, en abattant l’un des hurleurs, en blessant un autre. Sa seule petite fierté, mais qui ne parvenait pas à se frayer un chemin pour l’éclairer dans les ténèbres qui étaient en train de s’engouffrer dans son esprit. Il pourrait tout aussi bien être mort que ça ne changerait rien. Absolument rien. Il méritait peut-être de mourir : à qui allait-il manquer ? Son esprit occultait quelques noms évidents pour ne le laisser que dans l’obscurité. Ariel pourrait se trouver quelqu’un d’autre, de bien mieux, de bien plus convenable. Juliette n’aurait pas son second père, mais elle ne s’en souviendrait pas. Ses frères l’avaient longtemps tenu à part, ils sauraient surmonter cette épreuve sans peine. Branwen avait déjà perdu son frère, Aloïs n’était rien à côté. Il pouvait mourir. Il allait mourir. Il était prêt à mourir. Il ne voyait plus que les flammes autour de lui, qui semblaient se rapprocher toujours plus pour l’engloutir...

Une tuile s’écrasa au sol, à ses pieds, le faisait sursauter, lui arrachant une soudaine respiration. Aloïs eu l’impression de sortir d’un sombre tunnel dans lequel il aurait pu se perdre, d’un cauchemar duquel il aurait pu ne pas se réveiller. Cette constatation lui arracha un grognement tandis qu’il reprenait sa marche. Il allait survivre, pas pour lui, pas parce qu’il avait peur de mourir, pas parce qu’il avait peur ne me manquer à personne : il allait survivre parce qu’il l’avait promis à Ariel, parce qu’un homme et une enfant l’attendait « à la maison », parce que ce n’était pas pour lui qu’il se battait aujourd’hui. La douleur dans son poignet revint subitement, et il serra les dents, un peu trop fort, s’ouvrant la lèvre. Aloïs n’y fit plus attention, essayant de reléguer son corps qui criait au supplice et au repos pour avancer, encore, pas après pas, comme si tout allait bien. Ecouter son corps serait comme replonger dans les abysses et les affres de ses tourments, écouter son corps serait mourir : et il ne pouvait pas mourir. Il s’en voulait encore plus d’avoir pu y penser, même si ça n’avait pas duré plus longtemps qu’une poignée de secondes : abandonner Ariel et Juliette ? Jamais. C’était sa promesse, la seule rare chose dont il pouvait être fier, sa raison de se battre. « Il faut partir, Maddelen ! Il faut partir, vers le port ! » beugla-t-il en la cherchant du regard, avant de la trouver et de lui faire un signe de la main. « Il faut se rendre au port, c’est notre seul retraite possible, notre seule moyen de survivre. »



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Jeu 25 Jan - 14:42

Les femmes et les enfants d'abord
Event - Intrigue
Well... shit.  ▬ Maddelen, probably

La ville était en flammes, le chaos régnait, s'il y avait des survivants, ils n'étaient pas en vue. Maddie avait eu de la chance, jusqu'à présent - contrairement à son compagnon, elle n'était pas blessée : mais il était clair, vu comment allaient les choses, qu'ils devaient partir de là en vitesse.

Elle avançait malgré tout, sans regarder les cadavres qui jonchaient parfois ce décor cauchemardesque - il était trop tard pour eux, rien à faire, à part évacuer la ville avec ceux qui restaient. Ce n'est pas comme si elle n'avait jamais vu de violence avant. Ce n'est pas comme si elle n'en avait jamais commise. Et le port était tout près... Tout cela renforçait plutôt son envie de s'en sortir. De survivre. Elle mourrait un jour, bien sûr, mais ce ne serait pas comme ça - elle mourrait glorieusement en mer, pas dans un combat perdu contre un incendie... Et il lui restait des choses à faire... "Aloïs ?" Elle se retourna soudainement en remarquant l'absence du templier, inquiète malgré elle. A quel moment avaient ils été séparés ? "Hey, Ducon ? T'es où ?" Ce n'est pas qu'elle serait incapable de marcher sans lui - elle se définissait elle-même comme quelqu'un de fort et d'indépendant - mais il était blessé, ils s'étaient battus côte à côté, et elle n'aurait pas aimé le laisser derrière. Qu'elle aide une personne, au moins.  

-"Aloïs, merde !"
Elle l’aperçut un peu plus loin : il avait cessé de marcher, mais ne semblait pas plus blessé qu'avant, simplement perdu dans ses pensées, ignorant ses appels. Maddie pesta, regardant derrière elle - elle aurait pu, du, peut-être, continuer sans lui, mais... Elle fit un pas dans sa direction, tentant de se faire entendre à travers le bruit, la fumée et les flammes. "Réveille toi ! On peut pas rester là !"

Et, qu'il l'ai entendue ou non, il finit par reprendre ses esprits.

Elle grogna en le voyant la rejoindre, et plutôt que de lui reprocher son moment d'absence, répondit : "Bien sûr, qu'on va au port." Elle fut interrompue par la toux, jura, reprit sa marche. "Mon bateau est là bas." Avait-elle même mentionné le Kraken auprès de lui ? Savait-il qu'elle en était capitaine ? Ah, peu importait : il l'apprendrait bien assez tôt.

La marche vers le port fut éprouvante - et encore, elle-même n'était ni blessée, ni engoncée dans une encombrante armure comme l'était le templier : elle n'allait pas s'en plaindre. Ils finirent pourtant pour y arriver, larmoyants et couverts de suie... Loin de la rassurer, le spectacle serra pourtant le cœur de l'écumeuse plus que tout ce qu'elle avait pu voir à présent...

Le port était en ruine. Le feu s'était propagé sur la plupart des bateaux, cassés, inutilisables : un vrai crève cœur. Elle se souvenait encore avoir amarré ici dans un calme relatif, ou seule la peur de l'enclin tout proche menaçait ; et à présent, tout ça... Mais plus que de la tristesse pour ces navires détruits, Maddie ressentait de l'inquiétude pour le sien propre. Ou était son Kraken, son beau brig auquel elle tenait tant ? Empoignant Aloïs par son bras intact, elle avança à travers ce désastre...

Et puis, elle le vit. Le soulagement la fit presque rire. "Ah ! Ahah ! Il est là !" Elle se précipita dans sa direction comme une épouse se précipiterait vers sa moitié, entraînant le templier avec elle. Qu'aurait-elle fait si le bateau avait été détruit ? Elle aurait préféré avec le poignet cassé, comme l'autre... Mais non ! Il avait tenu bon ! Dans le fond, elle n'aurait jamais du en douter. Le Kraken était, après tout, le meilleur navire à parcourir les mers de Thedas.

Grimper à bord lui fit le plus grand bien. Enfin, elle était chez elle, à sa place, en charge de son petit royaume : et il ne lui restait plus qu'à décamper d'ici pour mettre l'épisode "Jader" derrière elle. Tout réfléchit, ça ferait peut-être une bonne histoire à raconter, dans quelques mois.

Le navire avait tout de même été un peu endommagé : il faudrait y remédier avant de prendre le large. Elle fit le tout de l'équipage restant qui était resté à bord, éprouvant soudain une vague de tendresse pour eux qui l'avaient attendue. Elle leur en fit part en beuglant un "Qu'est-ce que vous avez dans la tête, du vent ? Faut réparer tout ça !" Elle se joignit bien sûr à leurs efforts - ils étaient en nombre réduit et devaient se dépêcher... Elle aurait bien demandé à son templier d'en faire de même, mais il était blessé, et elle n'avait pas besoin d'un éclopé perdu et déprimé dans ses pieds.


▬ Gasmask


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Jeu 25 Jan - 15:11

Je réalise aux paroles de mon frère que nous avons la charge d'une rescapée de plus, une petite apparemment orpheline, ce qui m'arrache un pincement au cœur. Combien de parents, d'enfants innocents ont péri ici ? Combien de familles, d'âmes brisées ? J'inspire profondément, je dois tout faire pour ne pas me laisser submerger par ce genre d'émotions ici. Armand n'a pas le temps de m'en dire plus qu'il découvre le premier Fae sur l'un des toits voisins, que je vois également, content qu'elle se porte bien. C'est à cet instant que Liara retourne à mes côtés avec la petite fille ; elle me dit s'appeler Serena et... elle me rappellerait presque Blanche avec quelques années de plus sur ses frêles épaules. Je manque de perdre pied, l'espace d'un instant, heureusement le spectacle sous mes - ou plutôt nos yeux me coupe dans mon élan ; un baiser sincère entre mon jeune frère et Fae. Je le vois dans leur comportement, leur amour est vrai comme celui que je partageais avec Lise, je ne peux qu'encourager leur relation ; et j'essaye de ne pas trop songer à elle quand bien même c'est difficile.

Enfin, future belle-sœur ou non, les cris avoisinants ainsi que les flammes de plus en plus agitées et dévorant tout sur leur passage me ramènent à la réalité. Ça, puis ma responsabilité de Garde qui ne m'a jamais quitté depuis que je me suis engagé, même après avoir été séparé de mes compagnons. « Je suis du même avis. Fae, guide-nous, je m'occuperais de vérifier si le chemin est sans danger, comme je peux sentir la présence des engeances. J'espère que les autres vont s'en sortir... » De toute manière, je ne peux pas les rejoindre. Plus maintenant, alors que des vies qui me sont chères risquent gros, alors que la ville est... perdue. Il ne faut pas tarder.

RÉSULTAT AUX DÉS 61 : RÉUSSITE

En chemin vers le port, Serena accroche timidement sa main à la mienne, visiblement encore en état de choc, de chagrin, de peur. Naturellement je préserve le contact en espérant la rassurer même si je suis concentré ailleurs. « Tout va bien, je te protège. » J'essaye de sentir les engeances et de dénicher d'autres survivants en chemin, incapable de sauver tout le monde mais le plus possible, ce serait déjà ça ; comme cet adolescent aux griffes d'une créature. Je suis forcé de lâcher la main de la petite fille, que la femme rescapée protège le temps que je sauve le jeune homme qui reste ensuite à nos côtés. Puis à nouveau, mon épée en main et l'autre glissée dans celle de Serena, notre petite troupe s'amène jusqu'au port.

Spoiler:
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Sam 27 Jan - 0:12

Il mit sa rougeur sur le compte de la chaleur et tâcha d'ignorer le regard d'Alaric qui approuva son plan sans s'attarder sur ce qui venait de se passer. Fae non plus d'ailleurs, pour son soulagement; Ils en parleraient plus tard, ce n'était pas le moment. Il lui tint cependant la main alors qu'ils avançaient au pas de course dans la ville en ruine; Jader était tombée, et ceux qui n'avaient pas eu la chance de fuir avec elle.

Alors qu'ils continuaient leur chemin, Armand repéra du mouvement du côté de l'eau; et il comprit vite ce qu'il se passait; un enfant était tombé dans la crique et se noyait. Il s'y précipita aussi vite qu'il put.
Mais il arriva trop tard; à peine la main tendue vers la plus petite que l'enfant disparu dans les flots.
"Par Andrasté non !" cria-t-il avant de penser à se jeter à l'eau pour aider la petite âme à ne pas périr. Mais la raison était plus forte; ils devaient fuir et si il se jetait dans l'eau, avec son armure, il coulerait à pic. Le dernier regard de l'enfant, paniqué, le hanterait, mais il n'y avait plus rien à faire; il rejoint le groupe, heurté, serrant dans sa main celle de Fae, le coeur en peine.
Quand il releva enfin le regard, il vit au loin un bateau où des hommes et non des engeances semblaient s'agiter.
"Là ! Regardez !" C'était leur ticket de sortie, et il ne fallait pas le louper.
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Sam 27 Jan - 1:09




Les femmes et les enfants d'abord

Saving lives is more important than saving myself

    La fuite est la seule option, nous le savons tous. A présent, la seule chose qui compte vraiment est de savoir combien de vies nous aurons pu sauver cette nuit. Peu, sûrement trop peu, mais au moins est-ce mieux que si nous avions tous péris ici. Même si perdre Jader est un mauvais coup qu'il nous faudra encaisser, nous pouvons toujours nous relever, plus tard. Je crois que c'est ce sur quoi nous devons nous focaliser.

Durant notre trajet vers le port, où je serre la main d'Armand dans la mienne comme si j'avais peur qu'on ne se retrouve une nouvelle fois séparés, Alaric parvient à arracher un jeune garçon des griffes d'une Engeance. Trois survivants, en tout et pour tout, c'est peu.
Soudainement, alors que nous arrivions enfin au niveau des quais, le Chercheur se précipite vers le bord, visiblement bouleversé. Je ne tarde pas à comprendre pourquoi : un enfant vient vraisemblablement de se noyer à quelques mètres à peine. Sûrement choqué par la scène à laquelle il vient d'assister, sa main retourne à la rencontre de la mienne, et je la serre doucement, ne pouvant pas faire beaucoup plus pour le moment.

- Un navire ? La chance se décide à nous sourire, on dirait... !

.SHADOW
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