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Aurore Valmont
feat Charlize Theron
« LORSQUE LA SOURCE EST TROUBLE, CE QUI EN SORT L’EST AUSSI »
A l'adolescence, elle tomba sous le charme d'un garçon. Puis à l'âge adulte, celui-là même devint son futur époux, peu de temps après qu'elle soit sur le trône. Pourtant, si jusque là Aurore avait bien joué ses cartes, si son couple lui apportait une certaine fraîcheur dans son quotidien de vie, la lassitude s'est bientôt installée. Afin d'apporter un renouveau, un enfant est né : Ambre, choyée peut-être un peu trop par sa mère. Elle comblait son manque affectif, faute à son mari qui paraissait moins proche d'elle depuis quelques temps.
C'est à cette époque qu'elle remarqua Talys Shiral lorsque sa fille eût ses premiers maux à soulager, maux que la mage elfe était la seule à pouvoir soigner. Elle finit par grimper dans son estime, devenant même sa conseillère, les années s'écoulant sans réel accro personnel... Jusqu'à la découverte du complot de son mari il y a un an de cela. La mission d'assassinat confiée à Talys, la trahison orchestrée envers sa conseillère, Aurore s'est laissée emportée dans une paranoïa grandissante et la surprotection de sa fille. Maintenant plus que jamais, elle est sur une pente glissante.
Impuissante face à la prépondérance et à la folie montante de la Chantrie, l'impératrice tenta de maintenir une cohésion chez ses partisans dont les opinions divergeaient beaucoup. Elle eu également connaissance de la mort de Talys lors de la prise de Kirkwall.
L'oblitération du Cercle d'Orlais provoqua d'autant plus de friction dans sa cour, et si certains criaient qu'il faudrait passer tous les mages par le fer, d'autres s'en indignaient, la plaçant dans une position délicate où elle ne préféra pas prendre un parti clair. De ce fait, on se mit doucement à douter des capacités d'une Aurore qui restait muette face à Faustine V.
Finalement, face aux pressions de son peuple, Aurore fini par tenter de réaffirmer sa position de force face à la Chantrie en organisant, main dans la main avec Athanasia, une grande réunion de nobles du monde entier et de représentants chantristes, à Halamshiral. La fête aurait dû être l'occasion de raffermir les liens entre les peuples, ainsi que de donner à Athanasia l'occasion d'annoncer sa promotion au poste de Divine. Mais si Aurore parvint bel et bien à discuter d'avenir avec le Roi de Ferelden, négociant une nouvelle alliance entre leurs deux pays, la soirée fut entachée pour elle par la disparition de sa fille Ambre...
Peu de temps après la fin de l'enclin, l'Impératrice, d'abord soulagée, reçu une lettre de l'Inquisiteur lui apprenant les intentions de conquête de l'Empire Tévintide qu'elle considéra comme de sombres menaces si ce n'est une conspiration. Elle ne bougea pas le petit doigt, jusqu'à constater que tout était bien réel à la prise de Kirkwall par les Tévintides.
Pour ne pas perdre la face, feignant n'avoir été informée de rien, elle exige l'arrestation du Divin Impérial (œuvrant avec l'Inquisition) au plus vite car à ses yeux, il ne peut être qu'un espion de l'armée Tévintide et en aucun cas un allié.
Très appréciée du peuple, l'Impératrice inquiète pourtant celui-ci depuis les derniers incidents survenus et attise les murmures dans son dos à la cour ; certains commencent à douter de sa capacité à continuer de régner.
Elle n'a jamais eu l’occasion de quitter Orlaïs hors affaires politiques qui demandent très rarement un déplacement de sa part.
Le masque qu'elle porte lors des bals ou d'autres occasions est tout en or, ce qui est loin d'être étonnant.
L'une de ses expériences féminines fût Talys, la tentative d'une nuit en cachette, sans que son mari ne l’apprenne.
Fortement éprouvée par la disparition d'Ambre, Aurore a du mal à se remettre sur ses pieds et a du mal à penser à quoi que ce soit d'autre, ces derniers temps.
Depuis sa naissance, Aurore n'a fait que choyer sa fille. Déportant toute son affection sur celle-ci sans jamais se rendre à quel point elle l'étouffait, à quel point elle l'étouffe toujours. Elle n'a qu'une idée en tête : surprotéger Ambre qui reste une fleur fragile et sans défense à ses yeux. Un instinct maternel qui en arrive aux extrêmes concernant cette dernière avide de liberté, complètement épuisée. Ses allées et venues sont constamment contrôlées, sans évoquer sa sécurité, grandement renforcée depuis ces dernières années. C'est trop. L'Impératrice tente de préserver sa fille du monde extérieur, et lui ment aussi très souvent, notamment concernant l'elfe Talys, qu'elle a fait passer pour un traître et une criminelle aux yeux de sa fille. C'est futile ; la jeune fille doute déjà et un jour, elle aura vent de la vérité. En attendant, au lieu d'espérer un changement de la part de sa mère, elle supporte - et rêve de changements.
Ambre a fini par arriver à bout de patience par rapport au comportement de sa mère. Elle a orchestré sa fuite durant le grand bal organisé récemment au Palais d'Hiver, disparaissant de l'entourage d'Aurore en ne laissant qu'une lettre derrière elle. Aurore est anéantie par ce départ, et fait tout ce qu'elle peut pour retrouver sa fille - tout en évitant d'ébruiter la nouvelle de sa fugue auprès du public, de peur de la mettre en danger. Il ne fait pas de doutes que bien des gens mal intentionnés pourraient vouloir mettre les mains sur elle.
Ambre a fini par arriver à bout de patience par rapport au comportement de sa mère. Elle a orchestré sa fuite durant le grand bal organisé récemment au Palais d'Hiver, disparaissant de l'entourage d'Aurore en ne laissant qu'une lettre derrière elle. Aurore est anéantie par ce départ, et fait tout ce qu'elle peut pour retrouver sa fille - tout en évitant d'ébruiter la nouvelle de sa fugue auprès du public, de peur de la mettre en danger. Il ne fait pas de doutes que bien des gens mal intentionnés pourraient vouloir mettre les mains sur elle.
Un empire, un royaume, deux histoires qui s'entrecroisent et des dirigeants qui tentent de maintenir les apparences. Orlais a toujours dédaigné Férelden, Férelden a une dent contre Orlais depuis leur invasion et leur usurpation au trône il y a plusieurs siècles de cela. Les relations diplomatiques sont stables mais délicates, chacun ne désirant pas s'engager dans un nouveau conflit qui ne coûterait que trop de vies. Lors de la mort du fils d'Hereward, Aurore lui a adressé une missive pour lui signifier ses condoléances - il en a fait de même au trépas de l'époux de cette dernière. Une sympathie sincère mais opportuniste, s'ils voguent pour l'heure dans la même direction, rien ne présage que l'avenir restera pacifique.
Le Bal d'Halamshiral aura au moins donné l'occasion à Aurore et Hereward de discuter, raffermissant des liens amicaux se faisant ténus. L'Impératrice s'est engagée à apporter son soutien à Ferelden en cas de besoin, ainsi qu'à faire face à l'Enclin à ses côtés. Ceci dit, depuis la disparition de sa fille, Aurore a du mal à penser à quoi que ce soit d'autre et les possibilités d'amitié avec Ferelden pourraient fort bien être passées au second plan.
Preuve étant que face à la menace Tévintide, seul Ferelden se prépara tandis que Orlaïs n'en fit rien, ravivant certaines tensions entre les deux royaumes.
Le Bal d'Halamshiral aura au moins donné l'occasion à Aurore et Hereward de discuter, raffermissant des liens amicaux se faisant ténus. L'Impératrice s'est engagée à apporter son soutien à Ferelden en cas de besoin, ainsi qu'à faire face à l'Enclin à ses côtés. Ceci dit, depuis la disparition de sa fille, Aurore a du mal à penser à quoi que ce soit d'autre et les possibilités d'amitié avec Ferelden pourraient fort bien être passées au second plan.
Preuve étant que face à la menace Tévintide, seul Ferelden se prépara tandis que Orlaïs n'en fit rien, ravivant certaines tensions entre les deux royaumes.
EN COUUUURS.
Aurore a d'abord vu Catherine comme un pion, une doublure pour sa fille, une demoiselle sans beaucoup d'importance qui pouvait servir de protection pour sa famille. Elle se moquait bien qu'il lui arrive quelque chose, tant qu'Ambre restait en sécurité... Elle l'a sous-estimée - et elle s'en est mordue les doigts. Elle la considère à présent comme responsable pour la fuite de sa fille, et s'en méfie plus que jamais. A ses yeux, c'est elle qui a convaincu sa fille de partir comme ça. Si sa première envie aurait été de la laisser croupir en prison, voir pire, elle a tout de même rapidement réalisé l'intérêt de lui laisser son rôle de doublure le temps de remettre la main sur la vraie Ambre... Cependant, elle est loin de lui avoir pardonné son rôle dans cette histoire, et la surveille aujourd'hui de très près.
Si Talys n'était pas la seule à parvenir à soulager les maux de sa fille, Aurore ne l'aurait jamais plus considérée qu'une autre servante. Elle ne lui aurait jamais accordé une partie de sa confiance et ne l'aurait jamais élevée de cette manière ; en tant que sa conseillère personnelle, constatant toute son utilité à ses côtés. Les deux femmes, bien que séparées par quelques années, étaient également parvenues à s'entendre à la manière d'amies. Leur proximité n'était plus un secret pour la cour où les ragots allaient à vau-l'eau. Jusqu'à ce que l'Impératrice ne découvre que son époux complotait afin de prendre son trône, déclenchant ses premiers élans de paranoïa envers son entourage notamment envers Talys ; entretenant l'idée que celle-ci serait bien placée pour la trahir à son tour. Alors Aurore s'est décidée : elle s'est confiée à elle dans le but de lui mettre une mission entre les doigts, l'assassinat de son mari. Dans le doute, Aurore envisageait de faire porter le chapeau à Talys. D'une pierre deux coups. Deux menaces éradiquées ; ou presque, l'une s'enfuyant. Idéal pour conforter l'Impératrice dans sa paranoïa mal fondée tandis que la mage échappée encaissait une vile trahison.
Talys a été tuée à Kirkwall, durant la prise de la ville par les mages rebelles. Un souci de moins pour l'impératrice.
Talys a été tuée à Kirkwall, durant la prise de la ville par les mages rebelles. Un souci de moins pour l'impératrice.
Le laxisme de l'Impératrice face à Faustine V agite de plus en plus quelques mauvaises langues. Même si celle-ci n'approuve pas l'entièreté des décisions de la Divine, elle est consciente du pouvoir de la Chantrie et préfère s'assurer de son soutien, ne s'opposant pas ouvertement contre elle. Le plus possible, elle reste neutre, même si les derniers événements l’inquiètent. En contre partie Faustine s'assure de garder Aurore dans sa poche, non sans se servir de la foi qu'elle porte en Andrasté ainsi qu'au Créateur. Puis plus récemment, en évoquant un sujet plus sensible : sa fille.
L'impératrice et l'ancien Inquisiteur se coudoient depuis de longues années, l'Inquisition s'étant longtemps située sur les terres Orlésiennes. Aurore a toléré cet Ordre pourtant indépendant à son autorité car utile et bienfaisant, se laissant parfois conter les odyssées de ses braves au coin du feu. Quant à Gwenaël, bien que plus proche de la plèbe que de la noblesse, il a toujours honoré les invitations de la dirigeante lors des grands événements. Cependant, la courtoisie de leur relation a pris un tournant avec l'avènement de Faustine V. Lorsque l'Inquisition s'est retrouvée menacée, Gwenaël a sollicité une audience et a tenté de la convaincre de l'aider - et surtout d'agir ! Il est toutefois reparti bredouille et a dû dissoudre son Organisation, ressuscitée de ses cendres il y a peu de temps et installée en Férelden. Lui, garde un goût amer de leur dernière rencontre, elle, espère que cet homme qui n'est personne ne s'élèvera pas contre elle.
Maintenant que Gwenaël n'est plus l'Inquisiteur, ayant disparu dans la nature, son sort n'intéresse plus Aurore qui de toute manière, est suffisamment occupée à se méfier de la nouvelle tête qui dirige l'Inquisition.
Maintenant que Gwenaël n'est plus l'Inquisiteur, ayant disparu dans la nature, son sort n'intéresse plus Aurore qui de toute manière, est suffisamment occupée à se méfier de la nouvelle tête qui dirige l'Inquisition.
Ambre Valmont
feat Elle Fanning
« IL N'EST POINT DE BONHEUR SANS LIBERTÉ, NI DE LIBERTÉ SANS COURAGE »
Ainsi, bien que le gardant pour elle, Ambre se sentait beaucoup plus proche de Talys que de ses géniteurs car moins emprisonnée dans sa manière de penser ou encore d'agir. Ce qui n'a pourtant jamais entaché son amour envers ces derniers. Lorsque son paternel est décédé il y a un an, suivi de la disparition de son amie, elle fût dévastée. Elle ne sortait presque plus de sa chambre et sa mère ne l'a pas aidée en renforçant sa sécurité.
Ressortie plus forte de cette épreuve, Ambre se décida à ne pas se laisser opprimer de la sorte ; même par sa mère qui ne s'en rendait pas compte. Elle tentait ainsi de prendre sur elle mais tout en étant consciente que si elle restait, elle risquait très certainement de chuter à nouveau et de le regretter. Cette vie de princesse n'a jamais été pour elle.
L'annonce de la mort de Talys, fauchée lors de la prise de Kirkwall, fut un poignard dans le cœur de la demoiselle. Son comportement envers sa génitrice s'assombrit, lui en voulant de ne pas avoir tout tenté pour ramener l'elfe auprès d'elles ; ignorant encore à l'époque ce qui s'est réellement tramé en coulisses.
Finalement, les rêves de liberté d'Ambre et ses reproches envers sa mère finirent par la pousser à prendre sa vie en main. Ainsi, profitant d'une grande fête organisée par sa mère, elle s'échappa du Palais et se retrouva en fugue à Orlais. Confrontée pour la première fois à la "vie réelle", elle fit profil bas de peur de se faire découvrir par sa mère, profitant de l'aide de certains anciens employés du Palais. Malgré les difficultés auxquelles elle dû faire face, notamment afin de fuir Orlaïs, elle était décidée à ne pas revenir sur ses pas. Par admiration pour la défunte Talys, elle trouva refuge à Kirkwall sous couverture d'un faux nom : Lys.
Malheureusement, elle était encore au cœur de la Cité lorsque l'assaut Tévintide fut lancé, demeurant depuis coincée là bas.
Elle est souvent prise de maux de crâne violents qui peuvent survenir à tout moment mais n'est pas plus fragile pour autant. Grâce à sa mère, elle est désormais capable de se défendre et continue d'apprendre.
Ambre est moins crédule qu'auparavant. Si elle a réalisé que sa mère n'est pas si innocente qu'elle paraît l'être ni même très franche en sa compagnie, depuis son départ, elle se heurte à la dureté du monde extérieur ; ce qui a au moins cela de positif de l'endurcir.
D'abord coincée à Orlaïs, désormais à Kirkwall pour d'autres raisons, elle est attentive aux petits signes de révolte interne qui pourraient émerger dans les rangs des habitants annexés par Tévinter. Pourquoi ne pas aider, même faire plus encore ?
Depuis sa naissance, Aurore n'a fait que choyer sa fille. Déportant toute son affection sur celle-ci sans jamais se rendre à quel point elle l'étouffait, à quel point elle l'étouffe toujours. Elle n'a qu'une idée en tête : surprotéger Ambre qui reste une fleur fragile et sans défense à ses yeux. Un instinct maternel qui en arrive aux extrêmes concernant cette dernière avide de liberté, complètement épuisée. Ses allées et venues sont constamment contrôlées, sans évoquer sa sécurité, grandement renforcée depuis ces dernières années. C'est trop. L'Impératrice tente de préserver sa fille du monde extérieur, et lui ment aussi très souvent, notamment concernant l'elfe Talys, qu'elle a fait passer pour un traître et une criminelle aux yeux de sa fille. C'est futile ; la jeune fille doute déjà et un jour, elle aura vent de la vérité. En attendant, au lieu d'espérer un changement de la part de sa mère, elle supporte - et rêve de changements.
Ambre a fini par arriver à bout de patience par rapport au comportement de sa mère. Elle a orchestré sa fuite durant le grand bal organisé récemment au Palais d'Hiver, disparaissant de l'entourage d'Aurore en ne laissant qu'une lettre derrière elle. Aurore est anéantie par ce départ, et fait tout ce qu'elle peut pour retrouver sa fille - tout en évitant d'ébruiter la nouvelle de sa fugue auprès du public, de peur de la mettre en danger. Il ne fait pas de doutes que bien des gens mal intentionnés pourraient vouloir mettre les mains sur elle.
Ambre a fini par arriver à bout de patience par rapport au comportement de sa mère. Elle a orchestré sa fuite durant le grand bal organisé récemment au Palais d'Hiver, disparaissant de l'entourage d'Aurore en ne laissant qu'une lettre derrière elle. Aurore est anéantie par ce départ, et fait tout ce qu'elle peut pour retrouver sa fille - tout en évitant d'ébruiter la nouvelle de sa fugue auprès du public, de peur de la mettre en danger. Il ne fait pas de doutes que bien des gens mal intentionnés pourraient vouloir mettre les mains sur elle.
Son amie secrète, celle qui se plaît à lui parler des vertes contrées qu'elle ne connaîtra sûrement jamais avec la vie de château. Celle qui alimente ses rêves d'ailleurs, qui renforce subtilement son envie de fugue. Sous ce couvert bienveillant se cache évidemment de sombres desseins. Quelle opportunité ce serait, que de cueillir l'héritière de l'Empire d'Orlaïs dans sa fugue ? Quel chantage politique pourrait se permettre Tévinter s'il détenait la jeune enfant entre ses griffes ? Marianis s'amuse des possibilités et du trouble que cela créerait chez la mère d'Ambre. Elle s'insinue sournoisement auprès de la jeune fille à l'occasion sous couvert d'une fausse identité et prétextant que leur amitié doit rester secrète, car elle n'aurait en réalité pas l'autorisation de voyager librement comme elle le fait. Ambre s'est liée d'amitié à ce mensonge que lui renvoie Marianis. Influence que celle-ci n'hésitera pas à utiliser à son avantage à la moindre occasion.
La princesse nourrit une véritable fascination pour cet homme au teint de cuivre venu de si loin. Ambassadeur de l'Inquisition et de fait fréquemment convié aux évènements impériaux, il brille d'une profonde générosité et a toujours eu, pour elle, un mot gentil. Il lui a longuement parlé de son pays et lui a même appris quelques comptines riveiniennes, non sans lui distiller de sages conseils pour l'avenir. Par ailleurs et elle l'a vite remarqué, lui aussi souffre, il traîne cette jambe qu'il appuie parfois d'une canne pour se déplacer. Quant à Bayek, Ambre a su toucher sa fibre paternelle et lui rappelle ses enfants. Avec la récente dissolution puis réinstallation de l'Inquisition en Férelden, ils n'ont malheureusement pas eu l'occasion de se voir depuis de très longs mois.
Catherine a longtemps considéré Ambre comme sa meilleure amie, une relation qu'Ambre elle-même ne voyait peut-être pas avec autant d'intensité. De par leur ressemblance physique, Catherine a souvent pris la place de la Princesse lors de sorties publiques à laquelle cette dernière ne pouvait pas participer... C'est ce rôle qui a inspiré leur plan pour permettre à Ambre de fuir le Palais - un plan dangereux pour Catherine, qui n'a pourtant pas hésité avant de l'accepter, prouvant ainsi sa loyauté à son amie. Elles étaient sensées se retrouver hors d'Halamshiral une fois qu'elles seraient toutes deux libres. Malheureusement, les choses ne se sont pas passées comme prévu. Aujourd'hui, Catherine envie la liberté de son amie et s'inquiète aussi pour elle... Mais si elle craint qu'on la retrouve, c'est avant tout pour les conséquences sur sa propre sécurité - qu'est-ce qu'Aurore fera d'elle, quand elle n'aura plus besoin d'une doublure ? De son côté, Ambre est triste pour son amie quand elle songe à elle, mais doute de pouvoir faire quoi que ce soit pour l'aider.
Dès leur première rencontre, les deux jeunes femmes se sont immédiatement appréciées et un lien privilégié s'est tissé entre elles. Talys apaisait la jeune enfant en proie à divers maux tout d'abord bien réels mais de plus en plus psychologiques ; créés de toute pièce par l'esprit d'Ambre qui voulait garder l'elfe à ses côtés. La seule chose que cette-ci, même une fois devenue conseillère de l'Impératrice, ne révéla jamais à cette dernière. Un secret bien gardé entre elle ainsi que Ambre qui avaient une relation affective puissante. Malgré la différence d'âge et le fait que Talys aurait pu être sa mère, elle la considérait comme une petite sœur à protéger avec qui elle échangeait, jouait parfois. Lorsqu'elle fut forcée de partir, Ambre eût à encaisser à la fois la perte de son paternel assassiné et la sienne, en plus accusée d'être la responsable. L'adolescente était dévastée mais doute désormais de plus en plus de la sincérité de sa mère. Elle le garde bien évidemment pour elle... Elle envisageait même de fuguer et de retrouver Talys avant d'apprendre sa mort. Cette nouvelle lui a fait beaucoup de mal.
Hereward Theirin
feat Linus Roache
« ET NOUS SOMMES ENCORE TOUT LIÉS L’UN À L’AUTRE,
ELLE À DEMI VIVANTE ET MOI MORT À DEMI »
ELLE À DEMI VIVANTE ET MOI MORT À DEMI »
Couronné à la suite de son père, il a toujours œuvré pour sa patrie le cœur léger. Dirigeant d'abord son royaume en solitaire en enchaînant diverses conquêtes pour profiter pleinement. Ce n'est que bien plus tard que le roi s'est enfin engagé sérieusement avec une femme et que très rapidement, il est devenu bien plus qu'un souverain : un père. De belles années en perspective, la confiance installée. La plupart étaient étonnés de voir Hereward, en plus de son rôle important, s'occuper de sa famille sans relâcher ses efforts des deux côtés. Un travail monstre où il a donné toute la sueur de son front.
Jusqu'à la chute, le tragique décès de son fils amenant un certain relâchement dans ses actions. Les premiers temps difficiles à surmonter et bientôt, la perte de désir envers sa bien aimée ; s'il remonte désormais la pente, il le fait politiquement parlant. Pour son royaume. Quelques années se sont écoulées mais son deuil n'est pas achevé.
Les derniers événements ont eu de quoi occuper le souverain, entre la reconstruction du Cercle détruit par l'explosion causée par des mages, la présence des engeances sur son territoire et l'arrivée inopinée de l'Inquisition au Refuge de Therinfal, il a fort à faire.
Comme il ne parvient plus à éprouver encore du désir pour sa femme, fait qu'il n'ébruite pas, il écume à nouveau d'autres couches en secret.
Malgré un léger relâchement de sa part lors de son règne, Hereward reste un dirigeant très apprécié de son peuple ; loin de rester constamment reclus dans son château, il n'hésite pas à se mêler à eux, à échanger, à améliorer les conditions de vie.
Hereward n'apprécie pas énormément les voisins de son royaume, Orlaïs, toujours encré dans l'histoire ; malgré tout derrière sa méfiance, il reste en bon terme avec.
Un empire, un royaume, deux histoires qui s'entrecroisent et des dirigeants qui tentent de maintenir les apparences. Orlais a toujours dédaigné Férelden, Férelden a une dent contre Orlais depuis leur invasion et leur usurpation au trône il y a plusieurs siècles de cela. Les relations diplomatiques sont stables mais délicates, chacun ne désirant pas s'engager dans un nouveau conflit qui ne coûterait que trop de vies. Lors de la mort du fils d'Hereward, Aurore lui a adressé une missive pour lui signifier ses condoléances - il en a fait de même au trépas de l'époux de cette dernière. Une sympathie sincère mais opportuniste, s'ils voguent pour l'heure dans la même direction, rien ne présage que l'avenir restera pacifique.
Tels deux inconnus, leurs corps se sont entrelacés, piégés dans un plaisir partagé. Le temps d'une nuit, ils se sont trouvés dans un décors rustique, très éloigné de leur quotidien de vie. Hereward n'était ce soir là rien de plus qu'un homme fraîchement hanté par le décès de son fils et cherchant du réconfort dans des bras autres que ceux de sa femme, éloigné du château. Aquila était quant à elle secrètement rendue à Ferelden et surtout totalement anonyme aux yeux du souverain. Celui-ci, tombé dans le piège insoupçonné, s'est de ce fait laissé aller. D'abord les choses sérieuses puis très rapidement les confidences sur l'oreiller. L'archonte enregistrant tout dans un coin de sa tête, ses caresses déliant la langue du Theirin, sa tendresse confortant la peine. L'espace d'un instant, ce dernier est presque tombé sous son charme ; mais le lendemain, l'espoir était vain. La couche désertée, la femme encrée dans son esprit, Hereward pensait l'oublier facilement. Au final, elle stagne dans ses pensées. Il ne souhaite plus qu'une chose : savoir qui elle est afin de la retrouver. Peut-être est-il préférable pour lui qu'il n'apprenne pas immédiatement son statut actuel, au risque de lui froisser le cœur. Aquila, dans le meilleur des cas, s'esclafferait en apprenant avoir attisé la flamme du roi de Ferelden à son égard ; autant qu'elle tenterait de le manipuler. Sans se faire prendre à son tour, sans fendre sa propre coquille, sa barrière sentimentale.
Le fils d'Hereward n'est pas décédé par un simple hasard, ni emporté par une maladie et encore moins par la vieillesse : une personne était responsable. Une crapule de bas étage, un assassin probablement grassement payé mais par qui, il l'ignore encore. La seule chose dont il se remémore, c'est la silhouette ainsi qu'un bout de faciès de celui qui a porté le coup fatal : il s'agissait de Itzal. Le maître assassin de la maison des Corbeaux qui cette nuit là, n'aurait même pas dû laisser l'opportunité au roi de le distinguer parmi les ombres. Une grave erreur, un fait que ses supérieurs n'ont jamais soupçonné car le Theirin ne connaissait pas son identité ; se doutant simplement qu'il était un Corbeau et que de ce fait, une autre personne avait commandité l'assassinat. Un individu qu'aujourd'hui encore, il recherche sans se mettre la maison des Corbeaux à dos. En somme, ce n'est pas une tâche facile. C'est récemment que les deux hommes se sont à nouveau croisés et que leurs regards se sont agrippés, Hereward croyant reconnaître Itzal. Dans le doute, le temps qu'il l'interpelle, celui-ci s'était déjà envolé en confirmant les suspicions à son égard ; la prochaine fois, il sait qu'il n'aura pas cette chance. Démasqué, le maître assassin espère que cette faute ne va pas remonter jusqu'aux oreilles de ses supérieurs après tant de temps. Dans ce cas là, sa place serait fortement compromise et ses chances de survie... n'en parlons pas. Il envisage de plus en plus de rendre une visite au souverain dans le but de négocier en secret : des informations sur le commanditaire contre le silence.
Une belle amitié lie les deux hommes, un respect mutuel qui remonte au temps où Law était encore en pleine rue à mander du Lyrium mais également de quoi survivre. Une soirée alors qu'Hereward était en affaires à Denerim, il est passé à proximité de son corps inanimé et desséché, à deux doigts de mourir de faim. Plus que de lui offrir simplement de quoi se nourrir, le souverain lui a tendu la main en le conviant à sa table le soir même ; lui permettant de manger à sa faim, de prendre un bain, puis lui laissant quelques provisions avant qu'il ne reparte dans les rues de la Cité. Law n'a jamais compris la raison de son geste aussi généreux mais n'a jamais oublié. Plus tard, lorsqu'il est sorti de la rue en intégrant la garde des ombres, il a pu le côtoyer à nouveau ; dans un état moins lamentable. Le remercier et lui demander pourquoi lui particulièrement, ce soir là. Hereward lui énonça alors un fait qu'il ignorait : une dette qu'il avait envers ses géniteurs, remontant à plusieurs années. Désormais remboursée. Le roi a constaté l'évolution fulgurante de Law, passant de templier puis de mendiant à garde-commandeur ; depuis véritables alliés, ils continuaient de se voir de temps en temps lorsqu'ils n'étaient sont pas trop occupés par leurs devoirs mutuels, jusqu'à la mort du Garde pendant l'Enclin.
Randall Theirin
feat Sam Heughan
« LE TALENT PROVIENT DE L'ORIGINALITÉ, QUI EST UNE MANIÈRE SPÉCIALE DE PENSER, DE VOIR, DE COMPRENDRE ET DE JUGER. »
Destiné dès son plus jeune âge à entrer dans les armées, un avenir tout tracé s'ouvrait devant lui. S'élever dans les rangs, servir sa famille avec un appui militaire - les choses étaient très claires, sans qu'il ne le regrette. Il avait du talent au combat, et se révélait être un bon leader pour ses hommes.
Ce fut la mort - l'assassinat ! - de son cousin qui vint chambouler tous ces plans. Soudainement sorti de l'ombre, second dans l'ordre des héritiers après son père, Randall doit à présent faire face à la possibilité très réelle de se retrouver un jour sur le trône. Une transition difficile : il s'était, jusqu'à présent, toujours tenu à l'écart de la politique, et doit à présent s'y intéresser de près.
Dernièrement, il a participé, aux côté de l'armée fereldienne et de la Garde des Ombres, à l'assaut qui a chassé les engeances du Fort Céleste. Il s'y est distingué par son courage et son sens des initiatives, mais y a aussi pris pas mal de risques, manquant même d'y laisser sa peau.
Randall est assez timide et réservé en société, tout particulièrement en présence de femmes de son âge. Face à elles, il se retrouve généralement à rougir et bafouiller... Il montre un tout autre visage au combat, se révélant alors courageux, volontaire, et capable de mener ses hommes vers l'avant avec talent et charisme.
Très axé "famille", Randall a énormément de respect et une sincère affection pour son oncle, et chérit ses parents plus que tout. Il pourrait donner sa vie pour eux, et tient réellement à les rendre fiers. Quant à son cousin, c'était presqu'un frère à ses yeux, et sa mort a été un gros coup dur - même en oubliant ses répercussions sur sa vie personnelle.
Le Roi de Ferelden, l'oncle de Randall, a bien sûr beaucoup d'importance dans sa vie. S'ils se sont toujours apprécié, la mort des enfants d'Hereward a quelque peu transformé leur relation... Désormais, Randall est un héritier plus qu'un allié. Hereward le voit bel et bien comme tel, et fait de son mieux pour l'aider à assumer ce rôle, prenant parfois presque inconsciemment un rôle paternel avec lui. Pourtant, chaque discussion avec Randall rappelle tristement à Hereward le fait que jamais son propre fils ne montera sur le trôle.
Isobel une une garde des ombres qui a eu l'occasion - surprenante - de se battre aux côtés du Prince Randall durant l'assaut de la Forteresse de Skyhold, alors occupée par une armée d'engeances. En fait, elle lui a même sauvé la vie durant les combats. Habituellement, l'elfe est plutôt sceptique voir méfiante face aux nobles et à leurs histoires, mais elle a apprécié Randall pour ses compétences et son implication dans la bataille en question... Lui donnant par la même occasion une meilleure opinion de la noblesse fereldienne dans son ensemble. Bien sûr, leurs emplois du temps mutuel n'aidant pas, ils n'ont plus eu l'occasion de se voir depuis, mais elle ne regrette pas de l'avoir rencontré et espère le croiser encore à l'avenir - idéalement, sans autant d'engeances meurtrières autour d'eux. Encore que leurs difficultés avec les relations sociales hors combats pourraient leur jouer des tours.
Bazral Aeducan
feat Richard Armitage
« JE NE SUIS PAS ALLÉ PARTOUT, MAIS JE SUIS REVENU DE TOUT »
L'ennui s'amène peu à peu dans sa vie ; jusqu'à ce qu'enfin en âge, son père le confie à l'un des meilleurs combattants d'Orzammar pour lui apprendre le combat. Quelque chose qui passionne Bazral. En plus d'être formé, il est autorisé à sortir plus en avant dans le royaume du moment qu'il est accompagné ; se rendant très souvent observer les affrontements dans la Lice. C'est également à cette époque qu'il était censé avoir un petit frère ; celui-ci décédant au même titre que sa génitrice après un accouchement éprouvant. Une période difficile durant laquelle son père est alors plus proche de son unique fils et héritier.
Peu à peu, il lui enseigne les ficelles de son futur rôle, lui offre des conseils avisés, le prépare. Bazral note tout. La tâche lui semble d'abord gigantesque mais plus les années passent, plus la crainte s'évapore. Enfin lorsque son géniteur est trop vieux pour régner, il monte sur le trône en se sentant pousser des ailes.
Lors de la récente invasion du Royaume d'Orzammar par les engeances, Bazral s'est tenu en première ligne avec ses hommes, malgré une grande colère. En effet, le souverain préparait sa patrie depuis des semaines, des mois, contre l'Enclin. Tout ceci est néanmoins la faute de trahison au sein de ses propres rangs et de sabotage du Carta avec leur chef Thral. C'est l'heure pour lui de confronter ce dernier, car il est une menace dont il doit se débarrasser au plus vite.
Le souverain a organisé des festivités au sein du Royaume avec deux objectifs en tête : célébrer son mariage avec la Haute Sepith et permettre à son peuple de se faire une pause dans la reconstruction de la Cité mais également pour piéger Thral. Celui-ci a mordu à l'hameçon avec ses hommes pour finalement être achevé de la main du Prince Aravar, félicité par son père.
La disparition de la Légion des morts fut résolue à l'aide des Gardes des Ombres, leur décès confirmé, et Bazral prévoie de reformer celle-ci avec de nouveaux guerriers ; même si pour l'heure d'autres priorités l'appellent aussi.
Il reste plutôt un conservateur des coutumes naines, chose appréciée du peuple excepté les rejetés comme les sans castes.
Il envisage d’agrandir Orzammar durant son règne.
Une maladresse de jeunesse. Une affaire étouffée, un bâtard oublié pour le bien de tous ; ou presque. Toute cette histoire remonte à la fin d'adolescence de Bazral. Unique héritier Aeducan mais surtout futur roi, il profitait de sa condition en flirtant à droite ainsi qu'à gauche. Détaché des responsabilités jusqu'à ce qu'il ne confronte un soucis de taille : une servante mise enceinte par sa faute. Celle-ci, bien que de caste inférieure, lui demanda une union par le mariage, suggérant que leur enfant à venir ait un jour l'opportunité de monter sur le trône. Le sang et la descendance de Bazral. Aravar. Malheureusement trop réticent à cette idée, à l'époque, il s'est détourné de la servante. Fuyant les responsabilités comme la peste, soutenu son paternel ainsi que l'assemblée, il n'a pas même eu le temps de voir l'enfant naître : celui-ci vit le jour dans un taudis des bas-quartiers, là où sa mère avait été jetée pour cacher la vérité. Interdite de prétendre à quoi que ce soit, elle informa malgré tout son fils Aravar de ses origines et de l’identité de son père avant de mourir : Bazral, roi actuel du peuple nain. Depuis, Aravar ne rêve plus que la vérité éclate au grand jour mais aussi qu'il récupère la place qui lui revient de droit. Faire face à son père. Peut-être n'est-il pas le seul bâtard mais au moins demeure-il le premier engendré. Bazral n'a quant à lui pas oublié, malgré les années ; plus mature qu'auparavant, il se demande si son enfant avec la servante est vivant. S'il a une chance de le retrouver, d'assumer son erreur passée.
Mise à jour suite aux événements in rp : Aravar a récemment usurpé l'identité d'un combattant de la Lice afin de participer à celle-ci, dans le dos du Carta. C'est ce qui lui a permis de rencontrer enfin son père et d'avoir une entrevue avec lui. Les retrouvailles sont faites, Bazral ayant officiellement reconnu Aravar en tant que son fils ainsi qu'un Aeducan. Néanmoins, celui-ci doit encore faire ses preuves avant d'être considéré comme son héritier légitime et sera guidé par sa main. A suivre désormais...
Mise à jour suite aux événements in rp : Aravar a récemment usurpé l'identité d'un combattant de la Lice afin de participer à celle-ci, dans le dos du Carta. C'est ce qui lui a permis de rencontrer enfin son père et d'avoir une entrevue avec lui. Les retrouvailles sont faites, Bazral ayant officiellement reconnu Aravar en tant que son fils ainsi qu'un Aeducan. Néanmoins, celui-ci doit encore faire ses preuves avant d'être considéré comme son héritier légitime et sera guidé par sa main. A suivre désormais...
Après des années à conseiller et servir l'ancien souverain, Engen aurait espéré voir son fils plus enclin a passé outre les vieilles traditions. Malheureusement, Bazral ne semble pas être plus ouvert à plus de modernité, mais il ne peut nier la passion du Roi envers sa Patrie. Récemment, avec la révélation de son fils bâtard, il est un soutien immuable du Roi, le défendant Bec et Ongle sur sa décision de reconnaître l'Enfant. Une alliance étrange, vu les désaccords que les deux hommes peuvent avoir. Malgré leurs prises de positions différentes, leur relation est appuyée par un grand respect mutuel. Et tout deux savent qu'ils œuvrent à leur manière à la sécurité et la grandeur d'Orzammar.
La Dame des Anderfels a rendu un immense service au royaume lors de la récente invasion des engeances, elle est venue leur prêter main forte en compagnie de sa troupe de Gardes des Ombres et a ainsi sauvé de nombreuses vies. Autorisés à séjourner dans la Cité par la suite, leurs invités ont aidé au désencombrement et Divinis a pu s'entretenir avec Bazral. En plus de lui demander la faveur de consulter les archives du façonnât, elle lui a fait une proposition alléchante : renforcer les liens entre la Garde et les Nains, notamment en créant leur toute première base à Orzammar. Si le roi est conscient de la préciosité de cette alliance, il s'est donné le temps nécessaire pour réfléchir, appelé par d'autres priorités. Tous deux ont toutefois prévu de se revoir une fois les menaces de l'Enclin et du Carta écartées.
Les deux se connaissent depuis leur prime jeunesse, sans avoir été de grands amis. Leurs relations sont cordiales, et chacun furent un soutien politique inébranlable l'un pour l'autre. L'une défendant le style de vie et le règne du roi, et l'autre refusant de reconsidérer la place de la maison Aravish dans la noblesse. Dans les émois de la jeunesse, ils furent amants une fois, si ils ne l'ont pas oubliés, ils ont toujours poliment fait l'impasse sur cette affaire, jugeant l'alcool responsable de la situation. Aujourd'hui, Bazral se retrouve forcé d'accepter les ordres de mariage du conseil, et c'est Sepith qu'il a choisit. Si la passion ne l'anime pas, il admire l'esprit, le talent, et le caractère indomptable de la Dame. Il est certain que si Orzammar a besoin d'une reine, c'est celle là qu'y lui faut.
D'aussi loin qu'il s'en souvienne, Bazral a toujours connu Durard : celui-ci demeurait le fils du garde du corps de son père et était parfois chargé de surveiller le jeune Aeducan qui avait alors douze ans de moins. Se côtoyant ainsi très régulièrement, un lien s'est tissé entre eux. Un mélange d'amitié et la responsabilité du plus âgé envers le cadet ; peu importe s'ils n'étaient pas frères. Plus tard, alors que le paternel de Durard était devenu le mentor de Bazral, il céda sa place de garde du corps à son fils entièrement formé. Destiné, par la suite, à être celui du prochain roi soit Bazral. Une grande tâche qu'il aurait dû assumer jusqu'à la fin de ses jours si sa propre bêtise ne l'avait pas condamné à tout autre chose : une expédition particulière dans les tréfonds. Durard avait insisté mais n'en revint jamais. Trouvé agonisant par un groupe de gardes des ombres, il devint l'un des leurs, perdant ainsi son rang, sa caste, tout pour une nouvelle vie sans en informer les siens. Bazral qui le pensait mort apprit seulement la nouvelle plus tard, par lui même. S'ils eurent par la suite l’occasion de se revoir, le roi ne parvint jamais à lui pardonner entièrement. Et maintenant éloignés, il est difficile de réparer les pots cassés ; même par missives, celles-ci étant principalement politiques.
Autant dire que chacun ne se connaissent que de nom. Arietha, elle, est forcément au fait qu'il s'agit du Roi d'Orzammar, et l'accuse de conserver le système actuel comme ses prédécesseurs, tandis le titre de "Reine des Taudis" commence de plus en plus à venir aux oreilles de Bazral. Celui-ci se méfie, considérant la jeune naine comme une éventuelle menace, surtout après le décès du chef du Carta. Alors si Arietha se sent observée et suivie ces derniers jours, ce n'est pas son imagination qui lui joue des tours : on épie ses faits et gestes.
Sepith Aravish
feat. Katheryn Winnick
« A strong woman stands up for herself. A stronger woman stands up for everybody else. »
Sepith aide son paternel à gérer son affaire jusqu'à son décès où elle hérite de ses mines. Sans surprise elle prend la suite, déterminée à ce que celles-ci prospèrent mais se développent également ; toujours avec le soutien de la couronne. Le drame surgit cette année, un incident dans les profondeurs des Tréfonds : ses mines les plus éloignées sont attaquées par des engeances. La naine se trouvant dans l'une de celles-ci risque alors héroïquement sa vie pour sauver celle de ses ouvriers plutôt que de s'enfuir. C'est grâce à elle qu'ils ne subissent aucune perte et qu'elle les ramène finalement jusqu'à Orzammar.
Suite à ses actions, même si ses autres mines continuent d'être attaquées, voilà qu'elle est promue Haute. Un titre qui ne chasse pas l'amertume suite à ses pertes de biens. Plus tard encore, elle apprend qu'elle est désignée par l'Assemblée comme potentielle Reine d'Orzammar avec d'autres candidates puis finalement choisie par le Roi. Elle accepte en précisant bien à celui-ci qu'elle le fait dans l'intérêt du peuple et s'échinera à se battre pour ses sujets.
Sepith affronte aux côtés de son Roi et de ses hommes l'invasion d'engeances en plein cœur du Royaume pendant l'Enclin, suite à une trahison liée au Carta. Quelques semaines plus tard, les reconstructions bien avancées, le mariage se déroule non sans accrocs mais elle est officiellement devenue Reine.
Sepith est doté d'un très fort caractère et de valeurs inculquées par feu son géniteur. Fière, digne, intransigeante, elle ne se laisse pas marcher sur les pieds.
Les deux se connaissent depuis leur prime jeunesse, sans avoir été de grands amis. Leurs relations sont cordiales, et chacun furent un soutien politique inébranlable l'un pour l'autre. L'une défendant le style de vie et le règne du roi, et l'autre refusant de reconsidérer la place de la maison Aravish dans la noblesse. Dans les émois de la jeunesse, ils furent amants une fois, si ils ne l'ont pas oubliés, ils ont toujours poliment fait l'impasse sur cette affaire, jugeant l'alcool responsable de la situation. Aujourd'hui, Bazral se retrouve forcé d'accepter les ordres de mariage du conseil, et c'est Sepith qu'il a choisit. Si la passion ne l'anime pas, il admire l'esprit, le talent, et le caractère indomptable de la Dame. Il est certain que si Orzammar a besoin d'une reine, c'est celle là qu'y lui faut.
C'est son père qui lui a annoncé il y a peu : Sepith va devenir sa belle mère. Et si jusque là, Aravar appréciait à sa manière la jeune naine en raison de son passif, il considère désormais celle-ci comme une potentielle menace. En tant que bâtard que l'assemblée n'a pas encore officiellement monté au titre d'héritier, il n'écarte pas la possibilité que la fiancée de Bazral tombe enceinte, ce qui annihilerait alors ce qu'il reste de sa chance. Mais ce n'est pas tout : Aravar est maintenant jaloux. Jaloux qu'à cause de Sepith, son père lui accorde moins d'affection si ce n'est d'attention, jaloux qu'il soit relégué au second plan. L'admiration qu'il éprouvait pour la naine s'étiole en laissant place à ses craintes. En attendant, il ne peut rien faire si ce n'est attendre de voir de quelle manière tout se passe ; et de lancer des regards agacés en direction de Sepith, lorsqu'il la croise.
Sans réel étonnement, probablement en raison des origines roturières de la demoiselle, Engen parvient à s'accorder plus facilement avec elle que le Roi Bazral - son désormais mari. Cela remonte par ailleurs même avant que Sepith ne soit montée au rang de Haute. Désormais qu'elle est Reine, Engen espère avoir plus d'appui politiquement parlant et compte entre autre sur son soutien. Elle est moins butée sur les traditions que l'est l'Aeducan, capable d'avoir plus de recul, s'intéressant aux opinions du Dashyr. De plus, lors des derniers événements survenus au Royaume, ils ont eu l'occasion de se battre ensemble sur le champ de bataille.
Engen Dace
feat Timothy Odmundson
« POWER IS ALWAYS DANGEROUS. IT ATTRACTS THE WORST AND CORRUPTS THE BEST »
C'est finalement ce dernier, Vaughn, qui l'a assassinée il y a plus de vingt-ans car il pensait que la naine sans caste allait affaiblir la Maison Dace - causant son exil et son engagement chez les Gardes. Tandis qu'à côté, Engen restait le cœur écorché suite à cette trahison doublée d'un deuil profond. Cela lui avait au moins ouvert les yeux concernant les différences prononcées, les problèmes de communication entre les diverses castes. Abandonnant son grade actuel, il s'est hissé à l'aide de la réputation de sa famille ainsi que de pots-de-vins jusqu'à une place de choix au sein de l'Assemblée. Il avait un nouvel objectif : faire changer les choses.
En parallèle dans sa vie privée, Engen s'est porté responsable de la fille de son jeune frère exilé, celle-ci ayant perdu sa mère lors de l'accouchement. Le nain en a fait son propre enfant en l'adoptant malgré son passif avec Vaughn. Jamais il n'a regretté cet acte de charité ni cet engagement en tant que Dahyr et jamais il n'est retombé sous le charme d'une naine. Se considérant comme veuf bien qu'il n'ait jamais eu l'opportunité de demander en mariage l'élue de son cœur. Il lui reste fidèle même jusque dans la mort, ce depuis plus de vingt-ans, peu importe les réflexions de ses pairs. Après tout, il n'est pas l'unique Dace capable de produire une descendance.
Il a défendu Orzammar face à l'invasion des engeances, en première ligne et suivi de ses partisans. Malheureusement, peu de temps après, sa nièce fut portée disparue dans la nature ; à priori une fugue voulue.
Prêt à en découdre avec le Carta responsable de cette catastrophe ayant touché le Royaume, il n'a pas fait faut bond au Roi ni à la désormais Reine Sepith lors des festivités perturbées. Il a combattu les brigands jusqu'au bout quitte à ne pas en ressortir en un seul morceau... En effet, malgré quelques blessures plus superficielles comme une épaule déboîtée, son pied gauche entaillé lors des combats l'empêche désormais de marcher correctement sans boiter.
Il aimerait qu'Orzammar entre dans une ère nouvelle. Sans pour autant abandonner le passé de leur peuple, construire quelque chose de meilleur en apprenant de leurs erreurs. Et Engen, malgré sa réputation de vieux con bloqué sur ses positions, reste lui-même ouvert à de nouvelles propositions.
Il doit bien demeurer l'un des uniques Dashyr à s'aventurer dans les Taudis afin de venir en aide aux plus infortunés, même si ce ne sont que de simples attentions. Au moins, il ne reste pas sans rien faire à contrario de ses semblables noyés dans leur confort. Engen reste néanmoins discret là dessus, ne risquant pas sa position ni sa vie en s'aventurant dans la gueule du loup : une couverture lui est nécessaire.
Après des années à conseiller et servir l'ancien souverain, Engen aurait espéré voir son fils plus enclin a passé outre les vieilles traditions. Malheureusement, Bazral ne semble pas être plus ouvert à plus de modernité, mais il ne peut nier la passion du Roi envers sa Patrie. Récemment, avec la révélation de son fils bâtard, il est un soutien immuable du Roi, le défendant Bec et Ongle sur sa décision de reconnaître l'Enfant. Une alliance étrange, vu les désaccords que les deux hommes peuvent avoir. Malgré leurs prises de positions différentes, leur relation est appuyée par un grand respect mutuel. Et tout deux savent qu'ils œuvrent à leur manière à la sécurité et la grandeur d'Orzammar.
Engen, indifféremment du passif d'Aravar ainsi que son statut de bâtard, est l'un des premiers - si ce n'est le seul à le soutenir au sein de l'Assemblée. Il estime que si le jeune nain montre une réelle volonté, il est tout autant capable qu'un héritier "officiel". De plus, grâce à cette affaire, ce serait là l'occasion pour Engen de prouver à ses compères que le fonctionnement des Castes est à revoir. Quoi qu'il en soit, le Dashyr apprécie Aravar. Il voit en lui une âme fougueuse qui cherche à sortir de l'ombre après avoir été enfermé au placard trop longtemps à cause du système actuel ; et il n'a pas tord. L'ancien ne le juge donc pas sur ses antécédents mais bien sur ce qu'il voit maintenant. Il espère vivement que le bâtard arrivera à donner tord à ceux qui le dénigrent uniquement en se basant sur ses origines. Par ailleurs, celui-ci approuve une grande partie des idées de changement que lui évoque souvent Engen.
Sans réel étonnement, probablement en raison des origines roturières de la demoiselle, Engen parvient à s'accorder plus facilement avec elle que le Roi Bazral - son désormais mari. Cela remonte par ailleurs même avant que Sepith ne soit montée au rang de Haute. Désormais qu'elle est Reine, Engen espère avoir plus d'appui politiquement parlant et compte entre autre sur son soutien. Elle est moins butée sur les traditions que l'est l'Aeducan, capable d'avoir plus de recul, s'intéressant aux opinions du Dashyr. De plus, lors des derniers événements survenus au Royaume, ils ont eu l'occasion de se battre ensemble sur le champ de bataille.
Frères, s'ils étaient en bons termes, cela se termina bien vite lorsque Vaughn assassina la compagne d'Engen ; roturière certes mais ce dernier était amoureux et souhaitait l'épouser. Ce que son frère ne lui laissa ainsi pas le temps de faire. Ce sont des sentiments houleux de rancœur et de trahison qui subsistent entre eux, bien qu'un peu apaisés malgré les années, Engen ne lui pardonnera jamais complètement et Vaughn aura toujours une certaine amertume pour son bannissement.
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