GIRLS JUST WANNA HAVE FUN - NESIRIS & CASTIEL
THE DAWN WILL COME :: L'auberge Du Pendu :: Cimetière :: RP
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GIRLS JUST WANNA HAVE FUN
Le voyage jusqu’à Denerim avait été plus complexe que prévu ; forcément, des personnes fuyants l’enclin y’en avait plus que de personnes se dirigeant droit vers lui, mais Elena comptait bien éviter ces sales bestioles qui, jusqu’aux dernières nouvelles, n’étaient pas à Denerim ; après être passée par le port de laissé ses affaires chez ses amis (bien qu’elle n’en soit plus réellement une, ils gardaient des relations plus que cordiales), elle s’était dirigée vers la grande Chantrie de la ville, après s’être changé et apprêtée de manière la plus convenable possible ; elle ressemblait à une voyageuse de bonne réputation et pas à une vagabonde sale et de mauvaise notoriété. Elle avait même pu prendre un bain, ce qui lui avait fait le plus grand bien ; l’avantage d’avoir certaines relations aux bons endroits, après tout.
Elle était donc à nouveau dans une Chantrie, et toujours pas foudroyée par le Créateur ; cela devait être une preuve, s’il lui en fallait une, que Castiel se trompait sur tout la ligne ; soit elle n’était pas une terrible et hideuses épreuves démons venus blasphémer, soit son Créateur et son épouse à la noix n’existaient tout simplement pas. Dans les jardins de l’entrée elle demanda un à une des Chantriste où trouver Sœur Cerys, erreur de Castiel, il lui avait dit son nom, et clairement elle en profitait. D’ailleurs ce dernier avait dû recevoir sa petite lettre et elle aurait payé pour voir sa réaction. On lui indiqua et une fois à l’intérieur du bâtiment elle la reconnu sans peine ; à la lueur de la lumière d’un vitrail, elle était le portrait exact que celui qu’en avait fait le Chercheur ; en beaucoup plus mignonne.
Elena s’approcha doucement, et d’une voix douce, remarquant que la Sœur lisait, elle tourna la tête pour voir le titre. « Ah, Lysandre Dendram, la Quête c’est ça, à quel tome en êtes-vous ? » Comme pas mal de personnes à Thedas, Elena lisait les bouquins de ce mec ; son préféré était le roman d’horreur, mais sinon, il fallait bien s’occuper pendant les longs trajets, surtout en bateau, autrement qu’en faisant passer par-dessus bord les personnes qui lui faisaient des avances trop poussées sans son avis. « Quelle malpolie je fais » dit-elle, bonne comédienne, avec un air désolé, « je suis Elena, une bonne amie de Castiel, je venais prier quand je vous ai reconnue, grâce à ses portraits. » Elle la salua d’un sourire charmeur avant de prendre place à ses côtés, juste assez pour que leurs corps se frôlent et que ça semble naturel « ses dessins sont merveilleux mais je dois admettre que vous êtes encore plus magnifique dans la réalité » voix douce avec une pointe de charme « je comprends maintenant mieux ses sentiments » petit sous-entendu pour embêter le Chercheur ; « Il ne fait que parler de vous, votre beauté, votre grand cœur, alors en tant qu’amie je suis venue vérifier ça ; pour la beauté je confirme, vos traits sont si fins qu’on jurerait qu’ils ne sont point humainS ; une bien belle créature qu’Andrasté offre à mon regard, et je la remercie. » Ok, là, elle draguait, mais sans forcer, avec une honnête sincérité ; et oui, les traits de Cerys ne semblaient pas humains, mais les oreilles, invisibles, ne pouvaient confirmer théories, alors elle se contenterait d’observer avec plaisir ce qui était observable. « J’espère comme il l’affirme que votre cœur est tout aussi beau, Cerys. » On se passe de Sœur, et directement le prénom. Bah, elle venait pour s’amuser, qu’avait-elle à perdre, si ce n’est une demoiselle très charmante ?
Elle était donc à nouveau dans une Chantrie, et toujours pas foudroyée par le Créateur ; cela devait être une preuve, s’il lui en fallait une, que Castiel se trompait sur tout la ligne ; soit elle n’était pas une terrible et hideuses épreuves démons venus blasphémer, soit son Créateur et son épouse à la noix n’existaient tout simplement pas. Dans les jardins de l’entrée elle demanda un à une des Chantriste où trouver Sœur Cerys, erreur de Castiel, il lui avait dit son nom, et clairement elle en profitait. D’ailleurs ce dernier avait dû recevoir sa petite lettre et elle aurait payé pour voir sa réaction. On lui indiqua et une fois à l’intérieur du bâtiment elle la reconnu sans peine ; à la lueur de la lumière d’un vitrail, elle était le portrait exact que celui qu’en avait fait le Chercheur ; en beaucoup plus mignonne.
Elena s’approcha doucement, et d’une voix douce, remarquant que la Sœur lisait, elle tourna la tête pour voir le titre. « Ah, Lysandre Dendram, la Quête c’est ça, à quel tome en êtes-vous ? » Comme pas mal de personnes à Thedas, Elena lisait les bouquins de ce mec ; son préféré était le roman d’horreur, mais sinon, il fallait bien s’occuper pendant les longs trajets, surtout en bateau, autrement qu’en faisant passer par-dessus bord les personnes qui lui faisaient des avances trop poussées sans son avis. « Quelle malpolie je fais » dit-elle, bonne comédienne, avec un air désolé, « je suis Elena, une bonne amie de Castiel, je venais prier quand je vous ai reconnue, grâce à ses portraits. » Elle la salua d’un sourire charmeur avant de prendre place à ses côtés, juste assez pour que leurs corps se frôlent et que ça semble naturel « ses dessins sont merveilleux mais je dois admettre que vous êtes encore plus magnifique dans la réalité » voix douce avec une pointe de charme « je comprends maintenant mieux ses sentiments » petit sous-entendu pour embêter le Chercheur ; « Il ne fait que parler de vous, votre beauté, votre grand cœur, alors en tant qu’amie je suis venue vérifier ça ; pour la beauté je confirme, vos traits sont si fins qu’on jurerait qu’ils ne sont point humainS ; une bien belle créature qu’Andrasté offre à mon regard, et je la remercie. » Ok, là, elle draguait, mais sans forcer, avec une honnête sincérité ; et oui, les traits de Cerys ne semblaient pas humains, mais les oreilles, invisibles, ne pouvaient confirmer théories, alors elle se contenterait d’observer avec plaisir ce qui était observable. « J’espère comme il l’affirme que votre cœur est tout aussi beau, Cerys. » On se passe de Sœur, et directement le prénom. Bah, elle venait pour s’amuser, qu’avait-elle à perdre, si ce n’est une demoiselle très charmante ?
Invité
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Girls just wanna have fun
Castiel & Elena & Nesiris
When the working day is done, Oh girls, they wanna have fun ▬ Cyndi Lauper
Nesiris était plongée dans sa lecture.
Elle ne pouvait remercier assez son ami Armand de Lydes de lui avoir envoyé personnellement les deux derniers tomes de la série de la Quête, par Lysandre Dendram. Depuis que son amie Fae lui avait offert le premier livre, elle s'était passionnée par les aventures du Chercheur Damien - tellement que certaines de ses consœurs plaisantaient en disant qu'elle était plus dévoue envers ses livres-là que le Chant de la Lumière lui même... ce qui n'était peut-être pas si loin de la vérité. La vie à la Chantrie était
paisible et laissa du temps pour la lecture, un luxe qu'elle n'avait jamais vraiment eu avant.
Elle avait, pour l'heure, atteint un passage particulièrement palpitant du livre - presque fini, déjà ! - dans lequel un mage du sang tentait de contrôler les actions de son personnage préféré. Impliquée dans l'histoire, Nesiris aimait réellement la Grande Prêtresse Ann, et elle n'avait pas envie qu'il lui arrive malheur : elle était si concentrée sur le texte qu'elle ne remarqua même pas l'inconnue approcher.
Elle sursauta en entendant une voix s’adresser à elle. Comprenant soudainement qu'on voulait quelque chose d'elle, elle elle cligna des yeux, encore à moitié dans son roman, et les leva vers la personne qui lui faisait face. "Quoi ?", fut tout ce qu'elle trouva à dire, avant de reprendre ses esprits et de secouer la tête. "Je suis désolée, je ne... Je lisais." Elle referma le bouquin précipitamment, non sans y glisser un doigt pour en garder la page. L'inconnue lui avait demandé de quel tome il s'agissait - était-ce une question sincère ou un reproche voilé face à une Sœur en train de traînailler dans la Chantrie ? Elle indiqua le titre, dans le doute. "C'est le deuxième. Oui, hum... Vous cherchez quelque chose ?" Retrouvant sa composition habituelle de Sœur épanouie, elle attendit d'entendre ce que lui voulait l'arrivante.
La réponse ne tarda pas à arriver - une réponse qui la soulagea, pas de reproches ici, mais une simple visite courtoise. Un sourire s'épanouit sur les lèvres de l'elfe. Une amie de Castiel ! Qui avait vu ses dessins, qui plus est ! Parlait-il donc d'elle à beaucoup de monde ? L'idée était étrange et flatteuse. Nesiris, en tout cas, était toujours enchantée de rencontrer de nouvelles personnes... "Oh, bien sûr ! Enchantée !" Rosissant légèrement, elle la laissa s'installer à ses côtés.
Elena. Castiel l'avait-il déjà mentionnée ? Nesiris ne s'en souvenait pas... Mais manifestement, elle la connaissait plutôt bien. Nesiris écouta ses propos avec des yeux ronds de plus en plus déconcertés à mesure qu'elle égrenait ses compliments (si jolie que ça, vraiment ?), ses commentaires curieux (les sentiments de Castiel à son égard ?) et ses remarques sur ses traits presque non humains (se doutait-elle de quelque chose ?).
-"Vous êtes trop bonne", répondit-elle finalement, après un battement, et elle regarda ailleurs. Elle se sentait rougir, plus qu'avant, et se demanda si c'était ce que recherchait l'inconnue. Faisant mine d'ignorer sa réaction sur ses traits possiblement elfique, elle balbutia : "Je... J'ignorais que Castiel était si... vocal, à mon sujet..." Toutes ces louanges ! Est-ce qu'il avait réellement des sentiments pour elle ? Cela pouvait-il être le cas ? Ces portraits, toutes ses gentilles attentions... Nesiris n'avait jamais voulu y voir que des marques d'amitié. Après tout, sa vie palpitante de Chercheur devait le mener à rencontrer des tas d'autres personnes infiniment plus intéressantes. Sa beauté ! Son grand cœur ! Elle était en tout cas heureuse, si telle était vraiment la description qu'il faisait d'elle. "Je ne sais pas si je mérite tant d'éloges, mais en tout cas, c'est un plaisir de vous rencontrer. Bienvenue à la Chantrie... Il vous a vraiment dit tout ça ?"
Elle ne pouvait remercier assez son ami Armand de Lydes de lui avoir envoyé personnellement les deux derniers tomes de la série de la Quête, par Lysandre Dendram. Depuis que son amie Fae lui avait offert le premier livre, elle s'était passionnée par les aventures du Chercheur Damien - tellement que certaines de ses consœurs plaisantaient en disant qu'elle était plus dévoue envers ses livres-là que le Chant de la Lumière lui même... ce qui n'était peut-être pas si loin de la vérité. La vie à la Chantrie était
paisible et laissa du temps pour la lecture, un luxe qu'elle n'avait jamais vraiment eu avant.
Elle avait, pour l'heure, atteint un passage particulièrement palpitant du livre - presque fini, déjà ! - dans lequel un mage du sang tentait de contrôler les actions de son personnage préféré. Impliquée dans l'histoire, Nesiris aimait réellement la Grande Prêtresse Ann, et elle n'avait pas envie qu'il lui arrive malheur : elle était si concentrée sur le texte qu'elle ne remarqua même pas l'inconnue approcher.
Elle sursauta en entendant une voix s’adresser à elle. Comprenant soudainement qu'on voulait quelque chose d'elle, elle elle cligna des yeux, encore à moitié dans son roman, et les leva vers la personne qui lui faisait face. "Quoi ?", fut tout ce qu'elle trouva à dire, avant de reprendre ses esprits et de secouer la tête. "Je suis désolée, je ne... Je lisais." Elle referma le bouquin précipitamment, non sans y glisser un doigt pour en garder la page. L'inconnue lui avait demandé de quel tome il s'agissait - était-ce une question sincère ou un reproche voilé face à une Sœur en train de traînailler dans la Chantrie ? Elle indiqua le titre, dans le doute. "C'est le deuxième. Oui, hum... Vous cherchez quelque chose ?" Retrouvant sa composition habituelle de Sœur épanouie, elle attendit d'entendre ce que lui voulait l'arrivante.
La réponse ne tarda pas à arriver - une réponse qui la soulagea, pas de reproches ici, mais une simple visite courtoise. Un sourire s'épanouit sur les lèvres de l'elfe. Une amie de Castiel ! Qui avait vu ses dessins, qui plus est ! Parlait-il donc d'elle à beaucoup de monde ? L'idée était étrange et flatteuse. Nesiris, en tout cas, était toujours enchantée de rencontrer de nouvelles personnes... "Oh, bien sûr ! Enchantée !" Rosissant légèrement, elle la laissa s'installer à ses côtés.
Elena. Castiel l'avait-il déjà mentionnée ? Nesiris ne s'en souvenait pas... Mais manifestement, elle la connaissait plutôt bien. Nesiris écouta ses propos avec des yeux ronds de plus en plus déconcertés à mesure qu'elle égrenait ses compliments (si jolie que ça, vraiment ?), ses commentaires curieux (les sentiments de Castiel à son égard ?) et ses remarques sur ses traits presque non humains (se doutait-elle de quelque chose ?).
-"Vous êtes trop bonne", répondit-elle finalement, après un battement, et elle regarda ailleurs. Elle se sentait rougir, plus qu'avant, et se demanda si c'était ce que recherchait l'inconnue. Faisant mine d'ignorer sa réaction sur ses traits possiblement elfique, elle balbutia : "Je... J'ignorais que Castiel était si... vocal, à mon sujet..." Toutes ces louanges ! Est-ce qu'il avait réellement des sentiments pour elle ? Cela pouvait-il être le cas ? Ces portraits, toutes ses gentilles attentions... Nesiris n'avait jamais voulu y voir que des marques d'amitié. Après tout, sa vie palpitante de Chercheur devait le mener à rencontrer des tas d'autres personnes infiniment plus intéressantes. Sa beauté ! Son grand cœur ! Elle était en tout cas heureuse, si telle était vraiment la description qu'il faisait d'elle. "Je ne sais pas si je mérite tant d'éloges, mais en tout cas, c'est un plaisir de vous rencontrer. Bienvenue à la Chantrie... Il vous a vraiment dit tout ça ?"
▬ Gasmask
- ▲ MESSAGES : 1749
▲ OCCUPATION : EX-ESCLAVE TÉVINTIDE EN FUITE, ACTUELLEMENT RÉFUGIÉE DANS LE DOMAINE DU MAGISTER ARGENTO
▲ COMPÉTENCES ET ARMES : SANS TALENT EN PARTICULIER, NESIRIS RESTE UNE BONNE PERSONNE À QUI SE CONFIER. TRÈS PIEUSE, ELLE CONNAIT BIEN SON CANTIQUE, ET SINON ELLE SAIT S'OCCUPER D'UNE MAISON ET CUISINE PLUTÔT PAS MAL.
▲ LOCALISATION : TEVINTER, CHEZ AURELIUS ARGENTO
Nesiris Gallo
have courage & be kind
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Elle était délicieuse et Elena aurait croqué dedans sans l’ombre d’une hésitation si elle le pouvait déjà ; aussi charmante que son portrait, aussi éloignée mentalement de Castiel que la croyance d’Elena en le créamenteur. Elle aurait bien soulevée sa bure pour bien des choses, mais ce n’était pas encore le moment. La jeune Sœur (quel gâchis, il fallait arranger ça) sembla surprise et rougissante quand Elena évoqua Castiel. Elle avait peut-être un peu exagéré les choses, mais l’autre était tellement mignonne les joues rosies qu’elle n’allait pas s’arrêter là. « Oh oui il parle beaucoup de vous ! De votre gentillesse, de comment vous êtes humble, de votre beauté aussi, sur quoi je le rejoins immédiatement et complètement, vous correspondez à sa définition, vous êtes ravissante » Oh que ça allait être drôle, elle s’amusait déjà comme une petite folle, d’ailleurs, mais gardait un sourire simple, bien que charmeur et une attitude dite digne de là où elle était. Parfois Elena se demandait pourquoi elle n’était pas foudroyée ou brulée vivante dès qu’elle entrait dans une chantrie ; mais ça devait être une preuve supplémentaire que y’avait vraiment personne là-haut, ou que Castiel se trompait et qu’elle était tout à fait correcte d’après les critères andrastéchiant.
Doucement, effleurant les mains de la jeune femme, elle se saisit du livre « oh, vous en êtes à ce moment là » lâcha-t-elle avec un surplus de sourire, creusant dans ses joues de charmantes fossettes, avant de regarder la première page « dédicacé ! c’est un cadeau précieux que vous avez là, est-ce un présent de Castiel ? » si jamais les choses se passaient mal, elle savait quoi voler, elle connaissait des Orlésiennes capables de vendre enfants et époux pour une dédicace du mystérieux Lysandre Dendram. « J’ai tout terminé, j’attend la sortie du quatrième tome avec impatience mais on en a aucune nouvelle, c’est rageant » lâcha-t-elle avant de rendre le livre à la sœur Cerys, le posant sur sa bure, en profitant pour mettre une main délicate sur ses genoux.
« Castiel ne vous as jamais parlé de moi ? » elle fronça les sourcils, un faux air vexé « Nous sommes pourtant très proches » ‘à un point que tu ne peux pas imaginer ma chérie’ se retint-elle de dire. « Nous avons même une correspondance régulière, il faudra que je le harangue à ce sujet la prochaine fois ! » et qu’on utilise du bon et beau vocabulaire, ça lui change un peu. « Lui qui parle tant de vous...Quelle est exactement votre relation, et me cache-t-il des choses sur lui ? Après tout, il est parfois si secret » alors qu’on pouvait tout lire sur son visage…ou son pantalon, mais soit. Discrètement, Elena s’était rapprochée, son corps touchant désormais celui de la Sœur ; mais naturellement, au cours de la discussion.
Doucement, effleurant les mains de la jeune femme, elle se saisit du livre « oh, vous en êtes à ce moment là » lâcha-t-elle avec un surplus de sourire, creusant dans ses joues de charmantes fossettes, avant de regarder la première page « dédicacé ! c’est un cadeau précieux que vous avez là, est-ce un présent de Castiel ? » si jamais les choses se passaient mal, elle savait quoi voler, elle connaissait des Orlésiennes capables de vendre enfants et époux pour une dédicace du mystérieux Lysandre Dendram. « J’ai tout terminé, j’attend la sortie du quatrième tome avec impatience mais on en a aucune nouvelle, c’est rageant » lâcha-t-elle avant de rendre le livre à la sœur Cerys, le posant sur sa bure, en profitant pour mettre une main délicate sur ses genoux.
« Castiel ne vous as jamais parlé de moi ? » elle fronça les sourcils, un faux air vexé « Nous sommes pourtant très proches » ‘à un point que tu ne peux pas imaginer ma chérie’ se retint-elle de dire. « Nous avons même une correspondance régulière, il faudra que je le harangue à ce sujet la prochaine fois ! » et qu’on utilise du bon et beau vocabulaire, ça lui change un peu. « Lui qui parle tant de vous...Quelle est exactement votre relation, et me cache-t-il des choses sur lui ? Après tout, il est parfois si secret » alors qu’on pouvait tout lire sur son visage…ou son pantalon, mais soit. Discrètement, Elena s’était rapprochée, son corps touchant désormais celui de la Sœur ; mais naturellement, au cours de la discussion.
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Castiel & Elena & Nesiris
When the working day is done, Oh girls, they wanna have fun ▬ Cyndi Lauper
Elena n'en avait pas fini avec ses compliments. Castiel lui avait donc tant parlé d'elle ? Oh, c'est vrai que Nesiris elle-même n'avait jamais hésité à chanter les louanges de ses amis auprès de qui voulait l'entendre. Castiel, Armand, Fae, tous le méritaient. Entendre tant de gentillesses envers elle-même était pourtant étrange... et le fait que la nouvelle venue affirme bel et bien la trouver "ravissante", encore plus. Elle rougit... encore. "C'est... Merci."
Mais déjà, Elena s'emparait de son volume de la Quête, . Elle sourit. Bien qu'elle ignore la véritable valeur d'un autographe véritable du célèbre écrivain, le livre faisait partie de ses possessions les plus précieuses. Elle gardait le troisième dans sa chambre, tout prêt à être lu quand elle aurait terminé celui-ci : le fait qu'il lui reste tant de lecture avant de se retrouver à court la rassurait d'ailleurs un peu. Elle n'était pas une lectrice rapide. Avec un peu de chance, quand elle serait arrivée à la fin, Lysandre Dendram serait prêt à publier le quatrième tome.
-"Pas de Castiel, non... D'un autre ami qui est aussi un Chercheur ! Armand de Lydes, vous le connaissez ?" Était-ce curieux d'avoir deux amis Chercheurs ? Nesiris se sentait très privilégiée. Mais après tout, peut-être cette Elena avait-elle aussi déjà eu l'occasion de les rencontrer tous les deux. "Il connait bien Lysandre Dendram ! Alors il m'a envoyé ses livres..." Elle récupéra le bouquin, une main sur sa couverture. Elena était très proche à présent, bien que Nesiris n'ai pas spécialement remarqué son approche. Ce n'état pas désagréable, et il fallait avouer que ça changeait un peu des visites habituelles à l'église.
Elle était contente de parler à une nouvelle personne intéressante, compliments étranges ou pas ; pourtant, elle se mit vite à s’inquiéter quand Elena sembla se vexer en apprenant que Castiel ne lui avait pas parlé elle. "Je suis sûre qu'il l'aurait fait s'il en avait eu l'occasion !", affirma-t-elle précipitamment. "Ou peut-être qu'il a bel et bien parlé de vous, mais que je l'ai oublié..." Elle était franchement certaine que ce n'était pas le cas - elle écoutait toujours ses amis avec attention - mais peut-être cette idée consolerait un peu Elena. "Vous travaillez aussi à la Chantrie ?"
La question qui suivit intrigua un peu Nesiris. Quelle était leur relation exactement ? Lui cachait-il des choses à son sujet ? "Nous sommes amis ! Vous savez, il passe souvent me voir ici, quand il vient à Ferelden... Il a fait mon portrait, la dernière fois, et il me l'a offert, je le garde dans ma chambre ! Il dessine vraiment merveilleusement bien, vous ne trouvez pas ? Il m'écrit aussi, et il m'envoie des croquis, de temps en temps ! Il voyage tellement, et pourtant, il prend toujours le temps d'écrire..." Elle sourit encore, presque sans s'en rendre compte...
Castiel était-il vraiment si secret ? C'était sans doute normal pour un Chercheur de garder quelques secrets, mais elle ne voyait rien dans leur relation qui vale tant de cachotteries. Avec curiosité, elle continua : "Pourquoi ?"
Mais déjà, Elena s'emparait de son volume de la Quête, . Elle sourit. Bien qu'elle ignore la véritable valeur d'un autographe véritable du célèbre écrivain, le livre faisait partie de ses possessions les plus précieuses. Elle gardait le troisième dans sa chambre, tout prêt à être lu quand elle aurait terminé celui-ci : le fait qu'il lui reste tant de lecture avant de se retrouver à court la rassurait d'ailleurs un peu. Elle n'était pas une lectrice rapide. Avec un peu de chance, quand elle serait arrivée à la fin, Lysandre Dendram serait prêt à publier le quatrième tome.
-"Pas de Castiel, non... D'un autre ami qui est aussi un Chercheur ! Armand de Lydes, vous le connaissez ?" Était-ce curieux d'avoir deux amis Chercheurs ? Nesiris se sentait très privilégiée. Mais après tout, peut-être cette Elena avait-elle aussi déjà eu l'occasion de les rencontrer tous les deux. "Il connait bien Lysandre Dendram ! Alors il m'a envoyé ses livres..." Elle récupéra le bouquin, une main sur sa couverture. Elena était très proche à présent, bien que Nesiris n'ai pas spécialement remarqué son approche. Ce n'état pas désagréable, et il fallait avouer que ça changeait un peu des visites habituelles à l'église.
Elle était contente de parler à une nouvelle personne intéressante, compliments étranges ou pas ; pourtant, elle se mit vite à s’inquiéter quand Elena sembla se vexer en apprenant que Castiel ne lui avait pas parlé elle. "Je suis sûre qu'il l'aurait fait s'il en avait eu l'occasion !", affirma-t-elle précipitamment. "Ou peut-être qu'il a bel et bien parlé de vous, mais que je l'ai oublié..." Elle était franchement certaine que ce n'était pas le cas - elle écoutait toujours ses amis avec attention - mais peut-être cette idée consolerait un peu Elena. "Vous travaillez aussi à la Chantrie ?"
La question qui suivit intrigua un peu Nesiris. Quelle était leur relation exactement ? Lui cachait-il des choses à son sujet ? "Nous sommes amis ! Vous savez, il passe souvent me voir ici, quand il vient à Ferelden... Il a fait mon portrait, la dernière fois, et il me l'a offert, je le garde dans ma chambre ! Il dessine vraiment merveilleusement bien, vous ne trouvez pas ? Il m'écrit aussi, et il m'envoie des croquis, de temps en temps ! Il voyage tellement, et pourtant, il prend toujours le temps d'écrire..." Elle sourit encore, presque sans s'en rendre compte...
Castiel était-il vraiment si secret ? C'était sans doute normal pour un Chercheur de garder quelques secrets, mais elle ne voyait rien dans leur relation qui vale tant de cachotteries. Avec curiosité, elle continua : "Pourquoi ?"
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Pauvre et douce enfant ingénue. Enfin, c’est ce qu’elle laissait paraître, une Sœur n’ayant connu rien de plus que la Chantrie ; Elena soupçonnait plus que cela, mais elle n’investiguerait par là-dessus tout de suite. Elle semblait pourtant sincèrement surprise et vraie dans toutes ses réactions, et ça en était vraiment mignon ; la Mercenaire comprenait bien mieux l’insistance de Castiel de récupérer ses dessins. Quant à l’autre chercheur mentionné, aucune idée, elle n’avait pas couché avec, donc peu d’intérêt. « Non je ne connais pas ce Chercheur. Vous dites que Castiel vous a fait un portrait déjà ? J’ai vu l’esquisse d’un second et … » Elena mit sa main sur sa bouche, bonne comédienne, « oh non j’espère que ce n’était pas une surprise que j’ai gâchée, je suis sincèrement désolée ! » S’excusa-t-elle en se saisissant de la main de la jeune femme pour y déposer un baiser d’excuse, ou en tout cas quelque chose qui s’apparentait une volonté de se faire pardonner ; en apparence seulement. Quelle peau douce elle avait. Elle la sépara de ses lèvres mais ne lâcha pas la main, qu’elle tenait doucement, de la sienne pour autant.
La jolie sœur lui lista tout ce que Castiel faisait pour elle et Elena eut un petit rire, légèrement moqueur mais pas envers Cerys. « Tout ça ! On dirait l’œuvre d’un homme amoureux » lâcha-t-elle avec un air taquin. « Mais dans la Chantrie, c’est malheureusement impossible n’est-ce pas ? C’est fâcheux. Enfin peut-être que je me fais juste des idées. » Non, du tout, clairement il avait des sentiments pour la Sœur et c’était encore plus drôle que ce qu’Elena pensait. Elle se rapprocha de la demoiselle, frôlant son visage avec sa joue pour venir porter sa bouche juste à côté de l’endroit où dans la coiffe, devait se trouver l’oreille « il se trouve que je sais qu’il vous aime, je suis venue pour voir qui était l’élue de son cœur c’est un ami si cher, mais je vous promet sur Andrasté de ne rien dire» murmura-t-elle doucement, profitant du contact de leur deux visages. C’était délicieux et elle s’amusait vraiment beaucoup, à se demander ce qui pourrait rendre l’instant plus drôle encore.
La jolie sœur lui lista tout ce que Castiel faisait pour elle et Elena eut un petit rire, légèrement moqueur mais pas envers Cerys. « Tout ça ! On dirait l’œuvre d’un homme amoureux » lâcha-t-elle avec un air taquin. « Mais dans la Chantrie, c’est malheureusement impossible n’est-ce pas ? C’est fâcheux. Enfin peut-être que je me fais juste des idées. » Non, du tout, clairement il avait des sentiments pour la Sœur et c’était encore plus drôle que ce qu’Elena pensait. Elle se rapprocha de la demoiselle, frôlant son visage avec sa joue pour venir porter sa bouche juste à côté de l’endroit où dans la coiffe, devait se trouver l’oreille « il se trouve que je sais qu’il vous aime, je suis venue pour voir qui était l’élue de son cœur c’est un ami si cher, mais je vous promet sur Andrasté de ne rien dire» murmura-t-elle doucement, profitant du contact de leur deux visages. C’était délicieux et elle s’amusait vraiment beaucoup, à se demander ce qui pourrait rendre l’instant plus drôle encore.
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Castiel & Elena & Nesiris
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Elena était vraiment très proche, à présent, même si Nesiris aurait été incapable de pointer exactement le moment où elle s'était tant approchée... Elle n'en avait pas vraiment l'habitude - à la Chantrie, même les Sœurs avec lesquelles elles s'entendaient le mieux gardaient leur distance... Mais Elena n'avait pas l'air d'une Sœur, et si elle était membre de la Chantrie, elle n'avait certainement pas les même manières que les chantriste que l'elfe côtoyait habituellement. Ce n'était pas désagréable en soi, mais ça la troublait.
Enfin, pas autant que ce qu'elle avait à dire.
Elle compara les gestes de Castiel à son égard à ceux d'un amoureux. Cette idée... Jusqu'à présent, Nesiris ne s'était pas permise d'y penser. Ou plutôt, si, elle y avait songé, et elle s'était sentie stupide pour cela. Que ce soit en tant que Sœur humaine destinée au célibat, ou en tant qu'elfe et ancienne esclave, quel intérêt pourrait-elle avoir pour qui que ce soit ?
Elle ne comprenait pas grand chose à l'amour, en vérité. Il y avait bien des traits qu'elle appréciait chez les gens, leur gentillesse, leur générosité... mais était-ce cela qui rendait amoureux ? Elena l'avait complimentée sur son physique - était-ce de ça dont il était question ? Et si c'était le cas, quelqu'un - Castiel ? - pourrait-il tomber amoureux d'elle ?
Ces questions là, elle faisait toujours de son mieux pour ne pas y accorder trop de temps - de toute façon, elle était une Sœur à présent, et avait d'autres choses à penser - mais Elena se débrouillait très bien pour les faire remonter à la surface de son esprit. "Hem..." elle jeta un regard en biais, cherchant machinalement des yeux l'une de ses consœurs qui pourraient épier cette conversations. Qu'est-ce qu'elles imagineraient ! "Oui, c'est, normalement, impossible..." Et c'était sensé tout régler, non ? C'était impossible, pas besoin de s'interroger à se sujet. Et pourtant...
Et pourtant ce que lui chuchota Elena ensuite envoya complètement valser ces idées rationnelles qu'elle gardait en tête.
Elle ne répondit pas tout de suite - une petite exclamation de surprise, tout au plus... Puis elle murmura rapidement, une question l'emportant sur l'autre dans un mélange de mots troublés : "Quoi ? Il vous - comment - vous êtes sûre ?" Puis elle se reprit "Mais c'est pas possible !" et repartit "vous le pensez vraiment ?" et, encore une fois, regarda autour d'elle pour s'assurer que la révérende mère n'était pas en train de l'espionner en se posant des questions. Créateur !
Puis elle s'approcha encore de sa compagne, au pic de ses rougissements mais décidée à démêler le vrai du faux. "Il vous l'a dit ? S'il vous plait, dites moi exactement ce qu'il vous a dit."
Mais juste à ce moment là, la mère supérieure de la Chantrie fit son apparition, regardant d'un air clairement suspicieux la jeune sœur rouge comme une tomate qui papotait avec une inconnue plutôt que de s'occuper de ses tâches. Cette arrivée soudaine fit revenir Nesiris à la réalité, et elle bondit sur ses pieds, gênée. "Je suis désolée ! Je parlais juste avec une amie..." Mais ses bredouillements ne devait pas être très convaincants, car la mère l'interrompit plutôt séchement en lui demandant d'aller lui rendre un service à l'intérieur de la cathédrale.
Nesiris n'avait pas la moindre envie de déplaire à la vieille femme, surtout quand le secret qu'elle cachait aurait suffit à la chasser de son refuge. Elle n'avait pas envie d'attirer la curiosité de qui que ce soit, et surtout de la mère supérieure !
Elle se tourna une dernière fois vers Elena, confuse et regrettant quand même de devoir couper court à cette conversation. Tant de révélations ! Elle ne pourrait penser à rien d'autre le la journée. Elle s'excusa brièvement et lui promit de s'arranger pour la revoir le ledemain, pour enfin venir au fond de cette histoire. Pas question de laisser passer tout ça.
Puis, puisqu'il fallait bien, elle battit en retraite dans la Chantrie, sous le regard inquisiteur de la révérende mère.
Le lendemain ne pouvait arriver assez vite.
Enfin, pas autant que ce qu'elle avait à dire.
Elle compara les gestes de Castiel à son égard à ceux d'un amoureux. Cette idée... Jusqu'à présent, Nesiris ne s'était pas permise d'y penser. Ou plutôt, si, elle y avait songé, et elle s'était sentie stupide pour cela. Que ce soit en tant que Sœur humaine destinée au célibat, ou en tant qu'elfe et ancienne esclave, quel intérêt pourrait-elle avoir pour qui que ce soit ?
Elle ne comprenait pas grand chose à l'amour, en vérité. Il y avait bien des traits qu'elle appréciait chez les gens, leur gentillesse, leur générosité... mais était-ce cela qui rendait amoureux ? Elena l'avait complimentée sur son physique - était-ce de ça dont il était question ? Et si c'était le cas, quelqu'un - Castiel ? - pourrait-il tomber amoureux d'elle ?
Ces questions là, elle faisait toujours de son mieux pour ne pas y accorder trop de temps - de toute façon, elle était une Sœur à présent, et avait d'autres choses à penser - mais Elena se débrouillait très bien pour les faire remonter à la surface de son esprit. "Hem..." elle jeta un regard en biais, cherchant machinalement des yeux l'une de ses consœurs qui pourraient épier cette conversations. Qu'est-ce qu'elles imagineraient ! "Oui, c'est, normalement, impossible..." Et c'était sensé tout régler, non ? C'était impossible, pas besoin de s'interroger à se sujet. Et pourtant...
Et pourtant ce que lui chuchota Elena ensuite envoya complètement valser ces idées rationnelles qu'elle gardait en tête.
Elle ne répondit pas tout de suite - une petite exclamation de surprise, tout au plus... Puis elle murmura rapidement, une question l'emportant sur l'autre dans un mélange de mots troublés : "Quoi ? Il vous - comment - vous êtes sûre ?" Puis elle se reprit "Mais c'est pas possible !" et repartit "vous le pensez vraiment ?" et, encore une fois, regarda autour d'elle pour s'assurer que la révérende mère n'était pas en train de l'espionner en se posant des questions. Créateur !
Puis elle s'approcha encore de sa compagne, au pic de ses rougissements mais décidée à démêler le vrai du faux. "Il vous l'a dit ? S'il vous plait, dites moi exactement ce qu'il vous a dit."
Mais juste à ce moment là, la mère supérieure de la Chantrie fit son apparition, regardant d'un air clairement suspicieux la jeune sœur rouge comme une tomate qui papotait avec une inconnue plutôt que de s'occuper de ses tâches. Cette arrivée soudaine fit revenir Nesiris à la réalité, et elle bondit sur ses pieds, gênée. "Je suis désolée ! Je parlais juste avec une amie..." Mais ses bredouillements ne devait pas être très convaincants, car la mère l'interrompit plutôt séchement en lui demandant d'aller lui rendre un service à l'intérieur de la cathédrale.
Nesiris n'avait pas la moindre envie de déplaire à la vieille femme, surtout quand le secret qu'elle cachait aurait suffit à la chasser de son refuge. Elle n'avait pas envie d'attirer la curiosité de qui que ce soit, et surtout de la mère supérieure !
Elle se tourna une dernière fois vers Elena, confuse et regrettant quand même de devoir couper court à cette conversation. Tant de révélations ! Elle ne pourrait penser à rien d'autre le la journée. Elle s'excusa brièvement et lui promit de s'arranger pour la revoir le ledemain, pour enfin venir au fond de cette histoire. Pas question de laisser passer tout ça.
Puis, puisqu'il fallait bien, elle battit en retraite dans la Chantrie, sous le regard inquisiteur de la révérende mère.
Le lendemain ne pouvait arriver assez vite.
▬ Gasmask
- Edit:
- Regardez moi cette petite romance adorable digne d'une comédie romantique. What could possibly go wrong ?
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▲ OCCUPATION : EX-ESCLAVE TÉVINTIDE EN FUITE, ACTUELLEMENT RÉFUGIÉE DANS LE DOMAINE DU MAGISTER ARGENTO
▲ COMPÉTENCES ET ARMES : SANS TALENT EN PARTICULIER, NESIRIS RESTE UNE BONNE PERSONNE À QUI SE CONFIER. TRÈS PIEUSE, ELLE CONNAIT BIEN SON CANTIQUE, ET SINON ELLE SAIT S'OCCUPER D'UNE MAISON ET CUISINE PLUTÔT PAS MAL.
▲ LOCALISATION : TEVINTER, CHEZ AURELIUS ARGENTO
Nesiris Gallo
have courage & be kind