YOU'VE GOT A BIG MOUTH, SO SHUT IT UP (ANTHELME)

you've got a big mouth, so shut it up

Une taverne, même à Val Royeaux, est souvent synonyme de mauvais goût et regroupe multitudes de quidams alcoolisés... qu'ils demeurent issus d'une noble lignée ou non. Mais étonnement, c'est également un lieu qu'il aime fréquenter ; ses histoires sont gobées et son ego en ressort satisfait. C'est profitable à tous, finalement. Ainsi lorsqu'il pénètre dans celle-ci, il guette la foule déjà présente avec à ses côtés Malachi qui lui propose qu'ils aillent s'asseoir dans le coin le plus propre. Un hochement suffit pour le prince qui à peine parvenu à son siège, remarque son état lamentable... Sa grimace est perceptible à milles lieues à la ronde ; il s'adresse à l'homme derrière le comptoir. « Serait-ce une blague de mauvais goût, paysan ? Un Prince mérite plus de confort, pas ce bout de bois qui menace de s’effondrer à chaque instant. J'exige un autre siège sur le champ. » Sa voix porte suffisamment pour que quelques têtes à proximité se tournent, amusées par la scène. Visiblement le tavernier s'occupe de la demande de Elias, peu désireux de tâter la lame de celui qui l'accompagne, comme lui parade dans de beaux vêtements. Néanmoins il n'est pas désarmé, jamais, des couteaux séjournent entre ses plis de soie.

La longue chaise est remplacée par une nouvelle neuve sur laquelle il s'installe, laissant Malachi commander leurs boissons tandis qu'il entame une discussion avec un groupuscule venu le voir ; il faut dire que son titre clamé haut et fort n'est pas passé inaperçu. Ni sa démarche, ni son accent peu Orlésien laissant planer un mystère certain, ni son absence de masque. Déjà il accapare l'attention et son sourire monte jusqu'aux oreilles. Après quelques minutes puis quelques gorgées ingurgitées ses propos n'hésitent pas à dériver sur des sujets sensibles ; la noblesse d'Orlaïs. Certaines familles pour être plus exact dont les de Lydes, actuellement, déblatérant ses mensonges, son venin soutenu en étant certain de n'avoir pas aperçu l'emblème de ces derniers sur l'une des personnes présentes. « Oh, vous m'en voyez navrez de vous l'apprendre de cette manière, mais ces de Lydes sont une vraie plaisanterie. J'ai ouïe dire maintes vérités outrageantes à leur sujet, notamment à propos de l'un de leurs héritiers, Alaric, l'une des hontes de cette famille. Chevalier déchu qui n'a rien trouvé de mieux à faire pour retrouver son honneur que de combattre l'engeance... Le bon côté, c'est qu'il rejoindra prochainement ses défuntes. Oh, et dois-je évoquer leur dernière fille, mage enfermée au Cercle ? Une véritable tare, c'est génétique, si vous voulez mon avis. » Elias pourrait continuer ainsi pendant encore longtemps... Ayant brièvement évoqué la fille Blanchard et le bâtard juste avant, même si il soigne ses mots la moquerie est évidente. Ses compagnons de la soirée s'en réjouissent d'ailleurs, friands de ragots, si prompts à en rire ; des rires gras qui englobent une bonne partie de la taverne. Même Malachi actuellement à l'extérieur pour uriner doit les entendre. Le Prince écrase parfois des familles nobles qu'il jalouse pour une raison même absurde, ou sans raison, pour se remettre en valeur juste derrière ; puis l'alcool le rend plutôt mauvaise langue. Oh évidemment il raconte parfois des mensonges mais il est au fait des secrets souvent honteux grâce aux bambins qu'il paye pour voler et qui parfois, lui rapportent un bonus croustillant : des informations espionnées derrière un coin de porte.

Shut Up.

Ca fait quelques jours qu’il est à Val Royeaux pour y voir Aveline, ils avaient longuement discutés sur des sujets plutôt privé puis Anthelme avait juste profité pour passer du temps avec sa petite sœur. Malheureusement Aveline étant occupée par ses affaires à la cour, le chevalier se retrouva seul et il décida donc d’aller passer un peu de temps dans la ville, connaissant plutôt bien la ville il alla dans une taverne qu’il avait pas mal fréquenté plus jeune…Pourquoi ? Parce que l’un des meilleurs bordels de la ville ne se trouve pas loin, alors même fortement alcoolisé il trouvait le chemin facilement. Enfin il n’était pas là pour cela aujourd’hui, il voulait juste passer un peu le temps et retournerais par la suite dans la demeure de sa sœur.

Installé tranquillement dans un coin de la taverne, il buvait doucement sa choppe lorsqu’il entendit un homme se plaindre et se présenter comme un prince. Par curiosité il tourna la tête et vit deux hommes, l’un habiller richement, mais ce n’était pas un prince, pour lui c’était évident…Peut-être pas pour les péquenauds du coin. Enfin il s’en foutait un peu, il était juste là pour boire tranquillement.

Cependant son moment de solitude tranquille était terminé. Le soi-disant commença à parler, parler trop et trop fort, et bien sûr un petit troupeau de crétin vinrent l’écouter attentivement. Anthelme aurait pu partir, petit problème, la grande gueule commença à parler sur la noblesse orlésienne, il mentionna des familles que le chevalier connaissait. Puis il entendit le nom de Blanchard suivi du sien, rien qu’a la mention des noms, sa main se crispa sur sa choppe, ce con parlait sur Cosette…Sa Cosette et sur sa famille…Il n’allait pas le laisser sortir de cette taverne sans avoir eu une réparation quelconque.

Le chevalier avala une dernière gorgée puis se leva, passant instinctivement la main sur le pommeau de son épée, une habitude, puis se dirigea vers la table du ‘Prince’. Il attrapa une chaise vide puis s’installa parmi le petit groupe de paysans trop cons, il s’occuperait aussi d’eux si l’occasion de se présente…Casser les dents à un ou deux péquenauds n’étaient pas trop grave.

-Messieurs. Il fit signe à la serveuse de revenir servir toute la table, sauf lui.Je suis désolé de vous déranger, j’ai entendu votre petite discussion et je suis curieux…J’aimerais bien savoir comment vous pouvez être aussi bien informés sur autants de famille ?

Il s’interrompit lorsque les nouvelles boissons arrivèrent, laissant boire ses ‘compagnons’ de boissons. Son visage relativement avenant, devint sérieux, le mépris clairement visible.

-Je suis surtout curieux d’une chose…Je me demande bien de quel tas de merde t’es prince ? Tu n’es rien, hormis qu’un merdeux, une grande gueule insignifiante.

Pour l’instant il ne faisait pas mention de sa famille, il voulait déjà savoir qui il était et d’où il venait…Il lui arrivait parfois de réfléchir avant de frapper…C’était rare mais aujourd’hui il n’avait pas trop bu, donc son cerveau fonctionnait correctement.

Codage par Libella sur Graphiorum

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Ses déblatérations n'en finissent plus, Elias savoure son heure de gloire même auprès de roturiers, après tout il est normal pour un Prince d'être acclamé par le bas peuple. En l’occurrence là il est plutôt écouté et cru sur parole sans perdre son air hautain tandis qu'il s'adresse à eux. Parmi le groupuscule qui l'entoure, la plupart déjà bien alcoolisés lèvent leurs choppes pratiquement vides à sa santé et en redemandent. Bien évidemment le quidam se fait une joie de continuer à s'exprimer mais avant qu'il ne puisse reprendre où il en était, un homme se joint à eux. Un nouvel admirateur ? Cela enchante Elias, tout comme la tournée, et il est loin de pâlir à la question posée. Sa réponse est presque programmée tant il l'a sorti une multitude de fois pour ne pas avoir à se justifier. Il est Prince après tout, mince, il le rappelle. « Je suis Prince voyons, il est normal que je sois un minima informé, roturier. » Le dernier mot est cadeau, habitude qui n'est pas prête de changer, gonflant son ego sans craindre de heurter son interlocuteur. Mais parfois, à force de se croire tout permis, certaines situations tournent à son désavantage en le contrariant. C'est ce qui arrive rapidement une fois les boissons servies, après que tous trinquent une nouvelle fois à sa santé.

Le sourire si fier de Elias se transforme en grimace, il fronce les sourcils aux propos intolérables du bougre installé parmi-eux. Oh, c'est qu'il lui redessinerait avec grande joie les contours de sa bouche à l'aide de l'un de ses couteaux, mais il ne s'emporte pas, ce serait perdre face. Et lui perd rarement son calme, il préfère garder le contrôle afin de vaincre ses opposants à l'aide d'ironie, parfois sarcasme ; il ne s'abaisse pas non plus aux insultes comme la plupart des pecnots. Un rictus reprend forme mais différent du précédent, particulièrement hautain et mauvais. « Oh, serait-ce de la jalousie, pauvre paysan ? D'un côté je peux très bien le comprendre, je suis parfois jaloux de moi-même, tant je suis exceptionnel. Je ne compte même pas le nombre de personnes qui aimeraient être à ma place... Je suis Prince, que tu ne seras jamais, Prince de la noble lignée des Pentaghast, du Nevarra. » Un mensonge déjà utilisé, recyclé, qui est préférable tant qu'il ne sait pas à qui il à a faire non plus, surtout en Orlaïs. Mais il est confiant et ses pupilles en témoignent constamment... D'ailleurs, il réalise que Malachi n'est toujours pas revenu. Que fabrique-il ? Une éternité pour uriner, décidément, les hommes de mains ne sont plus ce qu'ils étaient. Elias se tourne vers ses compagnons de table qui ne réfléchissent plus tellement, surtout ainsi éméchés, mais qui continuent de boire à tout ce qu'il raconte. « Voyez comme les ignares s'emportent vite, c'est affreusement ridicule. » Il nargue la mauvaise langue, jouant la comédie auquel il est habitué, tout de même curieux de savoir à qui il à a faire. Quoi qu'un tel paysan ne le mérite pas... Comme il ne mérite pas de perdre toute son énergie avec lui.

Shut Up.

Roturier ? Sérieusement ? Ce con prenait vraiment Anthelme pour un roturier ? Il avait trop bu pour se rendre qu’entre eux deux c’était lui qui faisait plus le paysan ? Le chevalier serra les dents pour ne rien dire, il lui ferait avaler ses dents plus tard…Cependant se retenir devint encore plus difficile avec le reste des paroles de l’homme, un paysan, non mais vraiment, il en voyait souvent des paysans avec une épée ? Il avait grandi où ? Pas au Nevarra comme il le disait, il était né dans un coin miteux à tous les coups et le pauvre gosse n’avait pas eu ce qu’il voulait et maintenant il s’inventait une vie. Ce qui n’était pas une mauvaise chose en soi, mais insulté des personnes auxquelles il tenait particulièrement…Ca, c’était mauvais.

Anthelme le laissa finir de parler, il ne fallait jamais couper la parole c’était malpoli, on lui avait fait la reproche bien trop souvent quand il était petit, mais là il en avait très envie.

-Du Nevarra hein ? T’es bien loin de ta maison…Franchement me prend pas pour un con, j’suis pas comme eux. Avec un léger signe de menton il désigna la bande de crétins lui servant de fan club.T’es pas un prince ni un noble.

Le chevalier attrapa l’inconnu par sa veste puis le plaqua violement contre un mur.

-Vas-y, redis moi ce que tu as dit sur les de Lydes pour voir. Ouvre la bouche pour me donner une bonne raison de te casser la gueule devant ton petit auditoire d’imbéciles.

Anthelme sentit une main se poser sur son épaule, l’un des paysans semblait vouloir calmer le jeu, affichant un sourire en coin il s’adressa au crétin osant le toucher.

-Tu veux garder ta main ? Enlève-la immédiatement. J’ai parfaitement le droit de te la faire bouffer si tu ne recules pas.

En tant que Chevalier il avait pas mal de liberté sur les gens d’un rang au sien et ce qui tombait bien, la taverne était remplie de gens bien inférieures à lui et c’était aussi valable pour l’homme qu’il plaquait contre le mur. Le paysan peureux n’insista et retira sa main avant de reculer, Anthelme pouvait de nouveau se concentrer sur l’imposteur face à lui.

Codage par Libella sur Graphiorum

you've got a big mouth, so shut it up

Elias n'est pas coupé dans ses propos, heureusement d'ailleurs, mais il s'imagine que ceux-ci vont suffire à décourager l'homme ; mauvais calcul. Ce n'est pas un bougre facile et son ego supporte encore des affronts conséquents, des remises en question sur son identité de toute manière factice. Le soucis, il le remarque, c'est qu'il n'a pas à faire à un roturier de bas étage. Roturier comprenant pour lui bon nombre d'individus, même des mercenaires, des Chevaliers, d'autres nobles méprisés. Et puis l'épée accrochée à la ceinture de celui-ci ne lui échappe pas. Très vite le Prince se retrouve plaqué contre un mur, une grimace redorant son faciès quelques instants quant à la marche à suivre. C'est une affaire personnelle désormais ; mais il n'a aucune envie d'être ridiculisé devant un tel comité, et toujours aucune trace de Malachi. « Quel manque de délicatesse, quel outrage envers ma personne, tu auras des comptes à me rendre. » Siffle-il pour ne pas perdre la face, pour le moment, comprenant que le sujet qui fâche concerne les de Lydes. Tiens donc.

L'un des paysans envoûtés par ses histoires à dormir debout commence à prendre sa défense avant d'être découragé... Oui, il ne fallait pas s'attendre à plus de la part d'un pecnot complètement saoul. Néanmoins le Prince profite de cette courte altercation pour se dégager de l'emprise de son agresseur, prouvant qu'il n'est pas sans défense comme ses manières et son accoutrement pourraient le laisser penser. Ainsi il s'éloigne rapidement, non dans l'objectif de fuir la queue entre les jambes mais afin de l'attirer vers la sortie. Il profite de la foule ainsi que des tables, créant une distance gênante tandis que sa voix résonne. « Voyez mes chers, je crois qu'il s'agit là de l'un des bâtards de Lydes, tant le sujet le chatouille. Terriblement heurté par la vérité, simple et pure, de cette famille en pleine déchéance qui accumule les tares, les morts... La dernière en date allait en devenir une il me semble, non ? Cette Blanchard... Honte de sa famille également. Qui se ressemble s'assemble. Pourquoi perdre mon temps avec de tels roturiers... » Sans honte il s'exprime, jongle encore entre ragots, mensonges et vérités, à deux centimètres de la sortie. Et il sort en lui faisant un signe distinct.

Enfin à l'extérieur, il attrape par réflexe un couteau glissé sous sa tunique, il est évident que la provocation ne sera pas ignorée mais il n'est pas sorti uniquement pour éviter de se prendre une raclée en public ; son garde du corps est censé être dehors. Est censé, oui. « Malachi ? Ton Prince te demande, Malachi. Bon sang. » Grogne-il presque, loin de perdre son calme mais ne supportant pas qu'on l'ignore si tel est le cas, et dans tous les cas son homme de main supportera sa mauvaise humeur accompagnée de ses crises plus férocement les prochains jours. Il se retourne vers la porte de la taverne qui s'ouvre. Sans étonnement.

Shut Up.

A cause du crétin congénital qui l’a interrompu, le sale con avait réussi à sortir de l’emprise d’Anthelme. Le Chevalier fit claquer sa langue sous l’effet du mécontentement et rapidement l’inconnu s’écarta de lui.

-Vas-y continue de l’ouvrir, donne-moi de bonne raison de te refaire le portrait.Anthelme avanca lentement entre les tables, voyant bien que l’autre voulait s’en aller vers l’extérieur.Ca se dit Prince mais sa fuit la queue entre les jambes…Ah mais est-ce que s’en a une au moins ?

Le noble le suivi jusqu'à l’extérieur, il remarqua l’arme à la main, un couteau, il pouvait gérer. Lui ne dégaina pas immédiatement son épée, tabasser quelqu’un n’était pas trop grave, aller plus loin serait plus emmerdant, il devrait se justifier et il en n’avait pas envie.

-Han ton p’tit copain t’a lâché ? C’est bête hein ? Le p’tit prince va devoir se débrouiller comme un grand maintenant.

Fonçant sur la grande gueule, les deux hommes se retrouvèrent au sol, le maintenant au sol avec une main et le frappant au visage de l’autre, une fois, puis une deuxième.

-J’te jure qu’à la fin tu vas regretter tes paroles connard.

Un troisième coup frappa le visage de l’autre, le chevalier ne faisant pas du tout attention à ce qu’il se passait autour de lui ni à la lame que tenait sûrement encore le faux prince. La colère avait pris le dessus et s’il pouvait le tabasser à mort il en serait très satisfait.

Codage par Libella sur Graphiorum

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Non, Elias ne va pas fuir la queue entre les jambes, il reste à l'extérieur, cherche d'ailleurs Malachi qui est étrangement absent. Bon sang, il ne peut même pas compter sur son garde du corps - entre autre chose... Mais il n'est pas sans défense et reste fier malgré la réflexion abîmant son ego démesuré. « Un Prince n'a besoin de personne pour se défendre, pauvre pecnot. » Il en hausse presque les épaules, son couteau glissé dans la paume de sa main gauche, prêt à le lui lancer en pleine figure avant qu'il n'atteigne sa hauteur. Heureusement ses réflexes ne sont pas trop amoindris par l'alcool et c'est une belle réussite, ou presque, l'entaille est légère chez son agresseur.

Très vite Elias se retrouve au sol à subir les coups sur son magnifique faciès, l'autre s'acharne, là il sent enfin le contre-coup de la bière ingurgitée qui l'empêche de parer le plus gros. Ce n'est pas digne d'un prince mais exceptionnellement, il lui crache salement à la figure le sang qui s'accumule dans sa bouche, son sang. Rien qu'à cette vision une excitation se mêle à sa colère, sa fierté souillée, il s'emporte dans un rire nerveux. C'est toujours pareil quand son liquide carmin est dévoilé et bon nombre de fois Elias s'est retrouvé face à un adversaire si ce n'est un allié légèrement déboussolé, dans l'incompréhension totale. Son rire est tout de même entrecoupé par quelques paroles où il parle maintenant de lui-même à la troisième personne. « Le Prince se demande si tu n'es pas réellement un bâtard, en fin de compte, pour être à ce point touché... » Moquerie qui continue, résonne aux oreilles de l'autre homme, et la main de Elias qui glisse à l'intérieur de sa veste pour attraper un autre couteau coincé entre ses plis directement sous sa gorge ; si son timing est bon. Une chose est certaine, même désavantagé, sa langue de vipère continue à cracher son venin pour heurter l'autre ; comme le sujet marche bien. « Et peut-être que tu n'es pas le seul, comme ce de Lydes passé à deux doigts de la mort... Quel dommage. » Un peu dent pour dent, œil pour œil, il ne sait pas s'arrêter, et l'alcool n'aide définitivement pas sa manière d'être déjà insupportable en temps normal. C'est la faute de Malachi si il s'en prend plein la gueule, après tout. La faute de ce roturier, de tout Thédas sauf lui, lui est unique, non ? Il le pense si fort que ses prunelles en témoignent constamment pour lui.