[INTRIGUE] THE HARROWING

the harrowing

Sarren & Others

« Like we forgot who we can trust, screaming at the top of our lungs, on the grounds where we feel safe. Do we feel safe ? Let's go to war. »

Prendre son courage à deux mains... Voilà bien longtemps que cela ne lui était pas arrivé. Seulement, emporté dans son élan et probablement épaulé par son adrénaline, il n'échoue pas lamentablement. Il arrive à protéger les mages en mauvaise posture qui en profitent ensuite pour se débarrasser de leurs opposants, espérant que Rosélie de son côté n'aura pas eu de soucis. En tout cas, il leur adresse en réponse un signe de tête égal et retourne avec les autres maintenant tous rassemblés. Autant entouré, l'elfe se sent en sécurité, en oublie presque son lobe d'oreille arraché un peu plus tôt - ainsi que la douleur l'accompagnant. Il hésite tout de même à user de sa magie de soin mais garde une fois encore ses forces. Si jamais quelqu'un venait à être plus gravement blessé, même lui, sait-ont jamais...

Avec ses camarades, le déserteur s'achemine jusqu'au premier étage en restant sur ses gardes et à l'affût, avant que le spectacle devant lui ne le surprenne. Pour un elfe tel que lui, ce discours Chantriste ne signifie pas grand chose. Pour ne pas dire rien, surtout dans la situation actuelle. Mais ce n'est pas pour autant qu'il est prêt à foncer dans le tas de Sœurs, Révérences-Mères et Frères faisant barrage avec leur propre corps, dénués de toute arme... si ce n'est leur voix ? Si encore il s'agissait de Templiers, il n'aurait pas hésité. En parlant d'eux, d'ailleurs, les voilà qui rappliquent dans leur dos avec deux mages de leur côté ; sérieusement ? Sarren lorgne ses camarades, cette fois-ci mal placé pour prendre une décision de son propre chef. Le Tévintide ne reste pas sans rien faire, en revanche, et il écoute son avertissement en préparant tout de même un sort à distance. Si il crée un mur de glace, peut-être, ou encore une fois une protection.

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the harrowing

la flèche blanche

« Plutôt nier le jour ou l'air que je respire que ta puissance inique et que ta cruauté. Perdu dans cet azur, sur ces hauteurs sublimes, ah ! j'ai vu de trop près tes fureurs et tes crimes. »

Les efforts se coordonnent à merveille, non seulement ils parviennent à ralentir le flux d'ennemis, mais en plus les deux charges se rassemblent et sont bientôt rejointes par les Chercheurs. Malgré la persévérance des templiers, ils ne peuvent rien contre l'assaut pour l'heure parfaitement mené. A tel point qu'ils ont tôt fait d'emprunter les escaliers pour atteindre le premier étage, tous conscients qu'il leur faudrait probablement grimper jusqu'à la cime de la Flèche Blanche avant de débusquer leur proie. Si Gwenaël s'attend à rencontrer une nouvelle résistance, celle-ci est à mille lieues d'être martiale – bien au contraire. Pacifique, même, en soustrayant la litanie de l'une des prêtresses qui les voue tous aux gémonies. Pris de court, il ne sait de quelle façon réagir face à ce conglomérat chantriste auquel, en dépit des circonstances et de la priorité de leur mission, il ne veut porter atteinte.

Il n'est vraisemblablement pas le seul, puisque le tévintide ainsi que Sarren – dont il remarque le pansement de fortune – décident d'abandonner la décision à qui voudrait. Ils préfèrent s'acquitter de la vague d'adversaire qui point à l'extrémité du corridor, d'ailleurs étonnamment escorté par un binôme de mages. De ce qu'il en sait, faire le tour de la place forte jusqu'aux prochains escaliers leur coûterait un temps précieux, mais l'oeil vigilant de Marian guette les moindres faits et gestes. Il prend un instant pour songer, avant de faire signe à Rosélie de le rejoindre. « Rosélie, je vais avoir besoin de votre aide. » Il tire deux fioles rondes de son ceinturon et lui chuchote. « Je vais les lancer au-dessus des Soeurs mais étant donné leur nombre, les fioles seront moins efficaces si elles se cassent au mur. Visez-les avec un sort pour les faire exploser en plein vol, le liquide se répandra sur elles. » Il la regarde. « C'est horriblement urticant, faites attention de ne pas les briser trop tôt au risque que ça ne nous revienne dessus. » Il place sa confiance en la jeune sylphide et les jette vers les importuns qui leur bloquent le chemin.

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the harrowing

la flèche blanche

« Disobedience, in the eyes of any one who has read history, is man's original virtue. It is through disobedience that progress has been made, through disobedience and through rebellion. » ― Oscar Wilde

La petite embuscade des Templiers s’était bien mal finie pour eux : Evalyria, Eliott et Aria s’étaient défendues bec et ongle, si bien qu’ils gisaient désormais dans leur propre sang. Bien fait. Cependant, ça ne s’était pas fait sans prendre des coups de leur côté : Aria avait toujours l’épaule en vrac, et tenait son bâton maladroitement à cause de cela. Quant à Evalyria, elle avait une grande estafilade à panser, chose que fit Eliott, non sans arracher une bonne partie de ses vêtements. Hahem, c’était pas le moment, mais Aria avait bien du mal à ne pas penser à Elio, et avec ce qu’elle avait pu faire avec lui. Restait qu’Eliott avait d’excellents réflexes et lui, au moins, n’avait pris que peu de coups. Voire pas du tout.

Une fois que l’hémorragie d’Evalyria fut sous contrôle, Eliott se tourna vers la noble orlésienne : son bras pendait toujours étrangement sur le côté de façon inquiétante. Sans nul doute, son épaule avait besoin d’être remise d’équerre, chose qu’Eliott s’apprêtait à régler. Ça allait un peu piquer.

— OH PAR ANDRASTÉ, ÇA FAIT MAL !

Hahem. Aria se tourna vers ses compagnons d’infortune avec un sourire un peu gêné.

— Pardon.

Bon euh, s’ils bougeaient maintenant ? Ce n’était pas comme si la Flèche Blanche était infiltrée de toute part et qu’ils étaient en danger de mort… Ils se mirent heureusement rapidement en branle, avançant en évitant au maximum de tomber sur d’autres Templiers. Effectivement, ce coup-ci, c’est sur une prisonnière enchaînée au mur qu’ils tombèrent. Tant pis pour les bruits de pas qui se rapprochaient : Aria était de l’avis d’Eliott.

— Libérez-la, je vais essayer de retenir les Templiers qui arrivent.

Aria se tourna et grinçant des dents à cause de la douleur qui lui transperçait l’épaule, leva son bâton. Balancer des éclairs n’était pas le seul tour qu’elle avait dans son sac : en se concentrant, elle tenta de poser une zone au sol, prête à irradier la première chose qui marcherait dessus. Avec un peu de chance, ils pourraient encore gagner du temps.

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The Harrowing

La jeune Elfe eut un léger saut de réussite lorsque les escaliers furent enfin libéré de l'emprises des templiers. Ni une ni deux elle emboîta le pas de l'inquisiteur et l'ami d'Arion pour monter direction le premier étage d'un nombre incalculable dans cette tour immense. Mais alors qu'ils étaient lancé pour gravir les marches menant au second étage, ils furent stoppé net à cause d'une congrégation de fanatiques. Des chantristes les traitant d'hérétiques. Rosélie encore dans l'ambiance de la bataille de l’euphorie était prête à se battre, mais alors que tout le monde hésitait à combattre des religieux sans armes derrière eux des templiers et ... des mages ?! C'était une réelle blague, ils se battaient pour la liberté des gens qui possédaient le don ou la malédiction de la magie et eux se battaient comme des chiens en laisse !

Un instant Rosélie se demanda si elle n'avait pas fuit la tour serait-elle en ce jour aux côtés des forces chantriste pour combattre les mages rebelles ? Elle chassa cette idée, si elle n'avait pas fuit la tour elle serait sans doute morte à l'heure qu'il est. Alors maintenant il fallait se préparer. Alors qu'elle se tournait vers les attaquants s'approchant par le couloir derrière eux elle fut interpellé par l'inquisiteur. Elle se déplace alors rapidement vers le guerrier pour écouter attentivement ce qu'il à a dire. Il tire deux fioles et vient lui chuchoter son plan.

Elle reste bouche bée en écoutant son plan, remettant en question sa pratique de la magie, certe elle savait lancer des sorts maintenant, mais ne serait-ce pas plus utile si Sarren ou même un autre s'en chargeait ? Elle referma rapidement sa bouche et opina du chef. Elle pouvait le faire, il lui avait sauvé la vie et pour le remercier elle devait y arriver.

- Je ferais attention promis.

Bien sûr elle ignorait ce que voulait dire "urticant", mais elle comprenait qu'il valait mieux pas se tromper.

Elle se mit en position devant le groupe chantriste, attendant de voir les fioles et essayant de jauger quel serait le bon moment pour bien envoyer son carreau arcanique. Pourvu qu'elle réussisse, si un dieu quelconque voyait ça aujourd'hui pourvu qu'il soit clément.

Lorsqu'elle jugea que la fiole était au bon endroit, elle lança son sort. Concentrée et espérant que ce soit le bon moment.

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the harrowing

with some people

« Le plus triste, vraiment, c'est qu'il y ait une telle haine au fond de chacun de nous. Sans exception. » ― Jean-Christophe Grangé

Le goût du sang effleure ses lèvres. Il a giclé sous la coupe de sa lame. Qui aurait cru qu’il pouvait s’extirper ainsi d’un corps et avec un tel empressement ? Comme si la vie n’avait attendu que cette occasion pour quitter son hôte. Une part du fluide carmin atteint son visage sur le côté droit, offrant une singulière peinture de guerre qui sied parfaitement à son teint et à la rage coulant dans ses veines. Sa prise est toujours affirmée sur l’épée dérobée au Créateur sait qui. Elle la garde en main, peu envieuse de se faire à nouveau avoir de la même manière. Au moins cette épée-ci ne disparaîtra pas, et son maniement ne change guère de l’autre à part pour le poids. Mais à cela, elle s’est déjà exercée avant d’être capable de brandir une épée faite de magie pure.

La rouquine hâte le pas, pressée de rejoindre les autres et d’en découdre. Mais l’avance que le reste de la troupe a pris n’est pas si importante, puisqu’à peine a-t-elle atteint le premier étage qu’elle les aperçoit et que des clameurs démentes lui parviennent : les fruits de l’aveuglement produit par la Chantrie. La jeune femme écrase un long soupir, ne sachant si elle doit s’indigner ou se désespérer des propos lancés par la troupe de religieux leur barrant la route, remarquant à peine les Templiers non loin déjà pris en charge par certains de ses compagnons. « Ah oui ? Vous souhaitez tant que ça mourir ? Je ne suis pas sûre que vous sachiez vraiment à quoi vous attendre, mais il suffit de demander ! Par contre vous attendez pas à trouver votre foutu Créateur pour vous accueillir de l’autre côté. » A-t-elle été entendu ? Bouarf, elle s’en moque bien en réalité. Puis après tout elle n’est pas ici pour discutailler avec l’ennemi, malgré que ce soit probablement elle qui leur parle le plus jusqu’à présent. Mais l’occasion d’extérioriser toute sa colère qui la ronge est trop parfaite. En trouvera-t-elle seulement le repos ? Elle n’y songe guère, car en cet instant, tout n’est plus que vengeance. Vengeance pour tous les mages de Lothering. Vengeance pour un amour tué dans l’œuf, rendu impossible juste par les mots d’une Divine se croyant toute puissante et légitime. Vengeance pour la seule et unique famille qu’on lui a arrachée. Vengeance. C’en est presque un miracle qu’elle ne soit pas consumée par un démon de colère. « Tout ce qui se dressera sur ma route dans cette putain de tour… » Elle s’avance lentement, la magie s’amoncelant une fois de plus en elle, puis au creux de sa main gauche, l’autre toujours vissée à l’épée dérobée. « … crèvera de ma main. » Le feu jaillit, se condense. Que le Créateur vienne donc lui-même en aide à ses ouailles, car elles risquent fort d’en avoir grand besoin.

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the harrowing

Evalyria & Others

« Absent gods and silent tyranny. We're going under hypnotised by another puppeteer. And tell me why the men in cloaks always have to bring me down »

Elle se retrouve toute écarlate, épée dressée, souffle saccadé, tandis que ses victimes s’écroulent lourdement, en silence, l’échos de leurs cris de douleurs se mourant contre les murs de pierre. L’adrénaline descendant, son ventre la tiraille toujours, et elle prend quelques secondes de pause avant de retrouver les deux autres, rangeant l’arme dans son dos, le temps de se soigner brièvement. Évidemment, elle n’a emporté aucune trousse de soin, beaucoup trop enthousiaste de quitter les cuisines de l’Inquisition. Son armure est même trop légère pour ce qu’elle entreprend, habituée à prendre les devants en cas d’assaut.

L’elfe prend volontier le bout de tissu qu’Eliott lui propose, s'empressent de le serrer autour de sa taille et de rabaisser l’armure sur sa blessure sanguinolente. Elle espère ne pas avoir d’autres coups de la sorte, sinon elle ne sera pas d’une grande utilité. Elle sursaute à peine lorsqu’elle entend les plaintes d’Aria. Au moins pourra-t-elle se servir de son bras à nouveau et se montrer utile dans le cas d’une nouvelle attaque. Prête à repartir, elle se dirige en silence vers un couloir, supposant que les deux autres sont tout près d’elle. Il n’y a pas de temps à perdre, et ils devaient rapidement rejoindre les autres afin de pouvoir prêter main forte. Ce n’était pas en déambulant dans les cachots qu’ils allaient éliminer la menace, même si ils croisent de petits groupes une fois de temps en temps.

Ils n’ont qu’à faire quelques part pour tomber sur une autre âme en bien mauvaise posture. Si Evalyria n’est pas pour l’aider aux premiers abords, elle se voit obligée d’arrêter en même temps que les deux autres.

-Elle risque plus de mourir si elle nous accompagne que si elle reste ici…

Mais elle ne peut pas se résoudre à la laisser pendre lamentablement contre le mur.

-Eliott?...Tu peux essayer de la détacher avec...cette dague que tu as trouvé?

Tandis qu’elle demande, elle fouille fébrilement sa ceinture afin d’attraper une outre remplie d’eau fraîche, qu’elle ira tendre à la jeune femme dès que celle-ci sera détachée. Mais son attention est vite détourné par des bruits de pas derrière eux, et même si Aria semble vouloir garder leurs arrières, la dalatienne ne peut s’empêcher de poser la main sur la garde de son épée afin de la tirer de son dos. Armée, elle ne porte plus attention à la femme et à Eliott, ses prunelles dirigées vers la source du bruit.

Craignant qu’Aria ne parvienne pas à les arrêter seule, et tentant de juger le nombre d’assaillant à leur bruit de pas, elle la rejoint, évitant de marcher sur le cercle magique poser à terre.

-Tu devrais retourner voir Eliott. Je m’occupe de les ralentir. Si je n’y arrive pas, fuyez avec la fille, j’irai vous retrouver.

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INTERVENTION DU MJ

REFERENT : GWENAËL

@Gwenaël et @Rosélie, le plan était ingénieux mais malgré vos efforts, vous faites preuve d'une horrible coordination. Non seulement l'un lance les fioles de travers, mais en plus l'autre les fait exploser beaucoup trop tôt. Inquisiteur, tu en reçois une dose conséquente, notamment dans les yeux et te voilà à te tordre de douleur, aveugle pour un bon moment. Des membres de l'Inquisition te conduisent à part et tentent de te soigner, pour l'heure, tu es hors jeu. Petite elfe, tu ne t'en sors que très peu mieux, le liquide te brûle et te gratte atrocement à hauteur du cou et sur les bras. La démangeaison est telle que lancer ton prochain sort va t'être laborieux.

Le mage t'a repéré, @Faustus Scaevola, il réussit à éviter la substance que tu envoies et qui s'agglutine au templier juste derrière. Celui-là est néanmoins tellement surpris qu'il va se coller à celui que tu visais originellement, un cri d'horreur retentit avant que les deux n'explosent. Un templier parvient cependant à se hisser à ta hauteur, muni d'une hache avec laquelle il a comme l'envie de te découper.
En voyant cela, l'autre mage chantriste préfère arrêter sa course et envoie une puissante sphère offensive qui, de justesse, se heurte au mur de glace que tu dresses @Sarren. Contrarié, il charge ses paumes, prêt à te calciner d'une longue gerbe de feu. Il va falloir réagir avant qu'il ne fasse fondre ta défense – ou pire, qu'il ne la fasse éclater et meurtrisse tes coéquipiers.

@Wilhelma, il ne reste manifestement plus que toi pour oser dégager la voie. Tes paroles vindicatives grincent toutefois à l'oreille de Marian, qui tique et gronde quand elle comprend tes intentions. Sans une once d'hésitation, elle te charge, te fauche d'un coup d'épaule et te plaque au mur le plus proche avec son avant-bras cuirassé sur ta gorge, t'empêchant ainsi d'aller au bout de ton sortilège. « Ne t'avise même pas d'y penser ! » Un geste de sa part enjoint quelques-uns de ses Chercheurs à se placer en protecteurs du clergé, ruinant définitivement vos chances d'emprunter ce chemin. Elle te lâche et se détourne vers le couloir. « Par là, il y a d'autres escaliers ! Chercheurs, ouvrons la voie aux mages ! »

Les chevaliers se mêlent au combat, mais d'autres ennemis arrivent. Il vous faut impérativement vous créer un passage, prendre un autre détours pourrait faire échouer votre mission.

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Vous vous organisez et tombez d'accord sur le fait que vous ne pouvez décemment pas abandonner cette pauvre femme. C'est un soulagement dantesque qui luit dans ses yeux quand elle vous voit l'approcher, la porte de sa cellule n'est pas verrouillée mais il vous faut la débarrasser de ses menottes. @Eliott Ronceret, c'est toi qui te charges de les examiner, non sans que ta camarade elfe te souffle une excellente idée. La prisonnière lève la tête et réussit à vous adresser quelques mots. « Collège... Combreland... » Si vos connaissances vous le permettent, vous comprenez que cette dame vient du Collège des Mages, celui-là même qui a été dissout et dont plusieurs membres importants ont été mystérieusement portés disparus.

Mais l'information vous dissipe, il est déjà trop tard lorsque vous entendez le cliquetis des armures. Les templiers se sont approchés avec une extrême discrétion, et pour cause : ce ne sont pas des chevaliers lambda. Trois musards cabriolent avec une telle vélocité que vous les voyez à peine surgir. Deux d'entre eux te filent sous le nez, @Evalyria, le troisième te fonce en revanche dessus mais appréhende bien mal ta robustesse. Il échoue à te renverser et recule même, se piégeant lui-même dans la rune tracée au sol.

@Aria de Lydes, tu as un mauvais pressentiment quand tu aperçois l'ennemi arriver – et tu as raison. Il est beaucoup trop vif, ses mouvances te font tourner la tête et ses multiples attaques à deux dagues t'obligent à reculer. Il te coince, t'ôte ton bâton d'un habile coup de pied et poursuit son assaut. Dans un réflexe pour te protéger, tu as le malheur de tendre ta main. La lame ne te rate pas, elle te tranche trois doigts.

C'est toi le plus éloigné, jeune barde, mais tu n'es pas oublié pour autant, puisque ton adversaire arrive à toute vitesse. Il entre dans la cellule dans laquelle tu es seul et a l'ingéniosité de refermer la porte derrière lui, empêchant ainsi ton faucon de te prêter main forte. Il t'invite à jouer de vos surins, vous entamez un duel de dextérité qui prend un malchanceux tournant lorsqu'il t'éclate le nez à coup de coude. Alors qu'il aurait pu poursuivre, il se détourne cependant vers la mage enchaînée.

Si personne n'agit, la captive va mourir.

AUX ARMES & AUX BÂTONS

Rappel de l'échelle de base :

De 1 à 10 : (ECHEC CRITIQUE) « Aie, ça fait mal. »
De 11 à 45 : (ECHEC) « C'est pô juste. »
De 46 à 80 : (REUSSITE) « A l'aise. »
De 81 à 100 : (REUSSITE CRITIQUE + BONUS POUR UN 100) « Admire le maître. »

ELIOTT:

FAUSTUS:

SARREN:

GWENAËL:

ARIA:

ROSELIE:

WILHELMA:

EVALYRIA:

HORS JEU

COMMENTAIRE GROUPE 1 : Vous avez perdu un précieux tour, frayez-vous un chemin avant qu'il ne soit trop tard ! A noter que Gwenaël est out pour la prochaine réponse, il ne postera donc pas. @Aria de Lydes, tu pourras directement répondre après Sarren.

COMMENTAIRE GROUPE 2 : Vous êtes pas sortis de la mouise (ni des cachots) vous.

Eliott hoche la tête. Il est d’accord avec les deux femmes – il faut libérer la prisonnière, bien qu’elle ait certainement plus de risques de mourir en les accompagnant. Et eux avec, accessoirement, car elle risque de les ralentir. Quoi que, ses compagnes ne sont pas forcément dans un excellent état non plus... Mais il se garde bien de le faire remarquer, et ouvre la porte de la cellule sans difficulté – à sa plus grande surprise, celle-ci n’est pas verrouillée. C’est toujours quelques précieuses secondes de gagner, car ils entendent d’autres Templiers (du moins, il suppose que ce sont des Templiers) arriver vers eux.

Pas assez de secondes, néanmoins ; ils ne les ont pas vu arriver, mais leurs ennemis sont déjà sur eux. Surpris alors qu’il s’approchait de la captive, il se retrouve enfermé à l’intérieur de la cellule avec la femme et l’un de leurs agresseurs (quoi que ce terme soit discutable : ils étaient certainement les agresseurs sans cette affaires). Impossible pour Elio, qui tente de trouver un moyen de pénétrer dans la cellule pour prêter main forte à son maître, de se glisser entre les barreaux. Dague au point, Eliott joue habilement malgré la vitesse de son adversaire. Il a l’avantage de sa petite taille et de son agilité – et le désavantage d’avoir été, l’espace d’un instant, trop confiant.

C’est un coup de coude que le jeune barde se prend en plein visage, lui arrachant un cri de douleur qu’il n’a pas su retenir tandis que la douleur irradiait son visage. Nez cassé. Première fois. Eliott manque de tomber sur les fesses, mais il réussi à rester debout sur ses jambes, quoi que sonné. L’adrénaline et l’urgence de la situation lui permette malgré tout de surpasser la douleur, autant qu’il est possible, et de se moquer du sang qui macule son visage. Le temps presse, et il sort sa Précieuse dague pour tenter de sauter sur son adversaire qui a préféré se désintéresser de lui en faveur de la captive.

Mauvaise idée : ne jamais tourner le dos à un barde. Surtout quand celui-ci avait un jumeau mage, assassiné par un Templier sans raison. Ou pour la seule cause d'être né avec des dons magiques. Autant dire que c'est avec rage qu'Eliott fonce, et son bras est porté par ses désirs de vengeances, même si cela est certainement niais et futile.

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Sarren & Others

« Like we forgot who we can trust, screaming at the top of our lungs, on the grounds where we feel safe. Do we feel safe ? Let's go to war. »

Quelques frissons traversent son échine à l'explosion des deux bougres orchestrée par le Tévintide. Cela n'empêche pas Sarren d'être suffisamment réactif pour créer un mur de glace protecteur et il s'en félicite, voyant que cela bloque une attaque de l'un des mages ennemis. Seul bémol, celui-ci s'intéresse maintenant à lui plutôt que son comparse. Il remarque ses paumes d'où émane une chaude lueur reconnaissable entre milles : celle du feu. Envisage-il de faire fondre sa glace ou pire, de l'exploser ? L'elfe se mord la lippe inférieure tout en songeant à une riposte efficace. Pour cette raison, il ne remarque pas l'agitation de ses comparses face aux Sœurs un peu plus haut des marches. Seulement des bruits ainsi que des voix lui parviennent sans qu'il n'y porte une attention particulière. Impossible, il ne faut pas qu'il perde sa concentration.

D'ailleurs, ce n'est pas tout : les ennemis sont nombreux et d'autres s'acheminent vers leur position. « Attention, restez à l'écart du mur ! » Sarren concentre son énergie au creux de ses mains. Il cherche à mettre hors d'état de nuire son opposant en créant une prison de glace autour de lui. Certes, il pourra la faire fondre, mais cela le retardera le temps qu'il prépare un sort plus offensif. Ou au moins, son feu se heurtera à sa glace et le résultat sera le même : il aura gagné du temps. Le déserteur est encore assez mal à l'aise à l'idée d'ôter une vie autre que celle d'un Templier - et encore tout dépend de quel type, mais il ne peut pas faire dans la demi mesure. Seulement, il est en proie à un coup de stress qui arrive sans prévenir et le perturbe, lui faisant perdre de précieuses secondes. C'est à la dernière minute qu'il préfère changer de stratégie et envoyer plutôt des pics de glace sur le bougre en colère contre lui, ceux-ci formés et lancés à partir de son solide mur.

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la flèche blanche

« Disobedience, in the eyes of any one who has read history, is man's original virtue. It is through disobedience that progress has been made, through disobedience and through rebellion. » ― Oscar Wilde

La jeune noble orlésienne n'était malheureusement pas au bout de ses peines. S'ils avaient réussi à libérer la captive et à lui tirer quelques informations, ce fut au prix de précieuses secondes à ne pas fuir les Templiers. Aria avait beau vouloir servir d'arrière-garde, elle était proprement incompétente à ce rôle, si bien que les assaillants fondirent quand même sur eux.

Les considérations quant à la femme qu'ils avaient trouvée, ses origines et les raisons pour lesquelles elle avait été incarcérée de cette manière, tout cela s'évapora en un instant quand un des Templiers, rapide et puissant, la poussa dans ses retranchements. Et en parlant de trancher... Son bâton lui avait échappé, ainsi que quelques doigts. Aria, qui avait peu été blessée dans sa vie, ne réalisa pas tout de suite l'énormité de ce qu'il venait de se passer.

L'adrénaline étouffait la douleur, assez pour qu'elle sent le choc la traverser avant d'en prendre pleinement conscience. Le sang. Le sang qui lui coulait le long de l'avant-bras, voilà qui la ramena au réel : elle était blessée, et si elle ne se reprenait pas, ça risquait d'être bien vite bien pire. Ce fut chaotique, désespéré, sans véritable ligne directrice ou technique, mais Aria tenta une contre-attaque. Elle était prête à griffer avec ce qui lui restait d'ongles, à énucléer à la main, à mordre le moindre bout de peau qui lui passait à portée de dents. Elle ne pouvait pas attendre qu'on vienne l'aider, elle devait au moins essayer de s'aider elle-même... Advienne que pourra.

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The Harrowing

Ne pas rater, ne pas rater, ne pas rater. C'était ces paroles qui déroulaient en boucle dans la tête de la petite Elfe. Elle devait faire ses preuves et l'inquisiteur lui faisait confiance et ce n'était pas le moment d'échouer. Elle guetta les fioles de l'homme et concentra le peu de magie qu'elle contrôlait dans ses mains. Elle était prête et aller réussir. Mais... elle entendit un bruit à côté d'elle, elle retourna la tête pour regarder ce que c'était, mais c'était aussi à ce moment que Gwenaël lança les fioles. Remarquant un peu tardivement le lancé de l'inquisiteur elle visa les fioles en urgences, mais c'était ... trop tôt.

Le produit tomba sur les deux collègues qui venaient de se louper sévèrement, alors qu'une partie arrivée sur ses bras elle commença à sentir les démangeaison. Son sang ne fit qu'un tour avant qu'elle commence rapidement à se gratter les bras. Au moins maintenant elle savait ce que voulait dire "urticant". Bon sang que ça grattait !

Si seulement il n'y avait que les bras, la douleur la gratte et la brûle aussi dans le cou, bon sang elle gratte si fort qu'elle se fait saigner, mais qu'est-ce que c'est que ce produit ?! Il comptait écarter les membres de la chantrie ou les faire se gratter à mort ? Elle ne remarque même pas les membres de l'inquisition écarter leur chef de la bataille pour le soigner, alors qu'elle se tord elle aussi de douleur, bien qu'elle n'ait pas été en dessous des fioles et heureusement, que c'est horrible et cette douleur ne diminue pas, ni la sensation de brûlure, ni même la honteuse sensation de l'échec qui reste un gout amer dans sa bouche ...

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the harrowing

with some people

« Le plus triste, vraiment, c'est qu'il y ait une telle haine au fond de chacun de nous. Sans exception. » ― Jean-Christophe Grangé

Alors ça. Marian n’hésitant pas à lui voler droit dans les plumes pour interrompre son sort. Si elle s’attendait à autant de culot, elle aurait balancer son sort sans plus attendre à peine arrivée. L’avant-bras cuirassé de la Chercheuse appuyé sur sa trachée lui ôte la possibilité d’un tir de venin en représailles à son audace, tandis que ses chiots se placent en face du clergé pour dissuader une autre attaque de sa part ou de quiconque. Elle fulmine, ses yeux lançant insultes fleuries et sentences de mort adressées à Marian, même si elles savent toutes les deux qu’elle n’en fera rien. L’enjeu est trop important pour se quereller, même si les idées bien pensantes de Marian vont leur faire perdre un temps fou. Un temps accordé gratuitement à la Divine et ses larbins pour s’enfuir ou faire venir des renforts.

La renarde fulmine toujours même une fois relâchée. Une rage qu’elle compte bien s’employer à répandre méthodiquement sur leurs ennemis qui se dressent non loin. Mais tout à coup – chose qui ne s’était plus produite depuis presque un an – la rage s’éteint subitement alors que ses yeux tombent sur la petite silhouette de Rosélie en train de se débattre avec la douleur de quelque chose qui semble lui avoir brûler la peau. Wilhelma abandonne aussitôt ses idées vengeresses pour rejoindre l’elfe, se penchant sur elle. « Arrête de gigoter. » Aussitôt, elle lui attrape délicatement les mains pour les écarter de ses bras qu’elle en train de gratter jusqu’au sang. « Je vais faire ce que je peux, mais essaie de ne pas bouger. » Depuis combien de temps utilise-t-elle ses mains pour détruire plutôt que pour soigner, comme sa mère le lui avait si bien appris ? Peut-être depuis sa perte justement. Mais l’elfe vulnérable en cet instant et la remise en place de Marian lui rappelle qu’elle n’est pas douée que pour détruire. Du moins, elle l’était aussi pour soigner fut un temps qui lui semble remonter à des siècles. Une douce lueur enrobe ses mains qui viennent se placer au-dessus des meurtrissures de Rosélie pour tenter de l’apaiser.

Une accalmie brève, avant de reprendre le combat.

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the harrowing

Evalyria & Others

« Absent gods and silent tyranny. We're going under hypnotised by another puppeteer. And tell me why the men in cloaks always have to bring me down »

Elle a bien fait de la rejoindre. Quelques secondes à peine s’écoulent entre le moment ou elle quitte la cellule et rejoint la mage, et elles sont aussitôt bousculés par trois assaillants. Si les deux premiers lui passent sous le nez, elle accueille le troisième d’un revers, ne bougeant pas d’un pouce lorsqu’il vient heurter son plastron. Le choc le repousse dans le piège plus tôt posé par Aria, et la dalatienne profite de la surprise pour bondir vers l’ennemi, lame droit devant, afin de l’achever d’un coup à la nuque. Pas de temps à perdre, des hurlements la ramène vite à la réalité après cette petite victoire facile. Son regard se promène entre la mage blessée, et un Eliott qui semble reprendre doucement le contrôle de la situation.

Elle n’a pas besoin de réfléchir deux secondes de plus qu’elle s’élance vers Aria et le Templier l’ayant blessée. Afin d’attirer son attention sur elle, la dalatienne laisse échapper un puissant cri de guerre, puis pointe sa lame entre les omoplates de l’assaillant, espérant l’avoir assez déstabilisé pour qu’il n’évite pas le coup. Cependant, elle avait rapidement oublié les gestes saccadés des templiers - en était-ce?- car il sembla que ses propres mouvements étaient d’une lenteur comparés à la leur. Toujours décidé à prendre l’attention sur elle, elle multiplie les attaques, se protégeant du plat de sa lame lorsqu’il répond à ses coups.

Spoiler:

(c) DΛNDELION

INTERVENTION DU MJ

REFERENT : GWENAËL

Ton hésitation est remarqué par ton opposant @Sarren, qui se met alors à se méfier de ta manifeste indécision. Il comprend un peu trop vite ton changement de stratagème et annihile son propre sort pour créer une rondache enchantée que le garde de ton assaut. Plus véloce que tu ne l'es, il contre-attaque immédiatement avec une simple sphère de feu qui détruit ton mur. Celui-ci explose et s'il n'occasionne aucun dégât, il gêne néanmoins plusieurs de tes camarades à proximité dont @Faustus Scaevola, qui manque d'un cheveu de se faire trancher en deux. Heureusement pour vous, vous êtes aidés voire sauvés par une charge des Chercheurs qui emporte vos ennemis.

@Wilhelma, tu ravales tant bien que mal ton amertume et préfère t'en aller t'occuper de la pauvre @Rosélie qui s'agite. Ton intention est louable, mais l'effet curatif n'a pas le temps de faire son office que tu sens une lame te larder le bras. Ton sang coule et la douleur t'irradie, l'antagoniste responsable est d'ailleurs sur le point de réitérer son exploit lorsqu'il se fait nonchalamment éventrer par Marian. Cette dernière te lorgne puis repart. C'est un mage resté en arrière qui arrive pour vous soulager comme il le peut, au moins de quoi vous permettre de reprendre la route à toutes les deux.

Tes râles résonnent @Gwenaël, tu es heureusement en sécurité au milieu de plusieurs de tes hommes qui réussissent à te remettre sur pied. Ils t'informent qu'ils ont trouvé une salle verrouillée qui mériterait ton attention, cela semble être une salle d'archives.

A l'exception de l'Inquisiteur, vous poussez dans le couloir et suivez les Chercheurs qui connaissent les lieux non sans abattre les écueils qui se dressent devant vous. Arrivés au pied d'un nouvel escalier, le Seigneur-Chercheur vous fait signe de progresser. « Montez, mages ! Nous restons sécuriser vos arrières. » Puisque vous n'avez guère de soucis à vous faire concernant les ennemis qui approchent, vous grimpez au deuxième étage. Vous passez plusieurs corridors sans le moindre signe de vie, jusqu'à cette grande et imposante salle de rassemblement... dans laquelle un comité d'accueil vous attend.

Face à vous, le Chevalier-Vigilant, chef suprême de son Ordre accompagné d'une petite armada de ses soldats, dont beaucoup munis d'immenses boucliers. Il vous toise avec un mépris sans pareil. « C'est donc cela. La gangrène de Thédas. Fous à lier, la perte du cœur de la Chantrie vous importe t-elle tant ? » Dans ses mains, une lueur bleutée scintille. « Le Créateur m'en soit témoin, vous ne passerez pas. Vous. Ne. Passerez. Jamais. » Il porte à ses lèvres et avale deux fioles de lyrium, chacun de ses soldats en faisant de même. Les organismes frémissent, vous voyez leurs yeux luire d'un azur que vous ne connaissez que trop. Le Chevalier-Vigilant tend les paumes, soudain, tous autant que vous êtes, vous vous sentez happés par une force invisible qui vous fait tressaillir sur place. Vous le sentez, une partie de votre magie vient de vous être dérobée. Ce combat se promet difficile, les paladins se ruent vers vous.

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Tu as du mal à le réaliser @Aria de Lydes, mais tu viens effectivement de te faire estropier de plusieurs doigts, et ce n'est rien à côté de ce que ton ennemi prévoit te concernant. Tu le vois dans ses prunelles que tu distingues à peine, il a envie de s'amuser et essaie cette fois gaiement de te couper le bras entier. Si ta faible contre-attaque ne lui fait aucun mal, elle l'importune en revanche assez pour qu'il n'y parvienne pas et le retienne jusqu'à la salvatrice arrivée de la dalatienne. Après t'être occupée du musard à terre, @Evalyria, tu choisis d'aider la pauvre orlésienne et ton cri détourne amplement l'attention vers toi. Il se détache de la de Lydes pour t'accueillir et ensemble vous vous éloignez danser. Force contre agilité, vous échangez les revers durant un moment avant que tu ne prennes le dessus et le blesse au poitrail. Il choit sur sol dans un hurlement, mais si tu penses pouvoir l'occire aussi aisément, tu te fourvoies ! Il te le prouve en te balayant violemment de son pied qui te met au même niveau que lui et se place sur toi. Ses mains se posent sur ton cou et serrent, il t'étrangle, mais se vide également de son hémoglobine qui le rend de plus en plus faible. Tu peux facilement reprendre le dessus.

La douleur lancine sur ton faciès jusque dans ton encéphale, pourtant, tu l'occultes avec maestria @Eliott Ronceret. Tu sautes sur ton adversaire qui va amèrement regretter avoir osé te tourner le dos, et s'il fait volte-face en t'entendant venir, ce n'est que pour mieux se faire surprendre et que tu plantes profondément ton arme dans son épaule. Si la meurtrissure n'est pas mortelle, tu te rends bien vite compte que quelque chose se produit. Une étincelle jaillit de la plaie et voici que les yeux du templier se révulsent, tu vois l'électricité qui chamarre tout son corps et l'électrocute jusqu'à en faire fumer son armure. Il tombe mort, l'une des gemmes sur ton arme chatoie et tu comprends qu'il s'agit d'une rune. Ensuite de quoi, tu parviens à détacher la captive qui s'agrippe à toi et que tu sors de la cellule.

Il faut s'occuper d'Aria qui est blessée, une fois que le calme sera revenu parmi vous, vous vous rendrez compte que la prisonnière vous pointe une direction du doigt. Des escaliers qui descendent, alors que vous, vous voulez monter. Il va falloir décider de lui faire confiance... ou non.

AUX ARMES & AUX BÂTONS

Rappel de l'échelle de base :

De 1 à 10 : (ECHEC CRITIQUE) « Aie, ça fait mal. »
De 11 à 45 : (ECHEC) « C'est pô juste. »
De 46 à 80 : (REUSSITE) « A l'aise. »
De 81 à 100 : (REUSSITE CRITIQUE + BONUS POUR UN 100) « Admire le maître. »

ELIOTT:

FAUSTUS:

SARREN:

GWENAËL:

ARIA:

ROSELIE:

WILHELMA:

EVALYRIA:

HORS JEU

COMMENTAIRE GROUPE 1 : BOSS DROIT DEVANT ! Et les conditions ne jouent pas en votre faveur. Rappelez-vous, vous êtes face au chef des Templiers ! Il vous a purgé d'une partie de votre magie et annule de ce fait TOUS vos bonus. Pis encore, vous serez infligés d'un MALUS tant que le Chevalier-Vigilant sera debout. Voici l'échelle que vous aurez pour votre prochain jet :

Spoiler:

Bonne chance, vous allez en avoir besoin. Et si vous trouvez que votre MJ est trop dur, il vous remercie du compliment.

COMMENTAIRE GROUPE 2 : Vous feriez bien de soigner Aria avant qu'elle se vide de son sang. C'est à vous de choisir si vous souhaitez suivre la direction de la prisonnière ou faire comme vous l'entendez. Dans tous les cas, faites un jet.

Eliott retient son souffle lorsque sa dague est à l’œuvre, subjugué par les effets de la rune. Mais il n’a pas le temps de trop s’y attarder ; il délivre rapidement la femme avant de la soutenir pour revenir vers ses compagnes. Le jeune Barde sert les dents mais s’applique à ne pas se focaliser sur la douleur à son visage, malgré la migraine qui englobe doucement son crâne, comme une araignée étendant sa toile. Une multitude de juron ne passeront pas la barrière de ses lèvres, mais raisonnent bel et bien dans son esprit. « Il faut soigner Aria... Qu’elle ne se vide pas de son sang. » grogne-t-il, tout en jetant un coup d’œil à la prisonnière.

Prisonnière qui, il le remarque alors, semble leur indiquer une direction qui... S’enfonce dans les entrailles de la forteresse, toujours plus bas. Eliott réfléchi rapidement, mais ce n’est pas comme si la douleur ne martelait pas sa boîte crânienne. Se peut-il qu’un passage secret ou quelque chose de ce genre ne se cache sous leur pied ? Probable. Mais pas certain. Une partie de lui a envie d’écouter la femme ; une partie qui lui manque, le vide en lui. Peut-être parce qu’elle est mage, comme l’était Elio. Son faucon revient d’ailleurs se poser sur son épaule lorsqu’il reprend la parole : « Descendre... Elle connaît peut-être un passage pour sortir d’ici plus facilement, ça ne m’étonnerait pas que cette forteresse possède quelque sortie discrète. » Mais il n’est sûr de rien, et il ne veut pas signer la perte de ses camarades en accordant plus de confiance ou de valeur à une prisonnière qu’il ne connaît ni d’Andrasté, ni du Créateur. « On fait quoi ?... »

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