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Mar 12 Déc - 12:50


WHAT ABOUT THIS MESS



Son repos en Ferelden avait été d’un calme olympien, Orlaïs était tout le contraire. Elle haïssait ces lieux où elle avait pourtant passée des années, elle avait passé l’été, depuis sa nomination, à faire des aller-retour entre Ghislain où se trouvait son prédécesseur, Val Royaux, et Lydes où l’un de ses Chercheurs était blessé. Retour à Val Royaux, voir Céleste, éviter Faustine V quand c’était possible, rendre des sourire hypocrites alors qu’elle sortait d’années d’exils qui lui avaient fait un bien fou. Elle était de mauvaise humeur, mais elle savait que l’on disait d’elle que c’était toujours le cas. Seules les années avec Beatrix IV avaient eues le mérite de la faire rester dans ce pays de faux-culs. Elle avait toujours été une Fereldienne de cœur, et tout ce qu’elle voulait, c’était y retourner, à Therinfal et son isolement, son calme, quand bien même devait-elle assumer ses nouvelles fonctions, comme depuis plusieurs semaines.

Là elle était au Cercle d’Orlaïs, des disparitions de Templiers, une fuite de mage et en plus Felix Seneca n’était pas là ; de quoi la mettre d’encore plus mauvaise  humeur. Elle était venue pour parler de la disparition de ses hommes, et lui était ailleurs, probablement dans les jupes de Faustine. Alors elle s’était installée dans son bureau, sans qu’aucun des Templiers présents n’aient de choses à dire ; elle leur était supérieure en rang. Et avec autant d’aller-retour et de trajets, elle avait eu le temps d’apprendre beaucoup sur certains.
Sortant du bureau, elle observa la zone dédiée aux hommes de la Chantrie, quasi vide vu qu’ils faisaient bien plus de rondes depuis l’histoire de la fuite. Elle avait pensé aller parler à la sœur mage de Lydes pour présenter ses excuses de la part de l’Ordre, mais Armand lui avait vivement déconseillé.

Passa enfin sous son regard scannant un Templier qu’elle avait déjà eu l’occasion de voir et d’étudier.
« Templier Martell, venez avec moi je vous prie » l’harponna-t-elle quand il passa sous ses yeux clairs.
Bureau, lumière sombre, elle détestait la décoration de Seneca, mais vu l’homme, ce n’était pas anormal.
« Enfin de retour de Lydes, Templier Martell je vois, j’ai été étonnée de vous y croiser mais après tout, vous êtes proches d’Armand donc cela m’a semblé normal. » Elle feuilleta quelques papiers « Les rapports vous concernant semblent bon, on note juste beaucoup d’aller-retour non justifiés à Lydes, mais je ne vous poserais pas de question là-dessus pour le moment. » elle planta ses yeux glacés dans les siens « savez-vous quoique ce soit sur la disparition du Templier Valerius et du Chevalier-Sous-Capitaine Van Geert ? » c’était pour ça qu’elle l’avait fait entrer ; sa relation avec Armand et Caïn, de nombreux petits détails qui ne lui échappaient pas (elle n’était pas Seigneur-Chercheur pour rien) lui disaient que peut-être Aloïs Martell avait beaucoup à dire ; et si sa simple présence ne suffisait pas à lui insuffler la pression de répondre, elle avait d’autres atouts dans la poche. Ce bureau était plus calme, et la colère de la situation baissait ; mais plus que tout, pour retrouver une certaine sérénité dans son ordre, elle était obligée de s’occuper de la situation actuelle. Et ça passait par un Martell.



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Lun 18 Déc - 22:36




Marian & Aloïs
What about this mess ?


Aloïs n’était pas rentré au Cercle depuis bien longtemps, depuis qu’il était parti en catastrophe après avoir appris dans quel état était Armand. Il était resté aussi longtemps que possible auprès de son ami, et de son amant, mais il lui fallait invariablement rentrer, malgré les plaintes d’Ariel, ses yeux doux, ses demandes répétitives d’abandonner l’armure pour rester à Lydes... Malgré tout, il ne pouvait pas s’attarder ; pas indéfiniment. Les voyages lui semblaient plus longs, les séparations plus dures, il avait l’impression qu’il n’était plus qu’à un fil de céder, mais pourtant, le Templier tenait. Peut-être par peur de ne plus se sentir utile, ou par peur du sevrage ; toujours est-il qu’il était rentré à Val Royeaux pour « quelques temps », tendant l’oreille dès que ça parlait d’Enclin. La boule au ventre, l’angoisse au fond de la gorge, mais le port toujours droit, le regard toujours franc.

Il était dans la salle commune des Templiers, discutant de tout et de rien avec un collègue, lorsqu’il vit une silhouette qui ne lui était pas inconnu entrer dans la salle. En fait, il aurait même été étonnant que quelqu’un puisse ne pas faire attention au Seigneur-Chercheur, les voix baissant d’un ton à son apparition. Aloïs l’avait croisé plusieurs fois à Lydes, alors que Marian Howe se rendait au chevet d’Armand. Lorsque le regard clair de la femme passa sur lui, elle l’appela à la suivre ; et il ne mit pas plus de deux secondes à s’exécuter. Il ne fut même pas étonné lorsqu’ils entrèrent dans le bureau de Felix Seneca, et le Templier laissa le Seigneur-Chercheur Howe s’installer tandis qu’il restait debout, bien droit. « J’entretiens en effet de bonnes relations avec les de Lydes... » répondit-il humblement avec un léger sourire. C’était peu de le dire, d’ailleurs, même si ses « relations » n’étaient pas au beau fixe avec tous les membres de la famille, il y en avait qui comptait bien assez pour compenser.

Aloïs rougit légèrement aux paroles qui suivirent ; d’une fierté modeste face à ses bons rapports, ou d’une légère gêne pour ses aller-retours injustifiés, il n’aurait su le dire. En tout cas, cela ne tomba pas dans l’oreille d’un sourd ; il allait devoir faire plus attention à tout ça, même si ça ne serait certainement pas au goût de d’Ariel. Mais ce n’était pas là l’objet de cet entretien, qui ne tarda pas à venir ; il s’agissait plutôt de la disparition de Lachlan et... Caïn. Armand l’avait prévenu à propos du premier, à son réveil ; mais il n’avait apprit la disparition du second – et fait un lien – qu’à son retour au Cercle. « Rien de plus que ce dont Armand m’a fait part, Madame. Le Templier Valerius serait le tueur qu’Armand poursuivait, et qui a bien failli l’avoir, et je crains malheureusement que la disparition du Chevalier Sous-Capitaine sois lié à son... Départ. »

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Mar 19 Déc - 18:18


WHAT ABOUT THIS MESS



Concernant Valerius, rien qu’elle ne savait déjà. Armand lui avait tout dit. Néanmoins qu’un Sous-Chevalier-Capitaine ait disparu était plus préoccupant. Son instinct lui disait pourtant que cela serait la dernière des étranges disparitions, maintenant que le coupable était connu des hiérarchies vu que sa dernière victime avait survécu, et était même l'enquêteur principal sur cette affaire, il avait sans doute quitté le pays et la zone d'influence de la Chantrie Andrastéenne, cela ne laissait que peu de place à l'imagination concernant sa destination. Mais Van Geert l’avait-il suivit de son plein gré ? Était-il victime ou complice ? C'était là la question qui se posait. À se demander comment Seneca choisissait ses hommes de confiance.   « Aviez-vous remarqué un comportement étrange de la part du Sous-Chevalier-Capitaine, voire même du Chevalier-Capitaine Seneca ? Vous pouvez parler en toute confiance, rien de ce qui sera dit ne sortira de cette pièce pour atteindre ses oreilles.   Oh comme elle aurait voulu que Seneca disparaisse aussi, il faisait partie de ces gens qui constituaient la lie imbuvable de la Chantrie et que Marian ne pouvait supporter. Ces personnes nuisaient à l’ordre et elles étaient pourtant de haut rang.

«Et asseyez vous Templier Martell, il n’y a aucune raison de se tenir droit comme un piquet. Je sers la Chantrie au même titre que vous» une autre chose qui dérangeait Marian depuis sa prise de fonction, le pouvoir manifeste qu'elle avait sur les autres sans aucune demande de sa part. Tout était d'un formel. Au moins pendant sa retraite, les seuls piquets étaient ceux autour de sa cabane, et pas des hommes et des femmes que le Créateur avait fait identiques en tout, avant que le pouvoir ne vienne dérégler tout cela. Elle tapota sur le bureau tout en écrivant quelques notes sur les réponses d’Aloïs. Ses yeux tombèrent sur ses absences inexpliquées, qui signifiaient plus qu'il ne voulait dire. «Dites moi Martell, que pensez-vous du fonctionnement de ce Cercle ? Personnellement je ne vois que du dysfonctionnement. Cela manque d’ordre. Vous seriez un bon candidat pour contre-balancer Seneca. Et si je vous nommais Chevalier-Sous-Capitaine ?» elle ne comptait pas le faire mais il n’avait aucun moyen de le savoir. Ses fréquentations avec une des familles les plus influentes d’Orlaïs n’étaient pas sans signification et elle avait ses yeux de glace plongés dans les siens, si lui aussi était un danger pour la Chantrie, elle le saurait. Ça ou toute autre chose, d’ailleurs.



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Ven 12 Jan - 11:49




Marian & Aloïs
What about this mess ?


Rester calme – voilà qui était nécessaire. Même si être convié dans ce bureau appelait généralement plus à la nervosité qu’à la tranquillité, ce n’était pas le Chevalier-Capitaine Seneca qu’il avait en face de lui. Oh, il respectait Marian tout autant que Félix (peut-être même plus), mais au moins ne craignait-il pas de perdre la tête ou quoi que ce soit d’autre avec elle, car la même crainte ne l’agitait pas. Aux questions de la femme, le Martell prit le temps de réfléchir : il avait passé ces derniers jours à Lydes et, auparavant, des semaines à s’inquiéter pour son ami. Force était de constater qu’il ferait lui-même un mauvais Chercheur ; lorsque ce n’était pas pour la précision de ses travaux de coutures, son œil acéré ne lui était pas d’une grande utilité, malgré le Jeu qu’Ariel tentait parfois de lui enseigner. Il était l’épée, le bouclier ; son compagnon l’aigle et le serpent. Mais il avait beau réfléchir, Aloïs n’avait pas vraiment remarqué quoi que ce soit d’inhabituel chez Caïn Van Geert – avant sa disparition. Si ce n’était son acharnement contre ce mage tévintide, avant que celui-ci ne s’échappe.

« Il n’y avait aucun comportement inhabituel ou pouvant porter à croire qu’il se soit enfuit de son plein gré avec Valerius. Sauf si vous trouvez que son acharnement contre un mage tévintide soit... Une manière de cacher quelque chose ? Je veux dire, ce n’est pas mon avis mais je ne pense pas être un bon... Déducteur pour ce genre de choses. » s’excusa-t-il, un peu penaud de ne pouvoir en dire plus ou de ne pas pouvoir briller. De toutes manières, le blondin n’aimait pas vraiment ça – briller. Il hocha néanmoins rapidement la tête lorsque le Seigneur-Chercheur ‘‘l’autorisa’’ à s’asseoir et s’exécuta, se détendant légèrement, gardant le silence alors qu’elle prenait des notes sur ce qu’il disait, jusqu’à ce que Marian reprenne la parole.

Et Aloïs écarquilla légèrement les yeux devant l’absurde de la situation. Lui ? Chevalier Sous-Capitaine ? Cela lui semblait totalement inconcevable. Pas avec ses absences, et pas avec sa réputation ; il n’était pas mauvais Templier, loin de là, mais la plupart de ses collègues le voyaient certainement plus comme celui qui pouvait réparer leurs chaussettes plutôt que comme celui qui aurait pu prétendre remplacer Caïn. Au-delà de ça, Aloïs lui-même ne se voyait pas du tout occuper cette place : manque de confiance en ses capacités, manque d’autorité peut-être, également – et certainement peur de ne plus avoir autant de temps pour Ariel, de toutes les responsabilités que cela entraînait. Il secoua légèrement la tête, sans sentir ses cheveux encore courts chatouiller sa nuque : « Pour être totalement honnête avec vous... Je serais honoré par cet honneur, il est vrai, mais je ne pense pas avoir les capacités requises pour être un bon Chevalier Sous-Capitaine, loin de là même. » Il était plus de ceux qui suivaient les ordres que de ceux qui les donnait - et ce depuis qu'il savait marcher. N'était-il pas devenu Templier parce que ses parents le voulaient, parce qu'il savait qu'ils auraient enfin été tous les deux fiers de lui ?...

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Mer 24 Jan - 22:53


WHAT ABOUT THIS MESS



Marian observe les gestes, écoute les sons, note les hésitations, physiques ou vocales, qui se posent, surtout après sa proposition. Martell n'aurait pas fait un bon Chercheur; déjà, pas assez observateur, étant donné qu'il disait ne rien avoir remarqué, mais en plus il ne cachait pas ses ressentis, ou alors pas correctement. Concernant l'ancien Chevalier-Sous-Capitaine, Marian avait déjà posé la question à de Lydes, qui connaissait le disparu, Caïn. Il lui avait dit que Valerius l'avait probablement leurré ailleurs, sans doute dans le but d'en faire une autre victime; les propos d'Aloïs confirmaient cette thèse, et le besoin de trouver un autre, plus équilibré pour compenser la folie furieuse de Seneca. Mais il refusait le poste, et il ne fallait pas être idiot pour ne pas voir, ne pas comprendre, ne pas faire de lien, même si elle ne tenait rien de son Chercheur le connaissait le mieux; elle venait d'arriver, elle n'avait pas voulu faire pression sur ce point.

Des Templiers comme Aloïs, elle en avait vu beaucoup, surtout quand ils n'avaient pas réellement de Cercles à surveiller et garder. Envoyés dans les ordres par leur famille ou enrôlés volontaires sans vraiment se rendre compte du sacrifice que cela allait signifier dans leur vie; après c'était trop tard, une fois lâchés dans la boucle des Templiers et du Lyrium, il n'y avait guère de moyen de faire marche arrière, surtout une fois l'addiction arrivée; c'était la tâche noire qui traversait la Chantrie, cette histoire, et Marian n'aimait pas cela; les Chercheurs étant la preuve étant que l'ont pouvait se battre contre les mages sans être dopés au Lyrium, mais cela demandait discipline et dévotion que trop peu avaient; probablement une autre raison pour laquelle ce rôle n'aurait jamais convenu à une personne comme Aloïs qui rejetait déjà la charge proposée.
"Croyez-vous réellement en ce que vous faites, Templier Martell ? En tout ceci, en l'Ordre, en votre rôle ? Car il me semble que non." elle plongea ses yeux glacés dans les siens, consciente de la lourdeur de la question, son regard transperçant percevrait toute hésitation; il pouvait parler librement ou mentir, Marian le saurait à coup sûr; elle se demandait juste quelle option il allait prendre




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Dim 28 Jan - 19:20




Marian & Aloïs
What about this mess ?


Les questions que lui posa le Seigneur-Chercheur Howe lui firent l’effet d’une douche froide. Pas parce qu’il était outré qu’elle puisse penser une telle chose de lui, qui avait donné sa jeunesse et toutes ses années depuis à la Chantrie – et un peu moins de sa vie ces derniers mois – mais bien parce qu’au fond... Elle avait raison. Elle visait juste. Evidemment. Perspicace, comme son ami de Lydes – pas Ariel, Armand, qui avait toujours su le percer à jour – mais il ne fallait pas s’attendre à moins de la part de Marian Howe. Elle n’occuperait certainement pas le poste qu’elle occupe aujourd’hui si tel n’était pas le cas. Et son regard glacé plongé dans ses yeux ne l’aidait pas vraiment à reprendre contenance ; pourtant, il ne s’effondra pas. Et même s’il en mourrait d’envie, Aloïs ne détourna pas le regard. Il resta bien droit, soutenant son regard, sans aucune insolence. Mentir était tentant. Trop tentant. Trop dangereux, aussi. Elle saurait, il en était persuadé, elle saurait. Alors, il se mordit distraitement la lèvres et retint de justesse un soupire chargé d’anxiété : « Je pense que avez raison, Madame. Je continuerais à exécuter chacun des ordres qu’on me donnera, mais je crois que le cœur n’y est plus. Que j’essaie de me voiler la face, de me mentir à moi-même en me répétant que je suis la Chantrie, et que la Chantrie est avec moi. Je... »

Il hésita, un instant, se remémorant ses premiers pas ici. Quand les Cercles n’étaient pas encore des prisons pour des mages, confondant coupables et innocent en ne les voyant tous que comme un seul et même monstre. Avant, il aimait la Chantrie. Il avait l’impression d’être vraiment utile, et même s’il n’avait jamais été un fervent croyant, il avait vraiment eu l’air d’en être un – peut-être l’avait-il été, après tout. Maintenant, il devait avouer que ce n’était plus pareil. Il n’aimait pas cet acharnement contre les mages, même s’il ne pouvait pas le montrer, même s’il continuer – et continuerai – à exécuter les ordres. La demande répétitive d’Ariel de quitter les Templiers était, il devait se l’avouer, de plus en plus attrayante... Et s’il continuait de se répéter qu’il ne voulait pas quitter l’Ordre parce que là était sa place, Aloïs devait ouvrir les yeux : l’addiction, la peur du manque de Lyrium était la réelle raison qui l’empêchait de rendre son armure pour s’installer à Lydes. « Je n’arrive plus à adhérer totalement avec la Chantrie, avec les décisions prises, depuis que les mages y sont enfermés. » finit-il par se confesser. « Je continuerai à écouter et exécuter les ordres qu’on me donnera. Toujours. Mais vous avez raison... »

Aloïs finit par baisser les yeux. Il restait persuadé que dire la vérité était la meilleure chose à faire ; s’il était condamné, au moins aurait-il avoué courageusement ses torts. Au moins n’aurait-il pas nié comme un couard et prétendre ne faire qu’un, corps et âme, avec la Chantrie, l’Ordre et leurs préceptes. Peut-être allait-il regretter cette décision, d’une manière ou d’une autre. Il ne voyait pas comment ça pourrait bien se terminer... Mais peut-être était-il parano.

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